La simple lecture de l’article de Monsieur Asselineau,
j’attends avec impatience la diatribe de merluche, mais si c’est Asselineau qui le dit
un autre point de vue :
http://www.lalibre.be/economie/actualite/article/804014/chypre-le-mal-est-fait.html
je note une réaction :
Deux remarques : tout d’abord, c’est la démonstration qu’une dette ne
s’annule pas... Si le débiteur ne paie pas, c’est le créancier qui paie,
c’est à dire le contribuable si c’est un pays, la banque sinon... Et si
c’est la banque, cela veut dire les actionnaires, les employés (pertes
d’emploi) et les clients (augmentation des marges pour couvrir le
déficit)... Plus les contribuables si les actionnaires sont déjà tondu
et la banque est en faillite virtuelle...
Deuxièmement, au moins
cette mesure est plus transparente (bien plus que la planche à billet,
l’inflation ou la dévaluation, qui ne sont indolore qu’en apparence) et
plus sociale (puisque les rentiers sont plus touchés que les autres)...
Tout ce que j’espère, c’est qu’ils ont bien calculé leur coup et qu’ils y
aillent franco histoire que la situation soit assainie complètement dès
la 1re fois, parce qu’ils n’auront pas de 2e chance...
et cette autre
La partie s’annonce délicate pour le nouveau président Anastasiades,
lui-même ancien avocat. Son cabinet comptait « beaucoup de clients
russes », note Xenia Photiou. Le président est aussi soutenu par
l’archevêque de Chypre. L’Église orthodoxe est à la fois l’actionnaire
important de banques chypriotes et une courroie de transmission
essentielle avec Moscou. Pour l’heure, Nicos Anastasiades exclut le
scénario - « catastrophique » a-t-il dit au Financial Times - qui rayerait
purement et simplement des avoirs. Lire l’entiereté de l’article sur le
F_ig*a*r**o
comme quoi, on ne nous dit pas tout...