@Legestr glaz
« Rainfall and humidity were significantly associated with lower average daily numbers of confirmed COVID-19 cases »
Cette citation dans votre premier lien suggèrerait plutôt à première vue un aérosol, car quand il pleut et que l’air est humide, les aérosols sont moins bien propagés que si l’air est sec. Même si les polluants atmosphériques peuvent jouer un rôle très néfaste pour la santé des poumons, de légères variations de polluants atmosphériques ne semblent pas pouvoir être considérés comme événements déclenchants de la COVID-19, tout au moins de potentiels facteurs aggravants. Il n’est pas exclure non plus que certaines particules microscopiques comme des polluants peuvent interagir avec la membrane des virus qui est chargée électriquement et les rendant potentiellement inopérants ou plus opérants. Si tant est que vous considérez que les virus sont des artefacts bien réels.
Des pollutions atmosphériques créées par des inversions thermiques ? Ce terme est pour le moins intriguant... Comme le jour et la nuit ?