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Commentaire de Daniel Roux

sur Sur François Asselineau, l'UPR, l'abstention et les trumpolâtres (1/2)


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Daniel Roux Daniel Roux 7 juillet 2017 10:29

Un article à la première personne, je.. je..., très très long et paradoxalement, assez vide, dans l’argumentation et dans le fond.

L’auteur n’en finit pas de s’excuser d’avoir égratigner Asselineau, le seul qui s’était franchement engagé à détacher la France de l’UE. 99% des électeurs qui se sont exprimés préfèrent la sécurité de l’UE à l’aventure, hors UE. Poutine en sera pour ses frais.

L’auteur dénonce, entre autres choses, la traitrise de ce malheureux Tsipras qui a choisi de rester dans l’euro et dans l’UE, plutôt que de tenter l’aventure ruiné et isolé, face à la Turquie de Erdogan le Conquérant, et aux vautours bouffeurs de foie, détenteurs de la dette grecque, dont la BCE.

Tout le monde n’a pas la détermination, ni les moyens de César devant le Rubicon, surtout si celui-ci à la largeur et la profondeur de l’Atlantique.

Comme s’il avait le choix, pour peu qu’il se préoccupe de l’avenir des Grecs et de la Grèce.

Comme si Mélenchon, aurait eu le choix ! Il vaut mieux pour lui qu’il n’ait pas eu à le faire.

L’auteur ne semble pas savoir que les riches grecs, avaient déjà transféré la majeur partie de leurs milliards d’avoirs et de liquidités en euros, en Allemagne et au Luxembourg, comme l’avaient fait avant eux, les riches Argentins vers les US, avec le résultat catastrophique que l’on sait pour L’Argentine, à condition de s’intéresser à la réalité.

C’est ainsi, il y a toujours des « bouche d’or » jusqu’au-boutistes qui préfèrent laisser les autres mourir pour des principes et des idées, plutôt que de réfléchir et de s’adapter, aux faits et à la réalité.

Je signale à mes éventuels contradicteurs que je suis partisan de la sortie de la France de l’UE et de l’Euro, mais d’une France qui ne tomberait pas aussitôt sous la dépendance de ses créanciers, c’est à dire d’une France qui n’aurait pas 2147 milliards de dettes. D’une France qui pourrait compter sur ses élites au lieu d’être systématiquement trahie.


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