@ Evrard , je suis passer aussi par cette expérience pendant plusieurs années, à la fois je vivais de peut, chichement et en même temps si y a avait pas eux des aides qui mon aider.
Cette expérience aurait été un cauchemar, simplement un cauchemar car faute de moyen matériel, j’entreprenais plus rien. Je vivais le jour le jour et ma seul préoccupation se résumait aux instincts des plus grégaires de la survie.
Si j’avais pas eu l’entourage de ma famille qui par ailleurs ne pouvait pas faire grand chose, des connaissance et une belle rencontre à l’heure qu’il est je ne pourrais sans doute pas te rapporter cette expérience.
Si il est vrai que quand on à rien de rien, on l’on peut vivre un sentiment de liberté, il ne faut pas s’illusionner on dépend toujours des autres qui n’est pas un due si l’on ne fait pas l’effort de rendre aux autres ce que l’on a reçus. A y regarder de plus près, cette expérience qui ma fait vivre l’oisiveté aux premier abord peut paraître séduisante, si l’on ne veux pas se souvenir comment la frustration fait son œuvre en sourdine crée plus de désespoir que de raison de satisfaction de son sort.
Cette expérience intime m’a fait comprendre que l’on peut pas décréter que des personnes pauvre, sans ressource, seul peuvent vivre heureux, et même avec un revenus minimum social, qui m’est un palliatif si l’on n’est pas dans l’effort de se rendre utile ne se reste par la reconnaissance de l’aide que l’on vous donne, on perd tous sens de sa dignité humaine.
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C’est pour cela que la monté de la pauvreté se doit être farouchement combattue, car si elle, les circonstances venaient à que la pauvreté deviennent un phénomène de masse on encoure le danger de la dissolution de toute les organisations social humaine, et laisse une place béante à toute les barbaries.
L’Afrique est un criant exemple de cette pauvreté qui bascule dans le Chaos, est un exemple des signes avant coureur qui plane sur l’Europe aujourd’hui !