@ Marc CHINAL,
Bonjour,
Une fois
de plus vous donnez le bâton pour vous faire battre : si vous ne
souhaitiez pas voir votre théorie dénigrée « sans aucun argumentaire »,
pourquoi donc avoir agi de même envers des théories pour lesquelles vous êtes
réfractaire ? N’y aurait-il donc que votre seule psychologie du survisme qui trouverait grâce à vos yeux ?
Vous avez même fait pire : vous vous justifiez en émettant
des sophismes (ce que j’ai pu vous démontrer dans un précédent commentaire et vous
n’avez eu alors aucune remarque à formuler sur ce point-là).
Vous ne dîtes pas
que des stupidités, par exemple lorsque vous parlez de l’art de la représentation
dans votre post du 14/10 à 22:27.
Effectivement, l’art de l’interprétation :
je dénonce le simplisme de la théorie que vous défendez, car par expérience je la
sais dangereuse envers les victimes de traumatisme (comme toutes celles qui ne
comprennent pas la réalité des traumatismes vue avec les yeux des victimes qui
le vive, je ne vais pas m’en expliquer ici, j’y consacre mon prochain article). Mais de votre côté, vous interprétez le terme ‘simplisme’ comme une
invalidation et me répondez : « Si
c’est simpliste, n’hésitez pas à citer un cas invalidant ce qui est dit ! »
d’où votre propre art de l’interprétation. De qui ou de quoi tenez-vous pour
fait que le terme ‘simpliste’ soit l’équivalant d’‘invalidant’ ?
Contrairement
aux incessantes contradictions dont vous vous faites l’heureux comptable, je ne
renie pas ce que j’ai dit. Or qu’ai-je dit au sujet de la psychologie du ‘survisme’ ?
Ceci : « … votre lien est très
intéressant, mais si vous lisiez et compreniez un tant soit peu les articles
que vous commentez en témoignant d’un esprit un peu plus ouvert, vous vous
seriez très vite rendu compte que je n’ai pas eu besoin d’attendre la ‘découverte’
de votre « psychologie du survisme » pour considérer comme primordial
d’apprendre “comment est traitée l’information dans le cerveau” (définition de
cette « psychologie » selon votre lien) » (cf. ci-dessus
ma première réponse à votre intervention tonitruante, le 10/10 à 8:52).
Cependant,
après avoir visionné votre vidéo proposant une explication du rire, que je ne désapprouve
pas, mais que je trouvais déjà ‘simpliste’ car ignorant ce qui caractérise
principalement l’humanité en l’homme, à savoir son empathie, et celle sur le
traumatisme qui élude les principales caractéristiques d’un traumatisme en
minimisant son incidence sur les traumatisés (= euphémisation ; technique
propre à la langue de bois et aux manipulateurs, mais dans votre cas cela
semble être dû à votre ignorance du sujet), je suis de plus en plus dubitatif
quant à ce que vous présentez comme une ‘science’.
Par ailleurs, j’ai été bien
plus dénigrant envers votre auteur préféré en le traitant de ‘gourou’ et en
insinuant qu’il disait tout et son contraire, mais de cela vous n’en faites pas
cas. Vous vous attachez plutôt aux croyances qu’il enseigne, curieux…
De plus
en le lisant, je m’aperçois qu’il est tout autant que vous porteur de nombreuses
contradictions. Marc CHINAL et Philippe HUGOS ne seraient-ils pas une seule et
même personne, par hasard ???
P. S. : Je poursuis mon exploration de votre psychologie du ‘survisme’
et je suis de plus en plus stupéfait de la façon dont elle présente les choses :
vos présentations sont simplistes. Il n’y a pas d’autre mot. Et à ce titre,
elles en sont dangereuses.
C’est à croire que l’on ne peut pas modéliser
simplement la complexité de l’être humain : vous traitez correctement des
mécanismes du fonctionnement du cerveau humain, mais vous tombez exactement dans
le même travers que celui de l’idéologie néolibérale portée par le mythe de l’homo œconomicus. Ce qui est risible dans
l’histoire, c’est que vous prétendez combattre ce mythe (encore un paradoxe).
Autre
curiosité, votre ‘science’ a exactement le même défaut que le courant le plus
conservateur de la psychanalyse freudienne qui vous fait tant horreur :
elle expurge l’essentiel de l’humain en l’homme (ce qui est loin d’être le cas
de tous les psychanalystes, souvenez-vous : les deux FREUD).
Pour un
psychanalyste, cette attitude dans un tel contexte pourrait être perçue comme un
refoulement ou un déni : votre dédain de la psychanalyse serait une
conséquence de la négation défensive de pulsions agressives engendrées par la promiscuité
inconsciente de votre ‘science’ avec la psychanalyse, ce que vous matérialisez
dans la réalité par du mépris envers cette discipline.
Autrement dit, ce que
vous dédaignez en vous, ce sont vos propres affects concernant votre ‘science’ que
vous expurgez en les projetant sur la psychanalyse.
Alors, toujours d’un point
de vue psychanalytique, nous pourrions encore approfondir cela, mais nous en
reviendrions toujours au même point : vous doutez vous-même de votre
propre ‘science’ parce qu’inconsciemment vous sentez bien qu’il y manque
quelque chose que vous n’êtes pas encore parvenu à ‘modéliser’…
Mais je ne suis
pas psychanalyste. 