Bourrico, je reconnais que je me base uniquement sur l’article et les commentaires.

Il est évident que cette résolution tourne autour de l’Ukraine. C’est le jeu de l’arroseur arrosé, c’est à dire que les dirigeants de la Russie ont pris les dirigeants occidentaux à leur propre jeu, soit, l’éthique et la lutte contre l’antisémitisme et le racisme via le nazisme.

Poutine à joué un coup gagnant et la réponse des dirigeants occidentaux est une réponse perdante. Poutine n’a fait ici que mettre en exergue la duplicité de la politique des dirigeants occidentaux, le vote ayant peu d’importance en lui même sinon relever cette duplicité à laquelle les dirigeants occidentaux semblent êtres tombé tête première. Mais là encore, je me fie uniquement à l’interprétation que je donne de cet article car je n’irai pas perdre plus de temps la dessus. Face à cela, la seule tactique consiste à ne pas relayer cette info auprès du public,car pour Poutine, le but n’est certainement pas de lutter contre le nazisme, ni de convaincre les dirigeants occidentaux, mais d’atteindre l’opinion publique occidentale. Poutine a très bien compris que la guerre est d’abord médiatique avant d’être militaire. Il voit très bien que la différence entre lui et les dirigeants occidentaux, c’est leur propre légitimité auprès de leur opinion publique. Quand Poutine a 80% d’opinion favorable déclaré, nos cher dirigeants eux sont dans le rouge.

Pour Poutine, il s’agit donc de maintenir, voir d’intensifier le discrédit des dirigeants occidentaux auprès de leur opinion publique car c’est la meilleure défense de sa politique avec l’Ukraine, comme il a pu s’en rendre compte avec le précédent syrien où c’est l’opinion publique qui a fait reculer les dirigeants occidentaux, même si on parle des armes russes.

Mais personnellement, je suis pour se débarrasser autant des Obama, Hollande Sarkozy que de Poutine. Bref, je met tout ce monde dans le même sac.

Si je me suis joint à la curée comme vous dites, c’est qu’en tant que citoyen, ce jeu de politique internationale doit faire partie du passé et donc, ne doit plus être compris comme tel.

Quand on parle d’éthique, d’humanisme ou d’idéologie, on parle de la planète et non d’une partie de celle ci. De fait, regarder d’où vient le discours ne tient que si celui qui le prononce est déjà coupable. Mais ici, cela révèle simplement que ces principes éthiques ne servent qu’à cacher la violence et la sauvagerie de ceux qui dirigent cette planète pour conserver leur pouvoir à tout prix.