Aahh la démocratie… ça me donne envie de chanter…
Les 5 principes sont absurdes
La liquidité n’a rien a voir avec la monnaie ?
Bref on ne s’entendra pas sur les concepts
J’essaie différemment :
Si l’humanité
échange de la valeur, du travail, il a besoin d’être sûr qu’il travaille pour
réaliser son objectif. Son objectif est déterminé dans le temps et, dans un
rapport économique, est lié au travail d’autrui. Pour pallier à l’incertitude
de la production d’autrui, alors qu’il est dans environnement compétitif, et à
l’incertitude du timing, il créé la monnaie. La monnaie est un stock de valeur
de travail réalisé et à la valeur variable selon le marché. Un stock plus ou
moins liquide selon la forme de la monnaie. Ce stock étant maintenant demandé
comme offert, comme un bien, il a les mêmes variations. Mais le monde du
travail et le monde de la finance évoluent parallèlement.
Les deux mondes
étant connectés par la production, si l’un chute, l’autre aussi, et le système
est condamné à croître ou risque s’effondrer (et si la production de
monnaie et de biens n’évolue pas ensemble il y a inflation ou déflation).
L’Humanité se
retrouve piégée avec la lourde responsabilité de déterminer la valeur de
sa monnaie de la façon la plus efficace. La constituer sous forme
d’intérêts périodiques est une chose. Trouver le bon taux d’intérêt en est une
autre. Aussi, si je prête à l’autre je n’ai pas de certitude sur les
fluctuations de prix de la ressource sans savoir le projet de l’un, et si je
prête à l’un, inversement. Ils peuvent aussi décider d’épargner, par
précaution, projet, ou spéculation (monnaie, biens, taux d’intérêts). Et si
nous avons tous des projets différents, l’apport optimal réel à long terme
est impossible à déterminer dans un marché complexe.
Si on a créé la
monnaie fiduciaire, le billet, correspondant à de l’or en stock, lorsque
l’économie dominante posséda la plus grande partie du stock, c’est ces devises
que les banques des autres économies stockaient. Ces banques ont commencé par
échanger leur billets contre des dollars mais étant donné qu’ils étaient trop
manipulables par l’économie dominante ils ont arrêté d’échanger les billets et
créé les systèmes de banques centrale qui ne peuvent prêter qu’aux banques
commerciales, de dépôt et d’investissement (ne peuvent pas prêter directement
aux Etats pour éviter les politiques inflationnistes), le plus souvent par
simple jeu d’écriture, et ces banques sont devenues maitres de l’économie mondial.
Les Etats ne sont plus maitres de rien en économie. Quelques soient les
agissements des différentes banques et leurs connexions, l’économie mondiale
devient hautement manipulable.
Aujourd’hui, on peut
être côté en passant par une banque qui a intérêt à faire savoir que
l’entreprise est performante pour attirer le volume. Ensuite, un troisième peut
faire savoir que l’entreprise va mal pour faire suffisamment baisser le cours
pour racheter les parts et les revendre à la banque lorsqu’eux deux pensent que
l’entreprise va bien. Et la banque fait savoir que l’entreprise va bien et
ainsi de suite. Si l’entreprise se met à tourner réellement mal, l’appas de la
rentabilité les pousse à continuer le jeu jusqu’à ce que le risque soit
intolérable, tandis que lorsqu’elle va bien, le volume monte jusqu’à ce que la
plus-value attendue soit la moins crédible. Et lorsqu’il y a faillite d’un
système il cherche un recours au niveau supérieur tel qu’aujourd’hui le jeu est
passé de l’industrie aux banques puis aux Etats. Des fonds internationaux ont
été créés mais leur solution au problème est plus que mitigé. Et quand les
banques centrales elles-mêmes cherchent des solutions en fermant le cercle
vicieux : elles achètent des titres pour créer de la monnaie. Mais cette folie
a une raison
Pour toute industrie, l’évolution
technologique, en considérant le côté destructeur de l’innovation est corrigé
en fonction de la disponibilité et de l’accessibilité de capitaux liquides
ainsi que d’une correcte redistribution sociale, est le principal facteur de
développement économique, du moins dans le champ industriel concerné. Et en
temps de problème de prix de marché, de crise managériale, l’automobile fait
partie de ces secteurs avec celui de la nourriture, de la santé, de la
téléphonie, de l’énergie, mais surtout de la monnaie, pour qui, même si la
production n’est pas fiable, le consommateur, à cause de l’importance de ces
biens, poussent la production. Tous ces secteurs doivent effectuer une
innovation dans le système de production. Si aujourd’hui le monde réfléchit à
des politiques monétaires non conventionnelles ou à la révision des réserves
fractionnaires ou encore à la révision du système de crédit et d’imposition du
capital, c’est bien parce qu’il y a nécessité urgente de révolutionner la
production de monnaie.
Et pour monétiser de
la valeur de nombreux artifices existent. La promesse de dette signée, je
peux, au lieu d’attendre le revient, la vendre en transférant mon statut de
créancier. Le débiteur peut aussi choisir d’hypothéquer ses biens pour rassurer
la banque en signant un papier. Ces papiers devenant également une monnaie.
Ainsi différents « agrégats » monétaires sont créés et pouvant avoir
des dépréciations cachées ou des valeurs ajoutées cachées. Si ces papiers ne
suffisent pas à la demande, on créé ce que l’on appelle des réserves
fractionnaires, qui constituent de la monnaie sans aucun bien derrière (cette
pratique reste toutefois limitée à 12,5 fois la réserve réelle). Aussi, étant
donné l’incertitude de l’activité du travailleur, pour le particulier,
l’industriel tout comme pour le banquier, ont étés créés les assurances. Ces
assurances sont rémunérées par des versements, et lorsque le papier est signé,
elles peuvent aussi s’échanger comme une monnaie. Lorsque l’Etat, la banque,
l’assurance et l’industrie sont dissociés et échangent entre eux, l’économie
devient incontrôlable. Et l’enrichissement des banques et assurances inacceptable.
L’économie forme des cycles mais il y
une fuite de revenus par le haut
> On doit
trouver le moyen de rééquilibrer les pouvoirs dans un système capitaliste en
centralisant le système monétaire et le monde du travail en le reconnectant par
le revenu, en le rendant moins sujets aux aléas humains. Pour cela il faudra se
mettre d’accord sur un plan avec les Etats et les banques.
Explication du système www.lanouvellepartie.fr