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Commentaire de Legestr glaz

sur Astrazeneca - Une aiguille plantée dans le pied du gouvernement


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Legestr glaz Legestr glaz 6 mai 2021 11:09

@Aristide

L’information « brute » existe Aristide. Ce sont les « mises en perspective » qui ne se font pas ou, pire, qui sont évitées scrupuleusement. 

Le SARS-COV2 est un exemple extraordinaire de ce point de vue.

Les symptômes de ce virus sont absolument identiques à ceux d’une pneumonie.
Les pneumonie se soignent à l’aide d’antibiotiques type macrolide. Et plus les antibiotiques sont donnés précocement et plus les chances de sortir indemne de cette infection sont grandes. Pour le SARS-COV2 il a été pratiquement « interdit » de soigner à l’aide d’antibiotiques. Restez chez soi en compagnie d’un doliprane jusqu’à ce que la maladie fasse son oeuvre et provoque des dégâts, souvent irrémédiables, dans l’organisme, étaient les « conseils » prodigués par notre gouvernement. 

En France, chaque année, nous connaissons 400.000 à 600.000 cas de pneumonie. Et la grande question est bien celle de savoir combien de personnes atteintes de pneumonies sont restées chez elles en compagnie d’un doliprane sans qu’aucun soin ne leur soit prodigué ? 

Les informations nous les avons, par des voies détournées, il suffit de faire les mises en perspective. Mais la propagande est telle que c’est la manipulation des esprits qui est à l’oeuvre !

 Oui les attaques du SARS-COV2 se soignent comme on soigne un pneumonie.
 Oui les symptômes du SARS-COV2 sont identiques à ceux des pneumonies
 Oui les personnes à risque SARS-COV2 sont les mêmes que pour les pneumonies
 Oui les personnes à risque sont connues : autant devant les attaques du SARS-COV2 que devant celles de la pneumonie
 Oui les obèses, les diabétiques, les hypertendus, les insuffisants rénaux, les malades des coronaires ou du coeur, sont des personnes à risque, autant pour le SARS-COV2 que pour les pneumonies
 Oui toutes ces personnes à risque, absolument toutes, présentent un endothélium amoindri facteur de risque inouï pour les pneumonies et le SARS-COV2. 
 Oui les diabétique et les obèses sont carencés en zinc, en vitamine D, et j’en passe

Aristide, tout ceci nous le savons avec certitude. Mais les médias de masse n’en font « jamais » état ! 

Les injections expérimentales et tous les vaccins « anti-grippaux » ne peuvent pas permettre de combattre les virus respiratoires aérosols parce que ceux-ci sont très « changeants ». C’est bien pour des raisons d’immunité affaiblie que les « vaccins anti-grippaux » ont une efficacité minable chez la population cible(confère ci-dessus). Parce que, lorsque votre immunité est à l’abandon, votre système immunitaire ne sera jamais renforcé par un vaccin ou une injection. Toutes ces pathologies du dysfonctionnement du métabolisme entrainent une chute vertigineuse de notre système immunitaire, parce qu’il est sans cesse en train de lutter contre ces outrages que l’organisme subit. 


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