@olivier cabanel
Comment réussir à passer à côté de cette contradiction, de cette ’logique’ pas le moins du monde dérangée par un résonne-ment passant par les impasses de l’absurde ?!
Vous nous avez détaillé dans votre article toutes les avanies dues à l’Etat dans la problématique actuelle de la SNCF,
vous reconnaissez encore ici que
« l’état à la main mise sur le service public »
...
et cela ne vous empêche pas de trouver inconcevable que certains en viennent à vouloir confier plutôt moins ce dit ’service public’ problématique aux rênes de l’Etat !
(Voyez comme j’évite les mots qui fâchent, comme ’La Privatisation’ ... qui serait d’ailleurs réducteur par rapport à ce qui est envisagé et ce qui serait envisageable ...)
En fait, vous en venez même, maintenant, à souhaiter qu’au sein du gouvernement, on trouve des dirigeants de la sncf ! !
Quid de l’objectif démocratique affiché dans notre constitution française ?
Pour tenter de retrouver un peu de cohérence, vous devriez alors être tenté de demander dès demain que :
- au sein du gouvernement, on trouve des militaires !
- au sein du gouvernement, on trouve des policiers !
- au sein du gouvernement, on trouve des juges !
- au sein du gouvernement, on trouve des énarques !
etc ...
L’objectif démocratique serait-il donc, selon vous, une équation mathématique à faire résoudre par des spécialistes ?
Quid d’un pouvoir du peuple, par le peuple, et pour le peuple ?
Ne vous en déplaise, même si les Français et, particulièrement, leur veautants doivent rester les derniers à le comprendre, la question démocratique est la plus cruciale pour la cohésion des pays qui se veulent libres ...
partant : la question de l’abolition des statuts, par essence anti-démocratiques, n’est pas une simple oprion anodine !
Et, la meilleure riposte, contre ce gouverne-ment, qui ne veut en fait qu’épurer, pour le renforcer et non pas pour l’abolir, un système de caste statutaire, ce serait de le prendre à son propre piège,
en exigeant, tout de suite, l’abolition, en France aussi, enfin, de tout les statuts anti-démocratiques par lesquels le diviser-pour(régner à été de fait installé en France, en contradiction totale avec notre exigence d’égalité en dinité, donc en droit !