@Le Gaïagénaire
Sur
la crédibilité des sites scientifiques :
Petit
retour sur les mitochondries.
La
nouvelle découverte relatée dans la revue scientifique La Recherche (N° 307 de
mars 98, pages 40-42) avec pour titre « L’horloge de l’évolution ne tourne
pas rond » est fort intéressante et fort embarrassante pour les tenants de
la chronologie longue de l’histoire de l’homme.
http://crombette.altervista.org/fr_scife1o.htm
« Ils (les spécialistes de
l’évolution) ont par exemple calculé que l’« Eve mitochondriale » - la femme
dont l’ADNmt serait l’ancêtre de celui de tous les humains - vivait en Afrique
il y a quelque 100 000 à 200 000 ans. Avec la nouvelle horloge, elle aurait à
peine 6 000 ans. »
Quoi ! 6000 ans, mais c’est la
date de l’apparition de Eve !
Les médecins légistes et le F.B.I. utilisent
les données de la nouvelle horloge moléculaire.
Peut-être serait-il temps de se mettre à la
page ?
Le
livre de Gérard Nissim Amzallag, de l’université hébraïque de
Jérusalem, « La raison malmenée », CNRS EDITIONS,
sous-titré : de l’origine des idées reçues en biologie moderne. La 4è de
couverture en résume bien la teneur :
« G.M.
Amzallag montre en quoi les vérités les plus inébranlables de la biologie
moderne doivent souvent leur autorité à des considérations souvent fort peu
scientifiques, qui elles-mêmes, se voient agrémentées du précieux label
d’objectivité. Plus encore, c’est la méthode même d’investigation qui se trouve
affectée par une telle confusion, engendrant une pathologie chronique : La
fraude scientifique. Ce n’est pas le simple méfait ...mais bien une infidélité
générale à la réalité, ouvertement affichée et pleinement légitimée par la
méthode même. »
Nature a
publié la thèse portant sur la recherche cellulaire donc en biologie (bluff à
tous les étages) d’une japonaise pourtant vérifié par des scientifiques.
Comment se fait-ce ?
http://www.lepoint.fr/science/japon-la-starlette-de-la-recherche-cellulaire-clouee-au-pilori-03-04-2014-1808543_25.php
« C’est un des chercheurs ayant travaillé
avec Mme Obokata qui a déclenché le scandale en exigeant que la publication de
la thèse soit annulée, au motif que des éléments étaient faux. Il aurait dû
exercer son pouvoir de contrôle avant et est donc aussi en partie responsable,
même si les irrégularités sont le fait de Mme Obokata seule, a jugé le comité
d’enquête. »
Ah ben oui,
mais il n’y avait pas de créationnistes dans le comité de lecture, et en tout
cas, les critiques faites par les membres du comité ne sont pas publiées.
Alors les
« Il est prouvé » ne se basent que sur des comités de lecture qui ne
jugent que dans l’entre soi en éliminant les autres comités critiques comme
ceux des créationnistes.