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Commentaire de Legestr glaz

sur IA (Intelligence Artificielle) / Intelligence Humaine / Intelligence Biologique ou de la Nature ?


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Legestr glaz Legestr glaz 19 mai 09:40

@Legestr glaz

Suite et fin !

Mais alors, pourquoi parler de virus ?

Le discours dominant, ancré dans un paradigme virologique, détecte des « virus » via des tests PCR, qui en réalité amplifient des exosomes, ces vésicules produites par les cellules sous stress oxydatif, que ce soit à cause des PM2,5, de l’ozone ou de la malnutrition. Le biologiste Stefan Lanka a démontré que ces particules, loin d’être des agents pathogènes, sont des réponses biologiques naturelles. Les expériences invoquant des virus, comme celles prétendant que le SARS-CoV-2 utilise une protéine Spike pour pénétrer via le récepteur ACE2, sont des constructions de laboratoire, réalisées sur des cellules modifiées et des génomes assemblés par bioinformatique. Ces hypothèses, empilées les unes sur les autres, ne tiennent pas face à la réalité : à Milan, les vaccins n’ont pas empêché les pics de mortalité liés aux PM2,5, tandis que la Bretagne, sans pollution majeure, n’a pas eu besoin de telles mesures. Ce paradigme virologique, soutenu par des intérêts pharmaceutiques, marginalise les pauvres en ignorant les causes réelles, comme avant le Clean Air Act de 1956, qui a purifié l’air de Londres après le smog.

Plutôt que de s’enliser dans des vaccins coûteux et inefficaces, une approche intelligente s’impose : restaurer l’équilibre redox, ce rapport entre oxydants et antioxydants, pour protéger le corps. Une supplémentation en zinc, à raison de 15 à 30 milligrammes par jour, renforce les défenses antioxydantes, réduisant la mortalité dans des maladies comme la tuberculose. Le fer héminique, à 10-20 milligrammes par jour, combat l’anémie, tandis que des protéines, à 1 gramme par kilo de poids corporel, fournissent le glutathion nécessaire. La vitamine C, à 500 milligrammes par jour, neutralise les radicaux libres, limitant les dommages observés dans des syndromes comme Ebola. Ces interventions, coûtant quelques centimes par dose, sont accessibles aux populations pauvres, contrairement aux vaccins, qui ont englouti 10 milliards de dollars pour le COVID-19 sans résoudre le problème.

Réduire la pollution est tout aussi crucial : limiter les PM2,5 à 25 microgrammes par mètre cube, comme le recommande l’Organisation mondiale de la santé, peut prévenir des drames. Une surveillance par satellite, comme le système Sentinel-5P, alerte sur les inversions thermiques, tandis que des masques lors des pics de pollution protègent les plus exposés, comme au Tessin ou à Hanoï.

Améliorer les conditions socio-économiques complète cette stratégie. Fournir une eau propre, un assainissement et une alimentation riche en nutriments — viande, légumineuses — comble les carences qui fragilisent les populations. Investir dans des infrastructures pour réduire l’exposition aux polluants brise le cycle des épidémies. Ces solutions, universelles et abordables, contrastent avec le paradigme virologique, qui gaspille des ressources dans des tests biaisés et des vaccins inutiles. Les preuves sont accablantes : le smog londonien a tué 12 000 personnes sans virus, tout comme les crises de Wuhan et Milan ont coïncidé avec des pics de PM2,5. Les lésions en verre dépoli, bien que présentées comme un signe viral, s’expliquent par l’œdème et les microthromboses induits par les PM2,5, un phénomène universel que la malnutrition aggrave. 

Cette vérité exige une révolution scientifique et sociale. Il faut tester les causes réelles : exposer des modèles biologiques aux PM2,5 sous inversions thermiques, avec des carences, pour reproduire les syndromes épidémiques, des lésions en verre dépoli aux détresses respiratoires. Les tests PCR, qui amplifient des artefacts, doivent céder la place à des analyses objectives, comme la mesure du glutathion ou des exosomes. La science doit abandonner les narratifs virologiques, hérités d’erreurs historiques, et recentrer ses priorités sur la pollution, la nutrition et la justice sociale. Le Clean Air Act de 1956 a transformé Londres ; aujourd’hui, un engagement global peut protéger les vulnérables, ceux que le discours dominant oublie. Le smog londonien nous rappelle une vérité simple : la pollution tue, la malnutrition fragilise, et les inversions thermiques amplifient le désastre. Les épidémies modernes ne sont pas différentes. En restaurant l’équilibre redox, en purifiant l’air et en luttant contre la pauvreté, nous pouvons rendre la santé accessible à tous. Le diable est dans les détails, mais la vérité est limpide : les épidémies ne sont pas virales, elles sont humaines. Rejoignons une science honnête pour un monde où la justice n’est pas un luxe, mais un droit.


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