@JC_Lavau
N’étant pas un expert en locomotive, ni en mécanique je ne peut apprécier toute l’information de votre commentaire sur ce sujet, néanmoins une recherche rapide sur google indique :
« À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le manque de locomotives et l’incapacité de l’industrie française, en cours de reconstruction, à livrer rapidement un grand nombre de machines neuves imposa de recourir aux constructeurs américains et canadiens. Les choix techniques faits à cette occasion bousculaient le conservatisme industriel ferroviaire français de l’époque. C’est la firme Baldwin Locomotive Works, qui dans l’urgence de l’époque dessina les plans de ces machines, en modifiant pour le réseau français une locomotive qui circulait déjà depuis plusieurs années aux États-Unis, la Mikado légère USRA. Les principales adaptations portèrent sur : la mise au gabarit SNCF, l’attelage à tendeur avec les tampons, les écrans pare-fumées, le poste de conduite côté gauche, une porte de boîte à fumée à volant de fermeture central puis de type « Unifiée » (ou porte du type « Nord » ) et la pose de l’échappement Kylchap sur les machines de la seconde tranche. C’est ainsi qu’une commande de 700 locomotives tous services (mixtes) fut passée en février 1945 pour constituer la première tranche : les 141 R 1 à 700. Ce sont les firmes : American Locomotive Company (Alco) à Schenectady (New York), Baldwin Locomotive Works à Philadelphie (Pennsylvanie), et Lima Locomotive Works à Lima (Ohio) qui se chargèrent de la construction. »
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Comme toujours les pompiers pyromanes sont les premiers à proposer leurs services et industries pour reconstruire ce qu’ils ont détruit directement ou par procuration.