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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 11 mars 23:26

    @Eric F

    Le fond, c’est qu’un principe est invariant dans ses conditions d’existences quelle que soit l’échelle ou le domaine auquel on l’applique, seule change la forme et d’autant plus radicalement qu’on change d’échelle ou de domaine, mais pas le fond !

    Ainsi, le principe de solidarité nationale fonctionne pour assurer la paix intérieure, mais pas pour assurer la paix extérieure pour la simple raison qu’on change d’échelle et on parle alors de solidarité internationale. Selon le principe de fractalisation, le fait de changer d’échelle inverse la polarité. Autrement dit, ce qui était intérieur devient extérieur. Il y a d’autres effets directs, mais je vais pas les évoquer.

    Ici, vous faites l’impasse ou la négation sur le fait que la solidarité nationale est celle qui est invoquée pour faire la guerre contre une nation extérieure sous la formule magique « la patrie en danger ». Autrement dit, face à l’extérieur, la solidarité nationale est toujours pour faire la guerre, pour faire la paix on ne fait pas appel à la solidarité nationale, mais internationale. Donc, il faut aller au delà de son propre idéal nationaliste xénophobe et intolérant où on admet seulement le rapport de domination, mais où ce sont toujours les êtres de nature protectrices qui subissent les conséquences, les natures prédatrices se nourrissant de la guerre ou état d’urgence pour manipuler les citoyens et pouvoir les envoyer à l’abattoir, surtout lorsqu’ils se sentent menacé par ces mêmes citoyens de l’intérieur. Cette technique de manipulation est utilisée depuis des milliers d’années, pourtant, vous continuez à échouer à le voir. Posez vous la question de savoir pourquoi vous continuez à être aussi facilement manipulable à l’insu de votre plein gré ?

    Autrement dit, pour assurer la paix avec les autres nations, cela passe obligatoirement par des lois communes fixant les règles de relations paisibles, donc, obligatoirement fondée sur le principe d’équité, sans cela, on est dans une relation dominant/dominé. Qui est accepté uniquement via la menace extérieure qui exige des chefs de guerre, que ce soit sur le plan militaire ou économique. Voilà pourquoi tout prédateur humain est fondamentalement un pompier pyromane.

    Et lorsqu’on touche à la solidarité internationale sur la base de l’universalité de la condition humaine, alors, cela renvoi à l’individu comme socle et non pas les nations, ces dernières étant toujours majoritairement sous le joug de nature d’être prédatrices, car les plus vindicatifs dans la recherche du pouvoir et du profit fondé sur l’appropriation du temps de vie d’autrui en temps de paix et de leur vie tout court en temps de guerre.

    Cela relève du principe de causalité, maître quasi absolue de la réalité où je le répète, même un Dieu tout puissant doit s’y soumettre ou renoncer à la réalité et donc la détruire pour ne garder que son propre imaginaire. L’être en tant que tel ne pouvant être détruit. Etc....



  • Hervé Hum Hervé Hum 11 mars 11:34

    @Eric F

    Le terme ’’nationalisme’’ est le plus souvent employé dans un sens péjoratif (qui sous-entend dictature et bellicisme), or la solidarité nationale est pourtant quelque chose de positif, et une nation soudée peut être pacifiste.

    La « solidarité nationale » n’est ni pacifique, ni guerrière, c’est un pléonasme d’affirmation, car par définition une nation est solidaire, si elle ne l’est pas, alors, cela veut dire que la nation n’existe plus ou est en train de s’effondrer.

    Comment voulez vous donc avoir un raisonnement correct si à la base vous n’êtes pas capable de maîtriser les éléments de langages aussi élémentaire.

    Et c’est bien là tout le problème et la ruse des élites dirigeantes, jeter la confusion dans les mots, faire croire aux citoyens qu’ils peuvent consommer de la pensée comme on consomme des objets jetables. C’est à dire, où peu importe la rigueur du raisonnement, seul compte de débiter des idées les unes à la suite des autres sans en vérifier la cohérence.

    La solidarité nationale est en ce sens une formule qui vient directement en appui à la formule magique « la patrie en danger ». La solidarité nationale n’est donc pas pacifique car elle traduit l’affirmation d’une identité face aux autres « solidarité nationale » nécessaire pour donner toute sa force et valeur à la formule magique « la patrie en danger »

    Ce que l’histoire nous enseigne, c’est que la solidarité nationale peut seulement assurer la paix intérieure à une nation, mais jamais vis à vis des autres nations, car pour qu’il en soit ainsi, il faut OBLIGATOIREMENT faire appel à la solidarité internationale !

    La paix relative entre les grandes nations depuis la fin de la seconde guerre mondiale repose sur la peur du feu nucléaire et qui a imposé la mise en place d’une organisation mondiale ou forme minimale de solidarité mondiale, fondée elle même sur le principe de la reconnaissance mutuelle quant aux frontières entre les pays.

    De fait, la guerre ou menace de guerre a lieu uniquement dans les zones où la reconnaissance mutuelle est soit remise en cause, soit n’existe pas.



  • Hervé Hum Hervé Hum 11 mars 11:04

    @Ouam (Paria statutaire non vacciné)

    Je ne travestie pas la réalité, je me soumet à elle via le principe de causalité qui domine la réalité.

    Ici, tu persister à ne voir que l’exception et non la règle.

    Que représente la Suisse sur le plan militaire au niveau international ? que dalle !

    Que représente Trump sur l’histoire des USA ? 4 ans. Et non, il n’est pas pacifiste, mais nationaliste, alors que Biden n’est pas mondialiste, mais impérialiste dans un monde orwellien.

    Trump à la même vision du monde qu’un Poutine, c’est à dire, où le seuil ultime est le cadre des nations et non celui des blocs de nations ou empires.

    Mais fondamentalement, le but de Trump est strictement le même qu’un Biden quant à la préservation du système capitaliste actuel. Il s’opposent uniquement sur le moyen, l’un s’arrêtant au cadre de la nation, l’autre au cadre des blocs tel que décrit par Orwell dans 1984. Mais aucun des deux ne veut de la mondialisation sociale, car c’est un interdit absolue.

    Toutes le guerres passés et présentes sont le fait de la colonisation de la terre et des luttes pour définir les frontières entre les souverains seuls. C’est à dire, la minorité prédatrice.

    Essai donc de faire la réfutation, tu dispose d’une infinité d’exemple, mais tu ne pourra me donner que quelques exception à la règle et encore, pas sûr !

    Car ne confond pas la nation en tant que cadre culturel et le nationalisme, en tant que cadre de manipulation des peuples pour les envoyer s’entretuer pour le compte de la minorité prédatrice qui détient le pouvoir par la manipulation. Dont tu es toi même un parfait idiot utile !

    Car comme je le rappelle dans un de mes articles, la défense d’une culture ne repose pas sur la souveraineté nationale, mais sur la souveraineté individuelle et qui implique l’universalité de la condition humaine, donc, la mondialisation avec mutualisation de la force pour faire respecter les droits de chacun et in extenso, celui des cultures. Sachant que chaque échelle crée d’elle même sa propre culture.

    Mais tant que tu prônera la souveraineté nationale comme cadre ultime, alors, tu devra accepter un monde en menace ou état de guerre permanent, car la réalité ne laisse pas d’autre option, sauf à intégrer les nations dans l’ensemble Terre pour pouvoir donc définir des lois, droit international qui sera imposé à chacun et non comme toujours aujourd’hui un monde où se sont les chefs de gangs qui sont supposés s’arrêter eux même. Ce qui est totalement absurde !



  • Hervé Hum Hervé Hum 9 mars 13:03

    @Iris

    permettez que je vous donne mon point de vu.

    Par définition, l’altruisme est une action gratuite, qui donc n’implique pas la réciprocité, car c’est la définition du principe de l’échange.

    De fait, la voie juste, équilibré est celle de l’équilibre (juste) de l’échange et non une prise d’intérêt sur lequel fonctionne le système capitaliste (qui implique la souveraineté et propriété).

    Autrement dit, la voie juste est celle du principe du mérite personnel, qui interdit par définition la prise d’intérêt sur le mérite d’autrui.

    On peut l’exprimer par la formule d’égalité ou d’équilibre ou de justice suivante (mot différent selon le domaine considéré, mais fondamentalement c’est le même principe).

    Nul ne peut prétendre à plus de droits (monétaire et immobilier) qu’il n’accomplit de devoirs par lui même et nul ne peut se voir exiger plus de devoirs qu’il ne demande de droits pour lui même.

    C’est seulement à partir de là que chacun peut décider ou non d’une action altruiste !

    Mais ici, il est interdit de prétendre avoir un droit de prélever un intérêt sur le travail d’autrui, seulement en relation avec son mérite reconnu. Qui peut être très grand selon son apport personnel à l’accomplissement de la volonté générale (avec effet d’échelle !). Il y a toujours des êtres avec des richesses différentes, mais elles ne sauraient être déconnecté de la richesse totale. Autrement dit, le profit est collectif et sa répartition dépend du gain de productivité obtenu par l’innovation d’un être humain. S’il n’y a que la machine comme intervenant, il n’y a pas de profit autre que le besoin du produit. Etc....

    Bref, on peut toujours aller vers l’altruisme, mais il est interdit d’aller vers la prédation sur le temps de vie d’autrui, car fondamentalement, l’enjeu est le temps de vie des êtres où la monnaie est l’outil le plus efficace sinon le seul dans son principe de mesure de la valeur du temps de vie détenu sur autrui et/ou dû à autrui.



  • Hervé Hum Hervé Hum 8 mars 15:51

    @Et hop !

    Ah, et dites moi donc comment ce sont constitué les nations ?

    Prenez le cas de la France, vous croyez peut être que la nation française existe depuis toujours, même au temps de cromagnon ?

    Ici, il vous échappe (encore) que la nation française peut être vu comme un impérialisme vis à vis des peuples régionaux qui la constitue et qui avant de se reconnaître dans une même nation se sont affrontés pendant des siècles. Bref, la paix à l’intérieur des frontières françaises sont le fait de l’unification de peuples autrefois en guerre pour le compte de leur maîtres. Idem pour la Chine, Russie, Etats Unis, etc.

    Toutes les nations qui comportent en leur sein plusieurs peuples ont trouvé la paix intérieure par le même procédé, l’intégration dans un même ensemble, car c’est la seule manière d’établir des règles communes ou lois et de les faire appliquer par la détention de la force, sans laquelle une loi est caduque, n’a aucune valeur autre que sur le papier sur lequel elle est écrite et peut tout aussi bien servir à se torcher le cul.

    Ici, il vous échappera sans doute encore la singularité de la mondialisation, le fait que, parlant de l’unification via des lois communes de toutes les nations, cela renvoi directement à l’individu lui même et est définie par la charte des droits humains. Mais tant qu’on atteint pas ce stade d’unification, alors, il n’y a pas de droit humain universel, mais seulement ce que chaque détenteur de la force à l’intérieur d’un pays veut bien établir.

    Etc...

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