AU SUD OUEST : une catastrophe pour Israël
Loin d’une catastrophe, Israel garde la totale maitrise du ciel et continuera ses frappes contre les infrastructure iranienne.
A propos de la dernière frappe israélienne en Syrie, selon le Général russe Roudskoï, une importante proportion d’interceptions des missile israéliens témoigne « de la grande efficacité de ces systèmes (antiaériens) et de l’excellente formation du personnel militaire syrien, entrainé par nos spécialistes ». MDR
Personne ne croit (en dehors des benêts ) évidemment les chiffres publiés par les généraux du Kremlin, ce, d’autant plus que l’étendue des dégâts au sol, provoqués par des missiles qui auraient été détruits en vol, ne correspond aucunement à ces annonces publicitaires.
Tout d’abord, ce ne sont pas 16 missiles qui ont été tirés, mais 52.
Ensuite, Tsahal a innové à l’occasion de cette opération en de nombreuses manières : l’Armée israélienne n’est pas uniquement intervenue par les airs, elle a aussi lancé un certain nombre d’engins à partir de ses navires de guerre positionnés face aux côtes libanaises, de même que des fusées sol-sol.
De plus, elle a utilisé une vaste panoplie de missiles, dont c’était pour certains le baptême de l’air. Le Khe’l Avir, pour sa part, n’a pas recouru qu’à des F-16, mais aussi au bombardier furtif F-35 et des F-15, afin d’assurer sa suprématie aérienne en évitant aux Russes la stupide idée de faire décoller leurs appareils de la base de Khmeimim à proximité de Lattaquié.
Si les Russes n’ont pas fait appel à leurs S-400, c’est qu’ils savaient pertinemment qu’ils n’auraient pas davantage de succès avec ce matériel qu’avec celui qui était à la tâche. Les Israéliens n’auraient jamais envoyé leurs pilotes sur la Syrie s’ils n’en étaient absolument convaincus. De plus, si les Russes avaient utilisé les S-400 et qu’ils avaient manqué toutes leurs cibles, cela aurait démontré qu’ils ne sont pas à la hauteur, et cela aurait sérieusement porté atteinte à leurs activités commerciales face à leurs clients.