Bonjour Pierre Régnier,
à mon avis, l’erreur sur lequel vous batissez votre discours est là, je cite : "Mais cette part (ce qu’il y a de bon en l’homme) est si mystérieuse et si belle dans son imagination
qu’il veut lui donner toute la place. Il la fait toute puissante et
infinie. C’est pourquoi il la projette hors de lui-même et la nomme
Dieu. C’est pourquoi il sait qu’il « peut s’y fier ».
Ce n’est pas l’homme qui se déleste de sa part si belle au profit de dieu ; ce sont les auto-proclamés initiés qui la lui confisquent au profit de Celui dont ils se prétendent les prophètes - en réalité, à leur propre profit. Et c’est toute la nuance.