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Commentaire de Legestr glaz

sur Contaminations, formes graves, effets secondaires : pour chaque nouveau mensonge, quinze aveux pitoyables !


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Legestr glaz Legestr glaz 18 janvier 2022 19:54

@pemile 

Ce lien ne montre pas du tout ça. Parce que personne ne peut dire que les chiffres utilisés par covidtracker sont réels et personne ne peut dire ce qu’ils prennent en considération. Ils sont à des années lumière de prouver quoi que se soit. Covidtracker ne constitue pas une étude « scientifique ». Aucune méthodologie, des chiffres rapportés comme « on a envie » qu’ils le soient.

C’est bien d’ailleurs avec ce genre d’entourloupe que l’on fait croire à l’efficacité des injections. 

Mais, malheureusement pour vous, une injection n’est pas une baguette magique. Si un vaccin fonctionne, il le fait pour certaines raisons, ce n’est pas magique. Et ces raisons sont la production d’IgG « spécifiques », en l’occurence les IgG « spécifiques » pour le SARS-COV2 sont des anticorps antispike ! 

Ces anticorps anti-skipe ne reconnaissent pas la protéine de pointe d’Omicron. Ce n’est pas difficile à comprendre. Donc, les chiffres de covidtracker sont bidonnés. Les injections actuelles, faisant produire des anticorps anti-spike sont sans aucun effet sur la protéine de pointe d’Omicron. 

Par ailleurs, les chiffres « mondiaux », dans le lien ci-dessous, démontrent toute la supercherie, lien qui met en porte à faux tout votre discours. Hélas pour vous !

covid-19 dashboard

Parce que la « magie » a quand même des limites : les IgG anti-spike ne sont pas « spécifiques » à la protéine de pointe d’Omicron. Et ça, pemile, vous n’y pouvez rien, ni même les vaccinateurs ! L’immunité adaptative est une immunité qui est « spécifique ». A moins que ces IgG anti-spike ne soient plus « spécifiques », ce que vous allez nous démontrer n’est-ce pas ? Donnez nous donc l’explication en quoi les IgG anti-spike peuvent reconnaitre les épitopes de la protéine de pointe d’Omicron. Inutile de faire croire au Père Noël pemile. Les résultats scientifiques sont accablants pour les injections actuelles : elles sont obsolètes comme l’a souligné le chercheur biologiste Jean Marc Sabatier. 

Ci-dessous ce que l’on appelle une « étude scientifique », pemile, pas une extraction de chiffres par « covidtracker » !

https://www-ncbi-nlm-nih-gov.translate.goog/pmc/articles/PMC7723407/?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc

Les protéines de pointe à la surface du SRAS-CoV-2 sont considérées comme les principales cibles d’anticorps car elles sont accessibles et jouent un rôle essentiel en permettant au virus de se fixer et d’infecter les cellules hôtes. Les anticorps se lient aux protéines de pointe et certains peuvent bloquer la capacité du virus à infecter de nouvelles cellules. Mais certains virus, comme le VIH et la grippe, sont capables de muter leur équivalent de la protéine de pointe pour échapper aux anticorps. On ne sait pas si le SRAS-CoV-2 est capable d’évoluer efficacement pour échapper aux anticorps de la même manière....

Ces résultats montrent que le SRAS-CoV-2 peut muter ses protéines de pointe pour échapper aux anticorps, et que ces mutations sont déjà présentes chez certains mutants du virus circulant dans la population humaine.

En juillet 2020 pemile, alors que le pic épidémique s’est développé en mars-avril 2020. 


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