@Abolab
copié-collé : « Comment expliquez-vous alors que les études épidémiologiques montrent que le facteur commun le plus marqueur de mort précoce est la non-consommation de fruits, et que tous les aliments végétaux sont associés à une diminution de la mortalité toute cause confondue ? »
Parce que cela n’est pas vrai, que c’est un mensonge. Les études que vous évoquez, si elles existent, sont soit corrompues soit mal construites parce qu’elles ne prennent pas en considération tous les facteurs. Le principal « danger », pour la santé humaine, c’est le taux de glucose sanguin. Tout tourne autour de ça. Et les mangeurs de végétaux, à travers « l’amidon », qui n’est rien d’autre qu’une longue chaine de glucose, consomment force glucides. Mais ceux qui mangent force graisse animale et végétale, mais aussi force glucides, comme c’est « très généralement » le cas, vont développer, plus rapidement, des maladies métaboliques.
Personne ne viendra dire qu’il est dangereux et absolument délétère pour l’être humain de consommer les « céréales modernes ». J’espère que vous imaginez pourquoi ? Le gluten, l’acide phytique et l’agglutinine de germe de blé ont un effet désastreux, sur du temps plus ou moins long, sur la santé humaine. Les céréales « modernes » ne sont plus celles que consommaient nos anciens. Elles sont gorgées d’anti-nutriments et ne bénéficient plus des actions salvatrices du « levain ». Et, par ailleurs, apportent des quantités de glucides bien trop importantes. Les bactéries de fermentation, ce qui n’est jamais dit, produisent, pour certaines d’entre elles, des acétaldéhydes, très dangereux pour le côlon, parce que mutagènes et cancérigènes (des aldéhydes équivalents à ceux formés par l’alcool ou la consommation de tabac). Toute vérité n’est pas bonne à dire. Mais c’est la réalité biologique !
Cette même réalité biologique nous montre et nous prouve que l’alimentation animale est une alimentation « complète ». Les protéines sont d’une excellente qualité, les vitamines et les oligo-éléments y sont tous présents. Que dire d’autre. Et bien qu’il faut respecter la nature de l’animal. Parce que des produits animaux venant d’élevages où ils sont nourris de maïs ou de soja, cela ne respecte pas la nature animale des herbivores. Et on peut en dire autant pour la volaille et les poissons.
Les aliments végétaux contiennent tous des anti-nutriments, certains bien plus que d’autres. Les aliments végétaux sont déficients en certaines vitamines et oligo-éléments. C’est une réalité. Vous pouvez penser autrement mais cela s’appelle de l’idéologie. Ainsi, si l’Homme peut consommer des végétaux, il doit les sélectionner pour leur capacité à contenir le moins d’anti-nutriments possibles et le moins de glucides possibles.
Tout ceci sera parfaitement bien mis en évidence dans le livre que j’écris.
Connaissez vous le « pemmican » ou ’l’akutaq" traditionnels ?