« Les Caniculs bénis »
Dominique Guillet doit d’urgence apprendre à écrire sobrement, à ne plus multiplier les assertions en tous sens dans la même phrase.
C’est insupportable, une écriture aussi bordélique et envahissante.
« Et sinon, sur le fond ? » demandait « Lambda posteur ».
Le fond ? Quel fond ? C’est illisible. Et je ne suis qu’un bénévole, alors souffrez que ma patience a des limites.
Et même si j’étais son psychothérapeute, et donc payé pour cela, non, je ne l’écouterais pas passivement au long cours de la sorte. Stop !
Puisqu’elle tient à avoir une influence sur le monde, je lui apprendrais les bases et la discipline de la communication publique, écrite ici.
Ce serait donc une prescription du genre :
1. Pas plus de trois prédicats, explicites ou implicites, par proposition grammaticale (par verbe, si vous préférez).
2. Pas plus de dix-huit mots par phrase.
3. Pas plus de trois propositions par phrase.
4. Pas plus d’une idée par phrase.
5. Pas plus d’une idée par paragraphe.
6. Faire un plan à l’avance de ce qu’elle veut faire passer au juste au lecteur.
Avec application sur un de ses chapitres de son choix, à réécrire selon cette discipline. Quand ce sera fait, éventuellement, on pourra voir le pourquoi et le comment de sa bordélisation actuellement évidente et envahissante... si ça l’intéresse encore. Son urgence n’est pas de décrire le merdier où elle se trouve, mais d’en sortir. Qu’elle ait eu des parents chaotiques et/ou une mère envahissante, c’est fort possible, mais ça n’est pas notre business ici ; ça n’intéresse le scientifique que dans la mesure où ça contribuerait à élaborer une politique de prévention en matière de santé mentale ; prévention que pour le moment on ne sait pas faire du tout.
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