Bonjour @pemile,

j’en suis désolé pour vous qui êtes intensément happé par le délire, mais vous vous offrez en cas clinique. Comme votre prise de position est publique, j’espère que vous ne m’en voudrez pas de le mettre en évidence.

Vous contestez donc mon affirmation selon laquelle les Décodeurs font preuve dans la circonstance d’une mauvaise foi que j’ai l’amabilité de qualifier de délirante pour leur éviter la condamnation de manipulation consciente.

Et bien il suffit de les lire, ce que vous avez certainement fait, mais comme les épidémiologistes et infectiologues qui ne voit pas l’absence de seconde vague sur une courbe plate, vous ne voyez pas les mots que les journalistes du Monde écrivent.
Ils citent bien John Lauritsen, l’auteur de cette phrase :« Ces tests ne peuvent pas du tout détecter les virus infectieux  ; ils ne peuvent détecter que les protéines  », et qu’écrivent-ils quelques lignes au dessous ?
Cette phrase stupéfiante dans laquelle ils isolent justement les mots « virus infectieux » : "Dans l’article, l’inventeur de cette technique est bien cité brièvement par l’auteur [John Lauritsen donc] pour appuyer ses propos sur le sida, mais sans faire référence à des « virus infectieux »« .

Sans faire référence, affirment-ils, alors qu’ils citent la phrase où il le dit expressément !!
N’est-ce pas inouï ? Et bien c’est bien la démonstration d’une mauvaise foi évidente (délirante ou pas, et moi je la crois délirante tellement elle est peu masquée) qui crève les yeux...

Qui crève les yeux... au point que certains ne verront pas...

Vous lisez bien, mais comme vous êtes »délirant" vous ne verrez pas, et vous viendrez sans doute contester l’évidence que je viens de produire. Néanmoins tous les autres lecteurs non-délirants pourront observer cette évidence. Et c’est cela qui compte.