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Commentaire de Luc-Laurent Salvador

sur Adieu ma Grèce, exil du chaos ...


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Luc-Laurent Salvador Luc-Laurent Salvador 21 février 2013 14:55

@ famine

Naïf ? oui, sans aucun doute !
Ceci dit je ne crois pas du tout à l’hypothèse du fromage.
Je ne doute pas une seconde de la sincérité d’Ariane Walter.

@ jaja

J’aime beaucoup votre discours, il me fait penser aux belles années 20 et 30 que ma grand-mère a connues. Lorsque la révolution bolchévique financée par Londres (suivez mon regard) était porteuse d’espoir.

Ce qui ne laisse pas de m’étonner, c’est que vous évoquiez cette idée du « partage du temps de travail ».
De cela on ne parlait pas durant les années 20 et 30. Je veux croire qu’on savait encore que le problème du chômage est un problème d’économie en crise en raison d’un problème de financement. Quand les banquiers serrent les cordons de la bourse, le chômage et les faillites arrivent. Et eux récupèrent tout à vil prix (cf. The Secret of Oz (by Mr Bill Still) - YouTube )

Les banquiers savent tenir toutes les ficelles. Car vous le savez, pour nouer une bourse il faut tenir fermement celles qui sont directement opposées. C’est pourquoi les banquiers financent les guerres : ils soutiennent toutes les parties en présence et gagnent sur tous les tableaux.

Les bolchéviques ont été financés par Londres, Hitler a été financé par Wall Street (succursale de la finance londonienne). La boucle est boucle, la bourse est liée et nous, le bon peuple, nous « suons le burnou » comme on disait chez moi quand j’étais petit.

Tout ça pour dire quoi ?
Quand vous évoquez le partage du temps de travail vous faites référence à une « adaptation » à une économie sous l’emprise de la finance. Dès lors, vous y consentez !
Critiquez vous la finance internationale ? Que nenni.
Vous désignez les bourgeois, les patrons, vous ne voulez pas d’une union nationale.
Conclusion : vous avez toutes les apparences d’un agent de division comme l’ont été les gaucho purs et durs qui, la main sur le coeur, désignaient toujours le même ennemi factice et laissaient la finance internationale mener tranquillement son bizness.

Je peux me tromper mais pour le moment, mon sentiment est que soit vous vous n’avez rien compris, soit vous avez un fromage à défendre.
Il est possible que ce soit les deux.
Désolé.


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