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À la recherche du temps perdu et passé, « Indiana Jones et le Cadran de la destinée » fait le job !

Coucou le revoilou : Indiana Jones ! Plus de quarante ans après sa création par les tycoons George Lucas et Steven Spielberg qui y tiennent plus que tout, le premier ayant carrément déclaré «  Si je pouvais être un personnage rêvé, je serais Indy  » (in Raiders of the Lost Ark : The Ultimate Saturday Matinee, Rolling Stone, 1981) pendant que le deuxième précisait au Hollywood Reporter en 2016, comme pour nous rassurer (« La seule chose que je peux vous dire est que je ne vais pas tuer Harrison à la fin »), notre archéologue américain bien aimé, aventurier dès son plus jeune âge et classé souvent comme le plus grand héros de cinéma de tous les temps, reprend donc du service en étant comme toujours ici la recherche d’un sacré Graal, à savoir un artefact antique mystérieux qui n’est autre que le Cadran d’Archimède, ayant le pouvoir de localiser les fissures temporelles tout en étant censé permettre de voyager dans le temps.

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Affiche (détail) du « Cadran de la destinée »

Cela tombe bien car ce film teinté de nostalgie, aux jolies couleurs mordorées (sa photographie, signée par le Grec Phedon Papamichael, est superbe), donne un rôle central au Temps. Ce long-métrage (©photos V. D.), mené tambour battant malgré quelques longueurs regrettables, c’est certainement une sorte d’Il était une fois Indiana Jones, film-gigogne rétrospectif qui mise sur l’aura de légende des précédents épisodes – hormis le 4, raté – et sur la mémoire de Jones (déclarant, lui qui a perdu son fils au Vietnam (exit ainsi Mutt/Shia LaBeouf du quatre !) et est en plein divorce, à sa filleule aventurière, « Dans ma vie, j’en ai vu des choses, j’ai subi des tortures vaudoues, j’ai pris neuf balles dont une de ton père. Mais ça, je l’ai cherché toute ma vie ») tout en s’ouvrant de nouvelles perspectives. Et c’est un peu aussi le Il était une fois… à Hollywood de James Mangold (Tarantino et lui sont deux cinéastes de la même génération, biberonnés par la culture de la fin des années 60 et des seventies).

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« Le Cadran de la destinée », à l’UGC Ciné Cité Les Halles, Paris
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« Les Aventuriers de l’arche perdue », 1981

Rien qu’un exemple : le Mangold réveille en sursaut notre bon vieux docteur Jones, tout hirsute et au seuil de la retraite à New York, au son du tonitruant Magical Mystery Tour (1967) des Beatles que passent à fond les ballons ses jeunes voisins hippies pour fêter le premier pas imminent de l’homme sur la Lune. Même si la bande-annonce du film, curieusement, lui préfère Sympathy For The Devil (1968) de Mick Jagger. Alléluia ! L’on ne perd rien au change, ou quand la musique est bonne. Et, au passage, question accompagnement musical, on n’oubliera pas non plus l’excellent travail d’invention et de recyclage du grand John Williams, âgé aujourd’hui de 91 ans - eh oui, comme Indy et pour nous les spectateurs, les années passent. Le compositeur attitré de Spielberg oscille allègrement ici entre nostalgie et humour pour revisiter sa partition d'anthologie. À l'époque de la sortie du tout premier, très ludique, façon bande dessinée d'aventure, Les Aventuriers de l'arche perdue (1981), ce musicien aguerri, à la solide formation classique, précisait : « Musicalement, je ne devais pas trop me prendre au sérieux. C'est une partition très théâtrale, over the top [sur le dessus]. On a des nazis, des poursuites et l’orchestre joue avec les clichés du Hollywood classique. » Pour ce numéro 5, soigné aux petits oignons (suite prévue dès le début des années 2010 mais retardée du fait de divergences de vue entre le tout-puissant Steven Spielberg, le scénariste David Koepp, Harrison Ford et Disney), Williams mise volontairement sur la carte nostalgique : « Les thèmes originaux seront là, notait-il dernièrement, comme un marqueur du passé. Mais je me suis également amusé à écrire de nouveaux morceaux, et notamment celui d’Helena, le personnage de Phoebe Waller-Bridge, qui a le panache d’une star classique. » Très juste.

Madeleine proustienne

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Indy, sur le pont des souvenirs (« Le Cadran de la destinée »)

Alors, que raconte ce Cadran de la destinée  ? Qui marche bien en salle en ce moment, sans atteindre pour autant un score époustouflant (il a fait tout de même 761 448 entrées en première semaine d’exploitation dans l’Hexagone), toutefois il devrait bénéficier de l’effet Fête du cinéma toute récente (du 2 au 5 juillet 2023). 1969, après avoir passé plus de dix ans à enseigner au Hunter College de New York, le célèbre prof d’archéologie Indiana Jones se prépare à prendre sa retraite, coulant des jours heureux dans son modeste appart où il vit désormais seul. Mais c’était sans compter sur la visite surprise de sa filleule, Helena Shaw, qui est à la recherche d’un objet de collection rare que son paternel avait confié à Indy des années auparavant, le cadran d’Archimède ouvrant les portes du voyage dans le temps, convoité également par une agente de la CIA ainsi que par un physicien allemand, ancien nazi protégé par les Ricains pour sa contribution à la conquête spatiale, rêvant de changer le cours de l'histoire : « Hitler a fait des erreurs. Avec ça, je les corrigerai toutes. » Arnaqueuse accomplie associant le vol au capitalisme, l’intrépide Helena subtilise cet objet de toutes les attentions, quittant précipitamment le pays pour le vendre au plus offrant. Bon sang ne saurait mentir, son parrain Indy n’a alors d’autre choix que de se lancer à sa poursuite, démentant une nouvelle fois les propos d'Henry Walton, "Indiana Jones" Junior dans La Dernière croisade  : « Soixante-dix pour cent de toute l'archéologie se fait en bibliothèque. En études. En lectures. » Ah oui ?! 

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Harrison Ford rajeuni dans « Le Cadran de la destinée »

Jones Number Five, franchement, il est bon, ce cinquième opus ! Du 4 sur 5 pour moi. Rondement mené, avec tous les ingrédients du genre (accrochez-vous : un château en 1944, son prologue, truffé de nazis, larbins de Hitler criant des Hell, hell à tout bout de champ, une mitraillette lourde avec de gros boum-boum, une relique aux pouvoirs maléfiques, un méchant terrifiant, une cavalcade dans les rues festives et le métro de la Grosse Pomme, une course-poursuite à Tanger, sans oublier bien sûr ses incontournables, comme son grouillement d’insectes urticants, ses ponts poussiéreux branlants, ses grottes crépusculaires ainsi que ses lieux de perdition), avec en sus moult clins d'œil aux précédents épisodes qui raviront très certainement les fans de la saga ainsi qu’un nappage proustien ô combien propice à l’émotion et à la tendresse : cf. le jeu temporel avec un brin de mélancolie, notamment la fin fort émouvante avec l'échange de regards, via de jolis rides autour des yeux ainsi que des adieux heureux, et le temps des souvenirs entre Indiana et Marion Ravenwood/Karen Allen, qu’on avait vue dans le tout premier ainsi que dans le quatrième. Ainsi, pendant toute l’arche narrative du film, l’on voyage tous azimuts de New York à la Sicile en passant par le Maroc et la Grèce... antique !, tout en ne perdant jamais le fil de l’histoire et des sentiments. C’est assez fort. 

La belle équipe

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Ray Liotta et Sylvester Stallone dans « Copland »

L'artisan James Mangold (Walk the Line, son chef-d'œuvre Copland (1997) avec, entre autres, le regretté Ray Liotta, affranchi pour toujours, 3h10 pour Yuma, Le Mans 66, Logan), remplaçant Steven Spielberg aux commandes de la saga, fait redoutablement bien le job, à la manière de, en se la jouant modeste (mettre ses pieds dans les pas d'un géant de l'entertainment, le puissant Spielberg), et c'est très bien comme ça - pas d'effets de style pour ramener la couverture à lui : le blouson de cuir, le Fedora (chapeau au feutre mou) et le fouet appartiennent bien, et ce définitivement (même si entre-temps, plus précisément en 2012, Disney s'est invité dans la partie, exit la Paramount !), à Spielby et à Harrison Ford, le vieux bougon hérisson d'Hollywood, menuisier à ses heures perdues, au capital sympathie fort. Avec pertinence, Mangold, digne successeur du roi du box-office Spielberg, précisait ceci dans Première (# 542, juillet-août 2023, p. 39) : « Je suis toujours déconcerté par les réalisateurs qui forcent un plan signature qui va à l’encontre de la logique de la scène, ou par ceux qui veulent absolument faire un plan-séquence parce qu’ils pensent que c’est ce qu’on attend d’eux. Tu peux affirmer ta personnalité juste en faisant la scène. Ce qui vient de toi ressortira naturellement. Cette franchise n’est pas à moi, et c’est d’ailleurs en partie pourquoi j’ai accepté de faire ce film.  »

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Comme un air du « Fugitif », Ford dans « Le Cadran de la destinée »

Revoir Harrison Ford sur un écran, à la fois jeune (via la technologie troublante du De-Aging pendant la séquence d’ouverture bluffante : lifting quasiment parfait via un maquillage numérique, ou de l'art de faire revenir les fantômes, définition du septième art par Jacques Derrida) et vieux (80 ans affichés au compteur), c'est 50 ans de cinéma qui défilent. C'est ça ce qu'on appelle une star de cinéma, il est, en plus de sa présence indéniable à l'image, la somme de tous ses films : de La Guerre des étoiles, de 1977 à 1983, avec un autre héros cinématographique de taille (Han Solo), à Apparences en passant par Blade Runner (2019), par Ridley Scott (1982), et 2049, signé Denis Villeneuve (2017), Witness, Mosquito Coast, Working Girl, Frantic (1988, mon préféré avec lui, il y joue finement un Américain perdu, à la recherche de sa femme étrangement disparue, dans un Paris contemporain en eaux troubles, polanskien en diable et magnifié par le maestro Morricone), À propos d'Henry, Présumé innocent, Le Fugitif (1993, énorme succès commercial et critique à sa sortie), Sabrina et autres K-19 : le Piège des profondeurs. Et, en ayant notamment commencé avec l'immense Francis Ford Coppola certes pour de petits rôles (Conversation secrète, 1974, Apocalypse Now, 1979), franchement Ford, Harrison de son prénom, était manifestement à bonne école. Chapeau, l'artiste.

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Harrison Ford recevant une Palme d’honneur, Cannes 2023

J’aime beaucoup cet acteur, bosseur, flegmatique et humble, il se voit tout au plus comme un honnête artisan, polissant ses personnages – le discret Harrison participe grandement à l’écriture de ses rôles – comme un ébéniste fignolant avec amour ses meubles, attaché à la vie, à la mort à son héros de prédilection (« Personne d’autre ne reprendra le rôle d’Indiana Jones, vous n’avez pas compris ? Je suis Indiana Jones. Quand je partirai, il partira. C’est simple », dixit Ford en 2019 à l’émission NBC’s Today), tout en n’ayant pas la mémoire courte : lors de la remise méritée d’une Palme d’honneur saluant toute sa carrière en mai dernier à Cannes, il s’est rappelé des tout premiers à avoir cru en lui (les Français de la Nouvelle Vague Jacques Demy et Agnès Varda). Puis il assume son âge - sur son regain de jeunesse lors de la séquence d’ouverture au temps des nazis, l’acteur notait (in l’hebdo Télécâble Sat #1726, 3/9 juin 2023, p.7), « Ce n’est pas la magie de Photoshop, c’est vraiment moi qui ait tourné ces scènes qui se déroulent durant la Seconde Guerre mondiale. Lucasfilm possède les rushs de tous les films Indiana Jones. Avec l’évolution de la technologie, ils ont réussi à me rajeunir de trente-cinq ans à l’écran. Je trouve cela très réussi mais ce serait qu’un tour de magie si ces effets spéciaux n’étaient pas au service du scénario. En l’occurrence, c’est tout à fait justifié et réussi. Cependant, je ne rêve pas de redevenir ce gars. Le temps a passé et j’assume. Je suis heureux à mon âge.  »

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Qui pour donner un coup de fouet à cette saga ?

Puis, Ford sait se tenir à distance de toute la fantasmagorie, via le miroir aux alouettes qu’est Hollywood et ses mirages, autour des stars. Dernièrement, et à raison, à un journaliste de Paris Match (#3869, 29 juin/5 juillet 2023, p. 59) qui l’interrogeait sur l’adulation à son égard sur plusieurs générations, l’octogénaire Harrison Ford, qui jouera le président des États-Unis dans le prochain Captain America, relativisait, avec sa placidité coutumière : « L’idolâtrie. J’ai du mal à comprendre. Je ne sais pas ce qu’est une icône. Certes, mes personnages vivent dans l’inconscient des spectateurs, je le sais. Mais ils sont aussi une combinaison d’apports de scénaristes et de metteurs en scène. Star Wars, Blade Runner ou Indiana Jones ont peut-être la particularité d’avoir résisté à l’usure du temps. Alors, que dire à mes fans, si ce n’est un énorme merci ? Merci de m’avoir donné la vie que j’ai, ma liberté, ma joie… »

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Harrison Ford et Ethann Isidore dans « Indiana Jones et le cadran de la destinée »

Indiana Jones et le Cadran de la Destinée. Seules ombres au tableau historiciste de ce pop corn movie, bande dessinée filmique revival réjouissante lorgnant toujours du côté de Tintin avec même une embardée inattendue, et bienvenue, vers le Alix de Jacques Martin (1948-2009), cf. le final twistique ! Mais chut, ne divulguons rien, ce cadran de la destinée magique d'Archimède, illustre scientifique grec né à Syracuse vers 287 av. J.-C. et mort en cette même ville en 212 av. J.-C., offrant, à qui sait s'en servir, une plongée spatio-temporelle des plus vertigineuses : le film est peu trop long - mais ça, c'est la loi du genre, blockbuster oblige, faut faire durer le plaisir des retrouvailles et que l'argent investi (250 millions de dollars tout de même, Lucas & Spielberg en sont toujours les coproducteurs) se voit à l'écran - et le gamin nommé Teddy (Ethann Isidore), sorte d'ersatz de Demi-Lune (l’orphelin chinois inoubliable d’Indiana Jones et le Temple maudit), est tout fadasse, passe-partout, pas loin d'être nul - dommage.

Coup de fouet d’Helena… Show 

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Indy et sa filleule (l’actrice Phoebe Waller-Bridge, née en 1985 à Londres) dans « Le Cadran de la destinée »

Bref, Indy est de retour, avec un atout de charme : Phoebe Waller-Bridge, comédienne que je ne connaissais pas. Sensas dedans ! Un charisme incroyable, elle est, quasiment à elle toute seule, l’effet spécial du film. Hautement séduisante, intello, casse-cou et opportuniste. Archéologue nouvelle génération patentée très vivante et faussement vénale, au charme so british. Elle pète le feu, littéralement. Pas loin de voler le show : Pr Jones n'a qu'à bien se tenir, sa filleule Helena Shaw donne un coup de fouet à cette saga vintage légendaire que l'on disait pourtant moribonde ; le 4, de triste mémoire, était effectivement calamiteux, avec des effets spéciaux cheap, à en être gênant lorsqu’on est fan de cette franchise eighties fantasmant les années 40, via une fixette prononcée bien connue sur la Seconde Guerre mondiale (tropisme spielbergien), et un jeune Shea LaBeouf aux abonnés absents, qui faisait grave pschitt. Cette actrice pétaradante (mazette, elle carbure à quoi ?), sans jamais pour autant en faire de trop, on peut lui passer direct, j'vous le dis, les commandes d'une hypothétique suite (même s’il paraît que ce 5 est l’ultime balade d'Indy) : passage de relai assuré. C’est décidé, je veux un... Indiana Jones, euh... pardon, Jane 6 ! À n'en pas douter, elle tiendra haut la main le flambeau - parole de scout. Quant au superméchant retors à souhait, pourriture de nazi finie, Mads Mikkelsen (la star danoise, beau ténébreux mystérieux itou itou), il assure grave, comme d'hab, confirmant, par la pratique, le fameux adage hitchcockien : « Meilleur est le méchant, meilleur est le film. » On ne saurait mieux dire.

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Un héros de légende : Indiana Jones, un aventurier de l’arc narratif retrouvé

Dans mon panthéon « jonesien », eh bien ce numéro 5 occupe désormais la troisième place : 1er Le Temple maudit (1984, noir de chez noir, étonnamment crépusculaire et encore flippant de nos jours, avec en prime une délicieusement agaçante Willie Scott/Kate Capshaw) ; 2ème Les Aventuriers de l'arche perdue (1981, la nostalgie du charme de la toute première fois : l'avènement d'un héros cartoonesque attachant, ronchon et chafouin même dans sa jeunesse, et d'un thème musical culte conçu par John Williams) ; 3ème Le Cadran de la destinée (2023, une belle percée ! Le plus proustien de toute cette saga, œuvre palimpseste d'un amoureux revendiqué et respectueux de la mythologie Jones, pas loin d'être à étudier tel un objet filmique archéologique lovant bien des secrets et pourquoi pas tapissé, mine de rien, de quelques zones d'ombre malgré sa ligne claire affichée : le De-Aging comme un possible bain de jouvence pour le cinéma tout en regardant dans le rétroviseur. À ce jeu-là (la quête de l’éternelle jeunesse façon Dorian Gray), Tom Cruise pourrait être battu ! Film de divertissement ambitieux à ne surtout pas snober en tout cas, selon moi) ; 4ème La Dernière croisade (1989, le thème fédérateur de la filiation et l'intergénérationnel attachant, même si dysfonctionnel, entre Harrison Ford et le vétéran Sean Connery, autre star de tout premier plan) ; 5ème Le Royaume du crâne de cristal (2008, ouille, Spielby s'est lassé de son jouet, possiblement Ford de son fétiche Indy également, rien à sauver dedans, ou si peu...). Au suivant, et ça tombe bien : c'est le réussi Indiana Jones et le Cadran de la destinée qui est actuellement au cinoche !

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« Le Cadran de la destinée », au cinéma depuis le 28 juin 2023

Indiana Jones et le Cadran de la destinée (Indiana Jones and the Dial of Destiny, USA, 2h34) de James Mangold. Avec Harrison Ford, Mad Mikkelsen, Phoebe Waller-Bridge, Antonio Banderas, John Rhys-Davies, Toby Jones et Karen Allen. Musique : John Williams.

 


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8 réactions à cet article    


  • anaphore anaphore 6 juillet 2023 08:28

    Bon c’est toujours un plaisir de voir que les nazis ont survécu des décennies après la seconde guerre mondiale, qu’ils ont perdu malencontreusement. On pourrait leur laisser une deuxième chance en ces année troublées....

    Après sur la bande annonce c’est gênant de voir un homme âgé de 80 ans sauter d’un véhicule sur un autre ...

    Le procédé qui consiste à rajeunir l’acteur principal lui donne des yeux de hamster... c’est étrange...

    Bon j’ai vu les 10 premières minutes... oui je trouve ca plutôt réussi ... je le verrai probablement *

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