Alinéa,
**** easy, vous êtes marrant ! bien sûr que l’animal n’est pas homme, et c’est bien pour ça qu’on l’aime. Il ne connaît pas le mensonge, il n’ourdit pas de complot, il ne cherche pas à être la vedette, il n’exploite pas ses congénères... enfin bref, on a des tas de choses à apprendre d’eux pour vivre en société. En serions-nous incapables ? Incapables d’être comme ces bêtes que l’on traite de bêtes, alors qu’ils se comportent tellement mieux que nous ????????????!!!!!!!!!!!! ****
Je vous l’ai dit, il y a de bonne raisons de considérer l’animal pour voir ce que nous avons d’atypique dans le règne animal.
Et ce que nous avons d’atypique c’est un langage très développé qui s’est construit autour de notre capacité médiatique en « Jacques a dit »
Cette capacité médiatique fait notre propension à concierger
L’anarchiste aurait deux définitions possibles :
Soit celle de Volt qui le conçoit de Parole publique à usage médiat, avec Socrate comme parangon. Auquel cas il doit développer son langage.
On ne peut être anarchiste de naissance mais seulement de formation (effectivement sophistique mais pour dénoncer les manipulations non pour en construire de nouvelles).
Soit la mienne qui le conçoit de parole intime à usage immédiat, avec Diogène comme parangon. Auquel cas il n’a besoin que de très peu de mots
On est anarchiste de naissance.
Une de ces deux définitions est plus animale que l’autre.