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La 69e réunion du Groupe Bilderberg, un conclave secret de
représentants du pouvoir mondial, s’est ouverte à Lisbonne, au Portugal,
avec à l’ordre du jour des questions telles que les menaces
transnationales, l’intelligence artificielle et le leadership des
États-Unis dans les affaires mondiales.
La réunion de cette année, la dernière d’une série qui a débuté en
1954, continue de brouiller les lignes entre la diplomatie ouverte et
l’élitisme clandestin, les dirigeants politiques côtoyant les grands
noms de l’industrie, les barons des médias et les magnats de la finance.
« Il s’agit d’une liste très animée, qui s’appuie fortement
sur le conflit entre la Russie et l’Ukraine et sur l’avenir de l’OTAN »,
a déclaré par courriel à Epoch Times le journaliste Charlie Skelton,
qui se trouve à Lisbonne pour couvrir l’événement de cette année.
Comme d’habitude, les détails de leurs discussions restent cachés par
la « règle de Chatham House », un protocole qui laisse aux participants
la liberté d’utiliser les informations glanées lors des discussions,
mais qui interdit l’identification des orateurs ou des participants,
garantissant ainsi l’anonymat.
« En raison de la nature privée de la réunion, les
participants y prennent part en tant qu’individus et non à titre
officiel, et ne sont donc pas liés par les conventions de leur fonction
ou par des positions convenues à l’avance », peut-on lire dans un communiqué de presse des réunions du groupe Bilderberg.