Au fait d’où vient-il ce drôle de coco (ronavirus) ? On nous
parle de chauve-souris, de pangolins… Bof. Pourquoi pas, ces animaux
peuvent effectivement être des réservoirs immunisés de ce virus. Mais
pour qu’il affecte les humains, il faut que ceux-ci aillent faire chier
ces braves chauves-souris ou ces pauvres pangolins, non ? Pour les
bouffer ou pour d’obscurs bienfaits dans la pharmacopée chinoise. Et
deviennent eux-mêmes les vecteurs du virus.
Les mauvaises langues disent même que « 2019-nCoV » se
serait échappé… d’un laboratoire ! Bof, voilà le complot maintenant…
Sauf que sur des centaines de villes chinoises, l’épidémie mondiale d’un nouveau
coronavirus, jamais vu auparavant, se déclenche… dans la seule ville
chinoise où les meilleurs scientifiques du pays étudient les
coronavirus, en particulier ceux des chauves-souris ? Soit c’est une étonnante
coïncidence, soit le virus s’est échappé d’un laboratoire où il était
étudié, probablement en contaminant un chercheur qui l’a ensuite
transmis à son insu à la population. Bref, il y a de bonnes chances que
le virus soit parfaitement « naturel » mais que l’épidémie a été causée
par un accident de laboratoire.
Le virus le plus dangereux dans cette affaire, c’est celui de
la peur propagé par les me (r) dias « main stream » : villes en
quarantaine en Italie, économie considérablement ralentie, activités
sportives, culturelle stoppées, achats massifs de masques qui ne
protègent contre rien, etc. À quand un vaccin ou un traitement
miraculeux et fort opportun sorti des usines de ces bienfaiteurs de
l’humanité que sont les labos pharmaceutiques ? Comme les millions de
« vaccins Bachelot »…
Des pandémies, il en arrivera fatalement une bientôt. Ravageuse. Mais pas celle-là.