à Jeekes,
Tout d’abord, bonjour.
Vous écrivez :
« Je ne vois vraiment pas ce qu’il y aurait de choquant à exiger que les gens se comprennent sur un chantier.
Et pas que là, d’ailleurs... »
Vous avez raison, mais la question n’est pas là.
La question, c’est que l’Union Européenne a été concoctée par ces messieurs de Washington dans les années 1940-50. Lesquels ont décidé, entre autres, que l’anglais devra être la langue du monde, point final.
À partir de là, tout est bon pour s’opposer à quoi que ce soit qui irait à l’encontre de cette volonté.
Et dans les cartons, il y a de sacrés projets, lesquels sont en attente. Nul doute que l’américanolâtre Macron va nous en faire voir de toutes les couleurs durant ce quinquennat.
À commencer, bien entendu, par la ratification de la Charte européenne des langues régionales et minoritaires, qui, contrairement à ce qu’affirment les défenseurs des langues régionales, n’a pas d’autre but que d’affaiblir le français en France. Cette charte n’est qu’un prétexte avancé par d’anciens adeptes du pangermanisme au sein du Conseil de l’Europe. Ils en sont les auteurs.
Tout ça se démontre, et a d’ailleurs déjà été démontré.
Cette volonté étatsunienne d’imposer l’anglais, c’est ce que j’ai commencé à exposer (seulement commencé) dans cet article paru l’an dernier.
Cordialement.
Thierry Saladin