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Commentaire de njama

sur Les dangers des changements climatiques : L'urgence d'agir


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njama njama 26 novembre 2014 11:30

Ci-dessous, article très documenté d’un site qui fera le bonheur de tous ceux qui s’intéressent à la climatologie.

Les écarts de conclusions ou d’interprétations de résultats proviennent de défauts de modélisation, qui ne permettent pas de conclusions scientifiques fiables. En raccourci, la science du climat n’existe pas ... à ce jour 

----------------

17 Novembre 2014 : Climat : Où en est-on ? Y a-t-il des raisons de s’inquiéter ?
http://www.pensee-unique.fr/news.ht...

Nombreux sont les lecteurs qui m’ont alerté récemment au sujet du déchaînement politico-médiatique catastrophiste qui se développe de nos jours en francophonie (mais pas nécessairement ailleurs), à propos du climat.
[...]
Tout cela peut sembler très inquiétant et cela l’est surtout pour les quidams qui ne se plongent jamais dans les courbes, les données et les graphiques publiés par les instituts dédiés ou dans les revues scientifiques, comme la plupart de nos contemporains.

Mais, au fait, y a-t-il vraiment des raisons objectives de s’inquiéter au sujet du climat de la planète ? Et si oui, à quel sujet ?

C’est ce que nous allons voir dans ce billet, à partir des mesures objectives et en nous appuyant, parfois, sur le dernier Rapport Scientifique Complet du GIEC, l’AR5, qu’aucun de nos décideurs inquiets, ou de nos communiquants alarmistes, ne semble avoir lu avant de forger leur opinion... et celle des autres.

Nous allons donc passer en revue les évolutions, jusqu’à présent et successivement, des glaces des pôles, de la température du globe, de la hausse du niveau des mers, des événements météorologiques, dits « extrêmes » à la lumière des indicateurs officiels et des articles scientifiques parus récemment.

Et nous verrons s’il y a lieu de s’inquiéter comme « on » nous assure qu’il convient de le faire...

[...........]

5) Conclusions :

En partant des données officielles, nous avons successivement passé en revue l’état actuel des observations qui concernent :

- l’évolution des mers glacées au pôle Sud et au pôle Nord,
- l’évolution de la température moyenne à la surface du globe,
- la hausse du niveau des mers,
- l’évolution des tempêtes extrêmes comme les tornades aux USA, les typhons et les ouragans à l’échelle du globe,
- les questions d’enneigement, des tempêtes diverses et des sécheresses,

ainsi que les conclusions du contenu du dernier rapport scientifique AR5 (2013) du GIEC au sujet des événements climatique extrêmes.

Ces observations sont indubitablement rassurantes. Nous ne voyons strictement rien dans tout cela qui justifie le déchaînement médiatico-politique catastrophiste (francophone) auquel nous assistons en ce moment.
Au contraire, toutes ces évolutions climatiques restent dans le cadre des évolutions naturelles observées dans le passé et pour un certain nombre d’entre elles, personne n’est encore capable de se prononcer.

Ainsi, rien n’est observé dans la situations actuelle qui puisse susciter l’inquiétude. Il est possible, cependant, que certains justifient leur anxiété en se référant aux prévisions/scénarios des modélisations informatiques du climat.

L’inquiétude serait-elle alors justifiée par les modèles des prévisions/scénarios du GIEC ?
On pourrait le comprendre si les modèles numériques du climat avaient systématiquement démontré leur pertinence lors de leur confrontation avec les observations objectives. Ce n’est pas le cas.
Voici trois exemples parmi d’autres dont certains ont déjà été mentionnés dans les billets précédents, au cours des mois et des années passées.

1. Modélisation de la température moyenne de la surface du globe.

[...]

2. Modélisation de l’évolution de l’extension de la banquise antarctique

...]

3. Modélisation de la température de la moyenne troposphère tropicale. 

[...]

Tant que les modélisations informatiques n’auront pas résolu leurs (graves) problèmes de divergence avec les observations, il est sans doute pour le moins prématuré d’anticiper l’avenir de la planète dans l’état actuel de nos connaissances et de mettre en place des mesures contraignantes qui peuvent s’avérer lourdes de conséquences.

Ainsi, dans l’état actuel des choses, nous ne voyons rien, ni dans les observations objectives ni dans les modèles manifestement pris en défaut qui puisse affecter le bien-être futur de nos enfants et de nos petits enfants (fréquemment invoqué dans les médias et jusques et y compris dans les déclarations politiques les plus officielles). Il est probable que, dans quelques années, nos descendants - du moins ceux qui auront échappé au pessimisme généralisé - s’interrogeront (ou s’amuseront), au sujet de l’étrange psychose collective qui s’est emparée d’une proportion notable des dirigeants et des communicants de notre planète en ce début du XXIe siècle.

Time will tell.

Stay Tuned !

http://www.pensee-unique.fr/news.html#point



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