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mike gallantsay

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  • Premier article le 16/07/2011
  • Modérateur depuis le 14/04/2012
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Derniers commentaires



  • mike gallantsay 14 avril 2012 23:27

    Chaban représentait le « gaullisme de gauche », si tant est que cette notion soit davantage qu’un slogan électoral. Nationalisme sourcilleux, mais sans xénophobie, industrialisation tous azimuts et une politique sociale assez généreuse, reprenant le concept un peu verbeux, il faut bien le dire, de Participation cher à De Gaulle.
    Un centre gauche nationaliste musclé, quoi.

    Mais en regard des politiques indignes que nous subissons, Chaban c’était l’âge d’or...

    Nommé en 1969, suite aux évènements de Mai, mon meilleur souvenir de Chaban Delmas est d’avoir liquidé en quelques mois tous les bidonvilles de la région parisienne, en particulier celui de Nanterre. Et quand je dis liquidé, ça ne veut pas dire à la Sarkozy : bulldozers, flics et charters ! Non, relogé tout le monde en HLM.
    En moins d’un an...
    Comme quoi...
    Comme disait De Gaulle : « là où il y a une volonté il y a un chemin ! »

    Mais c’était dans un contexte ou tout le monde se souvenait des dix millions de grévistes, des usines occupées, et où le PCF ( celui de Marchais dont Marine prétend récupérer les cendres ! Ils osent tout !) pesait 20% des voix.

    Pompidou ne l’aimait pas « les résistants m’emmerdent ! » disait-il, et il s’est heurté également à l’hostilité du CNPF.

    A la mort de Pompidou il était le candidat naturel des gaullistes comme on dit, mais il a été torpillé par une campagne de calomnies assez sordide, menée par la fraction la plus vichyste des giscardiens (ne pas oublier que tout le staff d’Occident, les fafs atlantistes et pro-sionistes, genre notre Mandrake : les Madelin, les Longuet etc... s’étaient recyclés au service d’ordre de Giscard) puis trahi par Chirac, cornaqué à l’époque par Marie France Garraud et Pierre Juillet, qui ramène un tiers des parlementaires gaullistes derrière Giscard en échange du poste de premier ministre.

    Quand je lis le programme social de Marine, certains passages sonnent comme un revival de la Nouvelle Société, effectivement.

    Mais à mon sens il n’y a que cette petite musique. Pour le reste, comme je le dis plus haut, retour aux fondamentaux : mort aux bougnoules !.Et pi c’est tout !

    Cordialement



  • mike gallantsay 14 avril 2012 22:54

    « Wahrheit triumphiert nie ihre gegner sterben nur aus. »

    Mais encore ?
    Ich spreche deutsch nicht ; verzweifelt !

    Sinon, vos anticipations sur l’effondrement de l’Impérialisme américain sont effectivement très pertinente. Y compris l’hypothèse du future nouvelle guerre de sécession.
    Hypothèse absurde il y a encore 20 ans, mais aujourd’hui...



  • mike gallantsay 14 avril 2012 20:29

    Merci.

    Je pense que c’est la Gauche, la vraie, qui devrait se décomplexer, tétanisée qu’elle est par le rappel incessant des crimes des régimes qui avaient usurpé le nom de communiste.
    Recevoir des leçons de morale démocratique des afficionados de Maggie est quand même un peu dur à avaler...
    Pas eux ou pas ça ! Non ?

    « Je vais m’abonner à The Economist. » 
    Et bien, je vous souhaite, comme disait De Gaulle « bien du plaisir ! »
    Personnellement question humour de presse j’en resterai à Siné Hebdo...

    Cordialement.



  • mike gallantsay 14 avril 2012 20:20

    C’est vrai. Et vous auriez pu ajouter la grande famine chinoise provoquée par la politique insensée du Grand Bond en Avant de Mao.

    Reste que les crimes du communisme, maintenant démesurément gonflés, nous sont répétés tous les jours ad nauseum. De surcroit présentés comme inouïs, incroyables, indépassables, jamais vus, balayant ainsi sous le tapis les dizaines de millions de morts, les tortures et les crimes du Capital et du colonialisme.

    Je ne veux pas dire que les uns excusent les autres, simplement essayer de soigner quelque peu cette fâcheuse hémiplégie de la mémoire occidentale.

    D’autant que le communisme, enfin ce qui se faisait appeler ainsi, a disparu depuis plus de 20 ans, mais que le règne du Capital, lui, est toujours là, plus arrogant et plus puissant que jamais.



  • mike gallantsay 14 avril 2012 20:08

    Ma réponse ci-dessus s’adresse à Par Pierre-Marie Baty , bien sûr.

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