Bonjour Olivier,
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« Chacun sait que, très récemment, l’Etat a été obligé de céder son fleuron nucléaire Alstom à l’américain General Electric »
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La France ce fait déposséder, due à la perte de la souveraineté de notre pays, due à la politique Européenne (ultra-libérale) qui nuit à l’intérêt général de la France et suite à cette crise artificielle maintenue depuis 2008 par la TROÏKA !
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Draghi avait déclaré que le conseil des Gouverneurs de la BCE « utilisera tous les outils nécessaires non conventionnels », pour garantir la stabilité des prix et ancrer les anticipations relatives à l’inflation à moyen terme, est révélateur. Prétendre que la zone euro est sur la voie de la reprise économique n’est plus de mise ; la seule manière réaliste de lire les marchés financiers est de s’attendre à une récession forte.
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La récession pointe également en Allemagne !
La vente de voitures est en net recul ... j’ai attendu ce matin à la radio le chiffre de -30% pour ses dernier mois ...
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Sur le front des prix à la consommation, le Fonds n’attend guère d’amélioration avant... 2019.
http://www.lesechos.fr/monde/europe/0203839542285-le-fmi-de-plus-en-plus-inquiet-pour-la-croissance-europeenne-1050946.php
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Cette dernière analyse es particulièrement inquiétante car elle signifié que nous nous trouvons dans un piège, l’Euro et l’Union européenne, donc il faut rapidement sortir.

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Le 9 avril 2013, la Cour des comptes publiait un rapport thématique intitulé
« Les faiblesses de l’État actionnaire d’entreprises industrielles de défense ».
Dans ce rapport, la haute institution rappelait les devoirs de l’État en matière de défense, en particulier, « assurer l’indépendance de la France en matière d’équipements sensibles, notamment concernant la dissuasion nucléaire  ».
http://upr-asselineau.tumblr.com/post/78307798196/crash-en-vue-pour-la-defense-francaise-par-regis
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Dans le cas d’EADS, la Cour des comptes avait noté dès 2001 d’une part que l’État s’était laissé placer en position de faiblesse dans le cas de la fusion de la société nationale Aérospatiale et du groupe privé Matra Hautes Technologies et d’autre part que les actifs français avaient été sous-valorisés deux ans plus tard lors de la fusion avec l’Allemand DASA. Dans sa conclusion sur l’étude de ce cas, elle relevait le « risque de délocalisation d’activités jugées stratégiques ».
http://upr-asselineau.tumblr.com/post/78307798196/crash-en-vue-pour-la-defense-francaise-par-regis
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Le 31 juillet 2013, on apprenait qu’EADS allait changer de nom à partir du 1er janvier 2014 pour s’appeler Airbus Group, et que ce changement de nom allait s’accompagner d’une restructuration, en fait la fusion des divisions militaire (Cassidian) et spatiale (Astrium) au sein d’une division « Airbus Space and Defence ». Le siège social de Cassidian situé à Elancourt et celui d’Astrium situé à Suresnes seraient donc supprimés au profit du nouveau siège de la division militaire et spatiale situé à Munich, sous la direction de l’Allemand Bernhard Gerwert, tandis que le patron exécutif du groupe européen, Tom Enders, est également allemand.
http://upr-asselineau.tumblr.com/post/78307798196/crash-en-vue-pour-la-defense-francaise-par-regis
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Cette restructuration est justifiée clairement par une vision ultralibérale : « C’est que Tom Enders avait réussi fin 2012 à remanier la gouvernance du groupe et à réduire l’influence des gouvernements qui venaient de faire échouer son projet de fusion avec le fabricant britannique d’armement BAE Systems. Les États ne détiennent plus que 28% du capital, contre 51% auparavant, et ne sont plus représentés au conseil d’administration » annonce la tribune du 2 janvier 2014, avec pour résultat « La majorité des analystes ont relevé leur objectif de cours. Morgan Stanley par exemple l’a fait passer de 59 à 64 euros. »