Puisqu’il ne s’agit pas d’un gouvernement, mais d’une
transition, toutes les modalités de celle-ci doivent être connues à
l’avance :
– Qui en seront les acteurs ?
– A quels changements immédiats faut-il s’attendre ?
– Quel sera le gouvernement après cette transition ?
Les pages suivantes offrent ces réponses, toutes placées sous le signe d’une philosophie contraire à celle des politiciens :
Rendre impossible toute forme de corruption
Toutes les actions doivent être concentrées sur le « Bien Commun ».
L’ensemble du peuple reste toujours le principal décisionnaire.
Comme indiqué, avec tous les détails sur ce site, les acteurs seront
tous de simples citoyens, en nombre suffisant pour constituer une vraie
représentation du peuple français. Ils seront organisés pour être plus
efficaces que des politiciens dont le seul mérite est d’être bien nés,
ou d’appartenir aux amis de la franc-maçonnerie.
Les politiciens sont actuellement plus de 4.000 pour gérer le pays.
2.000 seraient largement suffisants comme l’indiquent les comparaisons
avec d’autres pays, souvent plus peuplés. C’est donc environ 2.000
citoyens qui les remplaceront.
Parmi eux, plus de 300 sont déjà les principaux acteurs du Conseil
National et sont donc particulièrement informés de la situation réelle
de la France, et c’est là le plus important aujourd’hui : quelles que
soient les compétences d’une personne, si elle ne dispose pas
d’informations sûres et avérées, comment pourrait-elle élaborer une
juste réflexion et prendre de justes décisions ?
Ensuite, environ quatre cents experts seront invités selon leurs
compétences. Ces experts sont désignés et choisis par les citoyens
(liste en cours, non exhaustive, disponible sur le site).
Enfin, 1.300 citoyens tirés au sort viendront compléter ce Conseil
(ou moins si de nouveaux membres viennent s’y joindre avant sa mise en
place).
Le rôle présidentiel (relations internationales, armée et diplomatie)
sera assuré par un Conseil de sages d’environ 16 personnes : 8
provenant de l’ensemble du Conseil et choisies par celui-ci et 8
provenant d’institutions fournissant chacune le représentant qu’elle
aura choisi : armée, police, justice, douanes, diplomatie, santé,
éducation nationale, médias.
A ce stade, il est important de rappeler que ce Conseil n’est
pas un gouvernement mais une solution pour permettre à l’ensemble du
peuple de décider du mode de gestion du pays, sans passer par les
violences et le chaos qu’entraînerait une révolution.
Mode de fonctionnement
Plutôt qu’un « ministre » dont parfois l’incompétence est criante et
qui n’a pour seul mérite que d’appartenir aux amis de la
franc-maçonnerie, ce seront des commissions qui gèreront les
institutions.
Ainsi, par exemple concernant la Santé, une commission sera composée
des divers experts concernés (médecins, chirurgiens, infirmiers,
biologistes, biochimistes, agriculteurs, gérants d’hôpital,
fonctionnaires de la sécurité sociale, dirigeants d’assurance,
dirigeants de laboratoire, etc… admettons une vingtaine de personnes,
auxquelles s’ajouteront une dizaine de membres du Conseil Général, ainsi
qu’une dizaine de volontaires tirés au sort parmi les citoyens.
Toutes les institutions seront dirigées par des commissions composées
sur ce schéma, rendant impossible toute forme de corruption, et
garantissant l’intérêt des Français en priorité. Des commissions de
coordinateurs feront les liaisons entre les diverses commissions.
S’il est besoin de voter une loi, cela se fera automatiquement après débat télévisé et référendum (les moyens techniques actuels permettant de gérer cela avec facilité).
Le but est que cette transition dure le moins longtemps possible et
soit remplacée par le mode de gouvernement que le peuple aura décidé de
mettre en place. Une structure complète pour élaborer une nouvelle
constitution sera créée à cet effet.
PROGRAMME PRÉVU
Que faut-il pour que l’ensemble d’une population puisse, dans de bonnes conditions, créer une nouvelle forme de gouvernance ?
1) De véritables informations générales (indispensables)
2) Connaître la réalité de la situation actuelle (audit)
3) Vivre sereinement sans préoccupation économique
4) Jouir d’une période de calme social
5) Disposer d’une structure permettant à chacun de s’exprimer, de
débattre et de participer à l’élaboration du nouveau système qui sera
mis en place.