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Commentaire de doctorix

sur Une censure sur des émissions d'investigation du service public ?


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doctorix, complotiste doctorix 2 décembre 2017 15:46

@foufouille

Pour combler une ou deux de vos lacunes, sur un nombre infini :
Le 26 avril 1992, le Sunday Times publiait un article de Neville Hodgkinson, journaliste médical, qui faisait la synthèse des opinions de ces chercheurs. Il révélait que, contrairement au dogme réitéré selon lequel le VIH était une bombe à retardement qui exploserait tôt ou tard en détruisant tous les lymphocytes-T du corps, pour ces savants, ce virus n’était pas nouveau et isolé, était presque certainement inoffensif et ne présentait aucune différence avec de nombreux autres virus appartenant à la même catégorie. Ces virus existaient sans doute depuis des siècles et n’avaient été révélés que récemment, grâce aux techniques modernes d’analyse. Certes, le VIH était présent chez ceux qui présentaient de graves déficiences immunitaires, mais cela était dû au fait que ces sujets avaient été mis en contact avec de nombreux agents infectieux, principalement à cause d’un comportement dit à risques comme l’usage de drogues, aussi bien inhalées qu’injectées.
Dès 1986, le Pr. Luc Montagnier avançait la même hypothèse selon laquelle le virus aurait existé depuis longtemps sans provoquer de maladie chez certaines peuplades africaines. En 1992, au fameux Symposium d’Amsterdam, il soulignait que le VIH pouvait n’être qu’un « virus bénin et pacifique », qui ne devient dangereux qu’en présence d’autres facteurs. « Nous étions naïfs, déclara-t-il à cette époque. Nous pensions que ce seul virus était responsable de toute cette destruction. Maintenant, il nous faut comprendre les autres facteurs impliqués. » Et dans Le Quotidien du médecin , il confirmait : « On admet maintenant que le sida ne peut s’expliquer uniquement en termes de virologie, qu’il s’agit autant d’une maladie immunitaire que d’une maladie virale. Dans le sida, il y a une activité immunitaire qui est anormale, tantôt par excès, tantôt par défaut, en quantité mais aussi en qualité. »

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