@Bendidon
Bonjour et merci autant pour votre visite que pour votre commentaire.
Je souhaite aussi que ce papier et les liens vers lesquels il renvoie puissent être lus, commentés, diffusés le plus possible.
Ayez confiance car les ressources de la France sont réelles et malgré les apparences nombreux sont les gens qui, partout, n’attendent que l’occasion de renverser la vapeur. L’exécutif a désormais la trouille. Il ne sait plus que faire, sinon poursuivre sa course en avant en espérant suivre l’événement plutôt que de peser sur le mouvement.
S’agissant de la politique sanitaire, on constate que là encore certains sont en retard d’un métro (cf. la « découverte » du Regeneron) :
"Le ministère de la
Santé explore la piste de traitements à base d’anticorps monoclonaux –
des anticorps de synthèse qui miment l’action des anticorps naturels –
qui pourront commencer à être administrés dans plus de 80 hôpitaux.
« Ce sont des espoirs nouveaux [...] qui renforcent notre arsenal
anti-Covid », a déclaré en conférence de presse le 25 février le ministre
de la Santé Olivier Véran en évoquant le sujet des « anticorps
monoclonaux ».
Alors que la France vient d’autoriser l’importation du médicament de
l’américain Eli Lilly, Olivier Véran a fait savoir que « quelque 83
centres hospitaliers [avaient] déjà reçu des milliers de [doses de] ce
traitement qui pourront commencer à être administrés avec prudence
initialement dans un cadre hospitalier pour des patients âgés de 80 ans
et plus, et qui ont des troubles de l’immunité ».
Vous noterez que D. Trump qui a été soigné avec le Regeneron (et peut-être M. Macron lui-même), est âgé de moin de 80 ans...cf. infra.
"Le ministre de la Santé a aussi assuré que des « dizaines de milliers de
doses d’anticorps monoclonaux d’une génération supérieure [...]
arriveront en France d’ici à la mi-mars ».
Le Figaro informait d’ailleurs le 24 février que l’exécutif se préparait
« à investir » dans ces anticorps monoclonaux, et envisageait « d’acquérir
plusieurs dizaines de millions d’euros de médicaments ».
Selon le
quotidien,
Emmanuel Macron aurait appris l’existence de ce possible
traitement en lisant une revue scientifique. Il se serait alors emporté
contre Olivier Véran, « en lui disant que ce n’était pas normal qu’il
apprenne cela dans une revue plutôt que par son propre ministre de la
Santé », selon un témoin de la scène cité par Le Figaro.
Ces traitements par « anticorps monoclonaux » ont connu une certaine
notoriété en octobre, lorsque l’ancien président américain Donald Trump,
brièvement hospitalisé pour cause de Covid, avait reçu à titre
expérimental celui de l’entreprise de biotechnologie Regeneron.
Le Regeneron a d’ailleurs reçu un avis favorable de l’agence européenne
des médicaments (EMA) le 26 février. Comme le précise l’EMA, cette
combinaison de deux molécules (casirivimab et imdevimab) peut donc
désormais être prescrite dans les pays de l’Union européenne sans
attendre une autorisation formelle.«
Comme le vaccin Sputnik en Hongrie avec ses habitants dont V. Orban prend grand soin en évitant les arcanes des agences européennes de santé.
»L’autorité poursuit l’évaluation en
temps réel de cette combinaison, tout comme celle de traitements par
anticorps développés par Eli Lilly et Celltrion.
L’Allemagne a pour sa part annoncé le 24 janvier avoir acheté « 200 000
doses pour 400 millions d’euros » de traitements à base d’anticorps
monoclonaux, ceux d’Eli Lilly et de Regeneron, soit 2000 euros par dose.
Des anticorps qui pourraient neutraliser le Covid-19
Fabriqués et « clonés » en laboratoire, ces anticorps de synthèse miment
l’action des anticorps naturellement produits par le système immunitaire
en cas d’infection. Un « anticorps monoclonal » est précisément conçu
pour reconnaître et cibler un agent infectieux.
Le ministère de la Santé précise sur son site que « l’administration
d’anticorps monoclonaux, en empêchant la pénétration du virus dans les
cellules et ainsi en luttant contre sa réplication, pourrait neutraliser
le virus à la phase précoce de l’infection ».
S’ils sont déjà utilisés depuis une trentaine d’années pour traiter
cancers ou maladies inflammatoires, leur principe a été adapté au
Sars-CoV-2, virus à l’origine du Covid-19 : ils s’attaquent à la fameuse
protéine S, qui forme à la surface du virus les petites pointes lui
servant de porte d’entrée dans l’organisme. L’anticorps s’agrippe à ces
pointes, les empêchant de s’arrimer à la cellule humaine pour
l’infecter."
Intéressant, n’est-ce pas ?
Cordialement. Il fait très beau. Bonne promenade !