@ l’auteur

Vous oubliez des tas de causes, dont certaines anciennes.

Pour faire plaisir au patronat (comme aujourd’hui pour le Tafta et l’accord canadien imposé en prélude), les gouvernements de Pompidou, puis Giscard ont élargi l’immigration maghrébine, puis imposé le « regroupement familial. Ne parlons pas ici, de l’abandon dramatique du privilège de la Banque de France.

Mitterrand, puis Chirac, et la suite, ont encore intensifié l’immigration sans contrôle et conditions (parler français, respecter notre mode de vie, aimer notre pays, comme nos amis Harkis lâchement abandonnés en Algérie).

Pour remercier ces incapables, et augmenter leurs retraites, on les a nommés, de droit, membres du Conseil Constitutionnel,. Or il aurais dû être réservé à des juristes très pointus (c’est loin d’être le cas !) et intègres. C’est devenu un strapontin pour les copains (voir Fabius, pacificateur de la Syrie). Que voulez-vous donc en attendre d’une pareille instance ?

Non seulement on a admis sans limites des gens qui n’aimaient pas notre pays, mais aussi, et c’est surtout sensible depuis les derniers quinquennats, on a combattu, de l’intérieur, la colonne vertébrale du pays : les FAMILLES FRANCAISES. Au nom d’une pseudo-égalité, celle de la carpe et du lapin, le gouvernement a promu des minoritaires, soutenus par les médias, pour soutenir le »mariage" homo, donc PMA, puis GPA, tout en détricotant les aides aux familles, et en laissant déconsidérer les familles nombreuses, quand ce n’est pas (j’y étais !) en les gazant !!

Il y a des tas de causes que j’oublie, mais il y a, sûrement, un grand coup de balai à faire dans une classe politique qui s’accroche à ses privilèges et oublie le pays qu’elle est censée servir.

Ce changement nécessaire, passe à mon sens par un changement radical du mode de scrutin (retour à la proportionnelle intégrale, du moins dans ces circonstances) pour faire émerger des gens qui ne veulent que servir le pays, pas se servir, eux ou leur parti.