A la lecture de ce 3ème volet nous sommes confrontés comme pour les précédents à deux approches, d’une part celle de l’auteur très érudite, compliquée mais respectable et d’autre part le message de Jésus qui s’adressait très simplement à son auditoire.
Un esprit saint est un esprit sain sans conditionnement, sans névrose ni savoir envahissant, c’est de nos jour extrêmement rare.
Je ne suis pas convaincu que la connaissance de l’errmétisme, de l’astrologie ou de toutes autres disciplines ésotériques soit d’une quelconque utilité, ces démarches ne font que renforcer ce que justement certains passages de l’article envisagent comme un obstacle majeur, en l’occurrence l’ego, et que Jésus avec le vocabulaire de l’époque appelait le satan qu’il a anéanti au cours de sa retraite dans le désert.