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thomthom

35 ans, ingénieur Télécom de formation. Je suis consultant en solutions pour centres d'appels chez un grand intégrateur Européen.
 Je suis également webmaster de http://www.paris-vientiane.fr

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  • Premier article le 23/04/2008
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Derniers commentaires



  • thomthom 12 mars 2018 21:42

    Mais comment peut-on réussir à aligner autant de stupidités en si peu de lignes ?. il est écrit « il faut comparer ce qui est comparable : les rendements pour de mêmes variétés, dans des sols et des climats comparables, avec les mêmes méthodes de culture (avec ou sans rotation de cultures par exemple, qui n’est pas une exclusivité bio), ». Alors, OK pour les climats et les sols (et encore, la nature du sol dépend justement de la façon dont on le cultive, donc déjà l’argument du « sols comparable » ne tient pas tout à fait), mais concernant les variétés et méthode de culture, évidemment que la comparaison doit se faire, en toute objectivité, sur les meilleures solutions disponibles dans chaque approches : si vous cultivez sans pesticides des variétés spécialement conçues ou sélectionnées pour être utilisées conjointement avec des pesticides, vous obtiendrez effectivement des rendements lamentables, bien moins bons que ceux que vous pourrez obtenir en cultivant en bio des espèces adaptées avec des méthodes adaptées. Produire bio en se contentant de juste « retirer » les pesticides et engrais chimique est la chose la plus stupide qui soit et n’a aucun sens (et le ruine assurée pour celui qui le tenterait) ! Ce qui a été démonté, c’est que justement, en adoptant des méthode de culture adaptée, la perte de rendement en bio est très limitée. Ni plus, ni moins, MAIS C’EST BIEN CA QUI COMPTE. Quant à l’argument de la population sans cesse croissante, de toutes façon, il ne faut pas se tromper de débat : si le conventionnel permet (à court terme) de produire un poil plus, de toutes façons, malgré les milliards invertis par les géants de l’agro-business, les rendements stagnent. Tous ces investissements ne servent plus qu’à limiter tant bien que mal la baisse des rendements moyens observés à l’échelle mondiale, engendrée justement par appauvrissement des sols causé par ces méthodes inadaptées et non durables.... alors que de l’autre coté, les « bonnes » méthodes bio, encore balbutiantes, disposent de marges d’amélioration considérables moyennant des investissements bien moindre, et surtout, par leur nature, produisent des résultats durables. Mais surtout peu importe... peu importe que tel ou tel type d’agriculture produise 10% ou 20% de plus ou de moins, de toutes façon, il y aura un moment ou la planète ne pourra pas nourrir plus de monde que ce qu’on arrivera à y produire, et ce jour là, la seule solution sera la régulation démographique de l’espèce humaine , espèce la plus invasive que notre planète n’ait jamais connu (tabou qu’il serait grand temps de lever). Si on ne le fait pas de nous même, la planète nous l’imposera dans la douleur.... et peu importe que ça arrive un peu plus tôt ou un peu plus tard, ça arrivera fatalement !



  • thomthom 11 mars 2018 13:44

    mais mais.. Sarkozy aurait-il eu tord avec son « travailler plus pour gagner plus » ?



  • thomthom 31 mars 2016 13:47

    Il me semble qu’il y a une petite erreur dans l’article :
    Si les cadres au forfait jour font très souvent des horaires à rallonge de manière systématique, c’est juste car la loi n’est pas appliquée.

    Le forfait jour n’est en aucune manière un droit accordé à l’entreprise de faire travailler les employés sans limite. Le temps de travail moyen DOIT rester conforme à la durée légale du travail.
    la seule différence, c’est qu’on parle là de temps MOYEN... et ce sans que ni le patron ni l’employé ne ressente le besoin de passer par un système de pointage, de contrôle précis du nb d’heures travaillées.... question de confiance mutuelle : l’employé fait confiance à son employeur pour se voir attribuer une charge de travail qui en moyenne tienne dans la durée légale du travail, et le patron fait confiance à l’employé pour faire le job sans avoir besoin de surveiller ses horaires.

    ça c’est la théorie... en pratique c’est effectivement bien différent... mais la loi, c’est bien ce que je décris.



  • thomthom 6 mai 2015 22:15

    @VICTOR
    c’est clair, ce n’est pas la quantité de travail qui fait sa qualité. En prenant les bonnes décisions, en ayant les organisations adaptées, en prenant soin de se poser systématiquement les bonnes questions plutôt que de tourner en rond, on peut etre bien plus productif et efficace qu’un employé (ou une entreprise) qui se contente de bosser 15 heures par jour mais faisant tout de travers. D’ailleurs, c’est en repoussant systématiquement ses limites (travail hors horaires, travail malgré la fatigue...) qu’on fait les les plus grosses bêtises.... en plus de pourrir sa vie de famille ce qui forcément à un moment ou un autre a un effet sur le moral, et donc sur le travail.



  • thomthom 15 avril 2015 09:55

    @lsga
    Sans etre aussi radical, je prônerais personnellement un plafonnement des allocs, pour tous, à 3 ou 4 enfants par exemple. Ceux qui veulent leur petite colo perso restent libres de la faire, mais à leur charge. ça n’a aucune utilité sociale, donc qu’ils assument seuls ce choix si c’est ce qu’ils veulent.

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