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duffy

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Diplômé en droit de l’université de Toulouse I sciences sociales, j’anime en compagnie de mon épouse, un lieu de vacances et de séminaires dans les Pyrénées. 

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  • Premier article le 25/07/2007
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Ses articles classés par : nombre de réactions




Derniers commentaires



  • duffy duffy 10 janvier 2008 21:08

    Qui peut croire un seul instant à la portée de la réaction d’un parti politique qui n’est plus qu’un conglomérat d’élus. Totalement déconnnecté des citoyens de France, le PS se plaît à croire qu’il représente une alternative politique construite. Sur le problème de l’Europe, par exemple, ...

    Un pas en arrière, deux pas en avant, dansez mes frères, pendant ce temps, les émirs socialistes éclairent votre conmpréhension du monde.

    Laurent Fabius et Mélanchon partisans du non lors du référendum sur le projet de traité constitutionnel européen, François Hollande et Ségolène Royal, tous deux partisans du oui à la même échéance, que les truies que nous sommes y retrouvent leurs petits.

    Plus largement, dans un régime démocratique tel que le notre, il convient pour un parti politique de se doter d’un leader, avant même de définir les contours précis du programme qu’il va présenter aux électeurs.

    Manifestement, le PS en est bien incapable. Son avenir le plus probable est qu’il va doucement décliner pour bientôt disparaître, entrainant dans son sillage les ambitions décues de Madame Royal, de Monsieur Delanoé, et de quelques autres qui seront obligés dés lors de changer de fonds de commerce. Ainsi va la vie, si l’on oublie de se remettre en question, parfois on ne peut que disparaître.



  • duffy duffy 4 octobre 2007 20:53

    La structure inquisitoire de notre procédure pénale me parait être en totale contradiction avec les vecteurs sociaux qui dominent notre société.
    Chacun de nous, positionné comme auteur ou victime d’une infraction pénale attend de la collectivité qu’elle cherche les preuves matérielles constitutives avec soin, rapidité et avec un minimum de confidentialité pendant l’instruction. Concernant les auteurs présumés, ils seraient bien souvent très satisfait de pouvoir mettre en œuvre des moyens privés pour enquêter sur les éléments constitutifs de l’infraction.
    A l’heure actuelle, le juge d’instruction est chargé d’instruire à charge et à décharge ; c’est-à-dire qu’il dirige les officiers de police judiciaire vers une piste qu’il croît fondée. A aucun moment, une tierce personne ne peut enquêter parallèlement aux forces de police ou de gendarmerie pour apporter un éclairage différent des faits, voire des faits nouveaux pour mettre l’infraction dans une autre perspective devant le regard du juge du siège.
    Cela sera de plus en plus mal perçu par les justiciables. Individualistes comme consommateurs, compétiteurs dans l’exercice de leur travail, ils vivront de plus en plus mal le fait de tomber dans un système lourd, totalement dépersonnalisé, qui privilégie des méthodes d’enquête archaïques et une conception démesuré de l’état.
    La pression de la presse ne peut en aucun cas arranger les choses. Par nature, les journalistes sont rapides et mobiles. Bien des justiciables considèrent les éditoriaux de la presse audiovisuelle comme une vérité bien plus assise que celle qui sort de nos prétoires.
    Comment combiner l’impérieuse liberté de la presse avec la nécessité de conserver un rythme plus lent et paisible aux décisions de justice ?
    Les pistes de réponse à ces différentes questions me semblent résider plutôt dans la mentalité des opérateurs, que dans les moyens mis en œuvre. La formation est ici décisive, les nouvelles technologies, surtout la communication numérique devra prendre le pas sur le royaume du dossier papier qui est lourd à manier, difficile à convoyer, et qui se combine peu ou pas avec les autres supports media.
    De même, les politiques devront donner un grand coup de balai dans cet amas foisonnant de lois et de règlements. Qui peut se prévaloir de connaitre les cinquante et quelques codes qui compilent notre législation positive, la jurisprudence de nos cours et tribunaux qui en découle, et la doctrine de plus en plus opaque au vulgaire citoyen qui, je le rappelle, est tout de même le premier intéressé.
    Une conception nouvelle de l’état me parait indispensable à la réforme de ce système judiciaire complètement sclérosé et tout à fait inefficace.



  • duffy duffy 13 septembre 2007 10:07

    Merci pour votre commentaire, enfin quelques réalités essentielles mises en exergue.
    Le colonialisme du XIX ème a été relayé avec beaucoup d’efficacité par les « fils à papa » des ONGs.
    Il n’existe aucune différence de nature dans les motivations profondes de cet interventionnisme dangereux.
    En effet, l’évolution de la population joue en notre défaveur, évidemment, il n’existe aucune digue juridique ou militaire qui puisse nous préserver des conséquences migratoires de la faim et de la misère qui se développe dans l’hémisphère sud.
    Essayer d’expliquer cela aux abrutis de la CGT, qui continuent à dorer la pilule aux fonctionnaires, plus largement aux salariés de notre pays.
    Ce sont en principe, les mêmes philosophes éclairés, qui sont partisans d’aller convertir le petit nègre, le bon chinois et le pauvre arabe aux vertus de la démocratie occidentale, avec ce rien de mépris sournois pour leur culture et leur façon de comprendre et d’organiser leur vie sociale ; partant du principe égo centré que ce qui est bon pour nous l’est obligatoirement pour les autres.
    Bien sûr, c’est très con, mais cela marche, et cela permet à nos donneurs d’ordre de maintenir ce déséquilibre qui génère assez de misère pour que nous puissions en tirer parti.



  • duffy duffy 12 septembre 2007 19:35

    Cet article est intéressant car il pose bien le problème du décalage qui existe entre la législation et son application. Derrière les propos de l’auteur, on sent bien que seul un corps de fonctionnaires formés aux relations internationales, capable de maitriser plusieurs langues étrangères et qui a voyagé (à ses frais) peut arriver à résoudre l’équation en évitant les drames humains, autant que cela soit possible dans ce domaine délicat. Nous sommes loin du compte. Les problèmes posés par l’immigration sont des problèmes de flux. Croire que nous pourrons vivre derrière des frontières hermétiques a toujours été un mythe, qui ne fera que s’amplifier car les vecteurs de communication vont en augmentant. Ainsi, chaque pays récolte l’immigration qu’il mérite. Lorsque les fonctionnaires d’un état sont capables d’énoncer des règles claires, compréhensibles pour le nouvel arrivant, la donne s’éclaircit. Si, derrière ce premier rideau, l’état a pris soin de développer des trames de travail en collaboration avec les chefs d’entreprise du bassin concerné, on peut diriger l’immigré vers ce qu’il recherche, un travail digne, avec un logement. Reste à monitorer le nouvel arrivant de façon à ce qu’il comprenne que son séjour chez nous est conditionné à la réalisation de plusieurs évènements : 1) l’apprentissage de notre langue 2) le respect de nos lois - avec un petit plus sur l’explication de ce qu’est un état laïque - 3) le respect de son contrat de travail. Notre nouvel arrivant doit bien comprendre qu’il ne peut rester chez nous que dans la mesure ou il y exerce une activité, que dés lors que sa mission est terminée, il doit repartir chez lui, et cela à ses frais, et non aux frais du contribuable français. Le même corps de fonctionnaire devrait être chargé de suivre individuellement chaque nouvel arrivant. Si celui-ci commet un manquement à ses obligations, il devient immédiatement expulsable quel que soient les circonstances - avec ou sans enfants, avec ou sans famille - Les expulsions doivent être assez dures pour dissuader les étrangers d’entrer chez nous clandestinement. Il y en a assez d’assister à ces scandales répétitifs ou un jeune Sénégalais va draguer une Française qui passe ses vacances en Afrique pour obtenir des conditions d’entrée légales, puis ne fait que bénéficier de transfert sociaux sans apporter quoi que ce soit à notre collectivité. Il faut que cela cesse.



  • duffy duffy 9 septembre 2007 11:25

    Pour compléter, prenons la France de Louis XIV par exemple. Lorsque les souverains de l’Europe s’agenouillaient devant le « Roi soleil », le peuple pleurait dans les provinces, affamé, malade, étouffé par le poids de la fiscalité. La France de 1685 étaient centralisée, les provinces étaient soumises aux pouvoirs des intendants et des sous-intendants du Roi, Colbert y avait installé les manufactures royales, ces entreprises publiques avant la lettre, qui produisait sans discernement, sur la base de cahiers des charges décidés à Paris. Des indices précis comme le taux de population au Km carré montre bien que la France d’alors patinait sérieusement (40 habitants) Prenons la Hollande contemporaine de cette époque. Chacun s’emploie à produire et à vendre. Les vaisseaux de la flotte exportent draps, produits agricoles et autres productions nationales. Bien que Guillaume d’Orange, futur Roi d’Angleterre n’atteigne pas la renommée du Roi Soleil (et de loin), il est peu contesté que les gens du peuple vivait bien mieux au quotidien que leurs voisins de France. Antagonisme entre les trames sociales et religieuses qui génèrent, ou bien centralisme, dirigisme et rigidité imbécile, ou bien, proximité des pôles de décision, esprit de responsabilité et rétribution large et reconnue du travail bien fait. Réforme et contre-réforme, ... le sujet est si vaste, enfin, chacun trouvera des exemples innombrables pour illustrer l’idée que, dés lors que le pouvoir laisse les citoyens libre de décider par eux-mêmes ,les règles qui doivent leur être appliqué au niveau local, avec en contrepoint de cette possibilité, une responsabilité des personnes désignées sur leurs deniers personnels, les choses vont toujours mieux que lorsque un état centralisateur impose depuis le centre des règles, qui lorsqu’elles atteignent les membres de la communauté, n’ont plus de sens, que pour maintenir dans son statut imbécile, le fonctionnaire qui les applique.


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