La lecture de ces pourcentages donne à penser :
- que le rêve d’un Syriza français relève de l’utopie.
- que la constitution d’une UMPFN (ou l’inverse) est fort vraisemblable.
- que l’existence d’un FNPS est une aimable plaisanterie sarkozienne.
- que le PS actuel risque de finir comme le PASOK grec.