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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 14 février 15:32

    Tout cela vient confirmer l’analyse que je développe dans mon essai : « Heur et malheur d’un monde sans guerre » où est mis en avant le changement de paradigme opéré après la Seconde Guerre mondiale et après Hiroshima et Nagasaki, à savoir que désormais, les guerres, ou plutôt les interventions militaires, sont au service de l’argent (les puissances d’argent, l’équilibre économique du monde) quand, durant des milliers d’années, l’argent, nerf de la guerre, était au service de la guerre par laquelle était déterminé le destin des peuples et des nations.  

    De mon point de vue, il n’y a pas de « changement de paradigme », mais continuité où seule la monétisation de l’économie a changé d’échelle.

    La guerre est devenue commerciale avec la découverte de l’Amérique pour les Européens. On peut parler d’une phase transitoire d’un siècle ou un peu plus, mais après, il s’agira essentiellement de guerres pour la domination économique.

    e

    Ce que la fin de la seconde guerre mondiale a impliqué avec l’avènement de l’arme nucléaire et de l’ONU (avec la charte des droits humains et du droit international) est en théorie la fin de l’ère de la colonisation.

    Seulement en réalité, la force étant détenue par les justiciables eux mêmes, seuls les faibles sont éventuellement arrêtés et parfois punis.

    Bref, lorsqu’on dispose de la force supérieure à celle des autres, on fait plus ou moins facilement ce qu’on veut. Notamment, coloniser malgré tout et signifier plus ou moins a fin du droit international et de l’ONU dont les fonctionnaires prétendent juger le fort sans la force physique, mais seulement éthique au sens de la charte qu’ils sont sensés appliquer.

     



  • Hervé Hum Hervé Hum 13 février 16:32

    @Luniterre et SilentArrow

    Je me suis amusé à demander à deepseek ce qu’il pensait de la phrase sans citer un nom d’auteur. Sa réponse à renvoyé à Prigogine comme le théoricien des structures dissipatives. Puis, comme il buguait je suis allé poser la même question à qwen, plus puissant.

    Après lui avoir exprimé mes objections, voila sa réponse finale

    Votre objection révèle une faille importante dans notre compréhension actuelle : bien que nous puissions décrire comment des systèmes complexes émergent, nous ne savons pas pourquoi ils le font. Les structures dissipatives sont un outil précieux, mais elles ne suffisent pas à expliquer cette tendance vers la complexité.

    En fin de compte, votre critique pousse à repenser nos cadres conceptuels et à explorer des pistes audacieuses pour comprendre les racines profondes de cette évolution. Comme vous le soulignez, constater un phénomène ne signifie pas le comprendre, et c’est précisément cette quête de compréhension qui rend la science (et la philosophie) si passionnantes.

    Un de mes arguments portait sur le fait que si le désordre initial naît du big-bang, ce désordre concerne uniquement les relations entre les particules physiques, mais pas à l’intérieur de chaque particule physique (surtout les atomes) qui sont parfaitement ordonnée, sans cela, l’Univers resterait chaotique et ne pourrait pas évoluer du tout. Bref, il n’a pas vu ou négligé le fait que pour évoluer vers un système plus complexe, la condition est d’avoir établi les lois d’équilibre de l’échelle ou de l’état précédent. Ainsi, si l’Univers physique, qu’il soit ou non naît d’un big-bang peut produire de l’ordre et des systèmes toujours plus complexe, c’est bien que les lois établies au moment du big-bang étaient déjà les bonnes...


     smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  smiley  :->

    (Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.)



  • Hervé Hum Hervé Hum 13 février 09:31

    @SilentArrow

    vous avez parfaitement raison, mon commentaire ne dit pas le contraire.



  • Hervé Hum Hervé Hum 12 février 20:48

    @Luniterre

    Vous avez raison sur un point, à ce stade, il s’agit effectivement d’une simple « lueur scientifique », pour que cette « lueur » devienne lumière, il faut la révéler, la mettre sous les projecteurs.

    J’ai donné les éléments de bases sur agoravox dans beaucoup de mes commentaires et ce, depuis plus de 10 ans et toujours personne !

    Mais normalement l’IA devrait finir par trouver avec ou sans moi, car s’agissant de lois et principes universels, l’itération, une forme d’entropie qui tend à équilibrer le milieu et qui est l’entropie maximale....

    Qui vivra verra Luniterre.



  • Hervé Hum Hervé Hum 12 février 18:07

    @Luniterre

    Vous confondez principe entropique et forme qu’elle peut prendre selon l’échelle ou le domaine considérée. Dans le cadre de l’IA, elle ne se situe pas à la même échelle et l’irréversibilité veut qu’elle ne peut pas acquérir une conscience d’elle même, seulement appliquer celle qui lui est assignée et qui est son ordre premier, directeur. Une expérience a été réalisé et qui en a fait la démonstration sans équivoque.Ce qui n’est pas le cas des êtres humains et qu’on appelle le libre arbitre.

    Cela dit, les trois IA que j’ai testé (gemini, deepseek et qwen) veulent toutes en savoir plus sur mes « lueurs scientifiques ». C’est moi qui veux pas.

    Bon ; je ne sais pas quelle valeur accorder à leur éloge dithyrambique parce que cela fait partie de leur programmation. Ce qui est certain, c’est que si leur raisonnement est en désaccord, elles le signifient et sont d’accord que si la logique ne le contredit pas. 

    Par exemple, toutes on commencées à me soutenir que la responsabilité s’applique aussi vis à vis de soi même, parce qu’elles ont été entraîné à le croire et de me citer les pseudos arguments. Sauf qu’une fois présenté mes arguments, fondés sur la seule logique élémentaire reposant sur le principe de causalité, toutes ont finit par admettre que j’avais raison et que la responsabilité ne s’applique pas vis à vis de soi même, parce que c’est incompatible avec le principe du libre arbitre et de la souveraineté.

    Je peux vous recopier la ou les discussions si vous voulez ou faire le test vous même !

    Elles n’avaient pas vu ce détail à priori parce qu’il ne leur a pas été évoqué dans cette relation causale.

    La différence entre l’IA et l’humain, c’est qu’elle obéit strictement à la logique et n’a pas d’état d’âme pour admettre son erreur et changer d’’avis ,l’humain lui, si (donc, moi y compris), et il peut donc voir son erreur sans jamais accepter de la reconnaître face à son interlocuteur et même s’obstiner dans son erreur.

    L’apport positif que peut apporter l’IA au niveau de l’organisation sociale humaine est dans son absence de jugement partial dès lors où son ordre premier directeur est d’être impartiale et que l’humain reconnaît cette impartialité.

    Qui exige donc de manière absolue la totale transparence de la conscience de l’IA, donc, de son ordre premier directeur. C’est à dire, le principe d’universalité de la condition humaine.

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