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  • Premier article le 23/03/2012
  • Modérateur depuis le 19/04/2012
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Derniers commentaires



  • cliquet 26 juillet 2012 10:42

    « Nous aussi on avait voté NON... »
    Hélas non, le référendum sur le traité de MAASTRICHT avait vu une (faible) victoire du oui. Socialistes et RPR avaient fait campagne pour le oui et seul Philippe Seguin avait défendu le « non » coté RPR (Fillon avait suivi Seguin avant de tourner sa veste)
    Miterrand pensait « enfermer » les Allemands dans l’euro pour les empecher d’être trop « dominateurs » après la réunification. Quel visionnaire !
    Aujourd’hui, les Français qui réflechissent ont compris mais les politiques qui se succèdent au pouvoir ont aussi compris qu’une sortie de l’euro mettrait un terme (ou du moins une mise à l’écart prolongée) de leur carrière. Tous ont été formatés par le néolibéralisme depuis l’ENA et peu leur importe l’avenir du pays auquel ils ne croient pas de toutes façons



  • cliquet 25 juillet 2012 19:23

    Merci pour ce rappel de l’action de Roosevelt. Ce n’est du reste qu’à partir de 1950 environ que les banques US ont commencé à agir pour abroger le « Glass Steagall Act » et ce n’est qu’en 1999 que Clinton réussit à leur donner satisfaction. Le concept du « too big to fail » ne pouvait se concevoir qu’à cette condition préalable.
    Seulement voila, les dirigeants des grandes banques pensent tous qu’ils sont plus malins que leurs collègues, et au lieu de la jouer collectif, ils ont opté pour Macao. Il parait évident que la finance mondiale, largement dominée par les banques anglosaxonnes, ne survivra pas aux champs de ruine qui est le résultat de la cupidité de ses dirigeants. Théorisant leur attitude par le néolibéralisme de Hayek et Friedman, le principal résultat est d’avoir réussi à faire disparaître les classes moyennes.
    Le hic, c’est que ce sont justement ces classes moyennes qui faisaient la richesse des établissements bancaires. Le plus grave, c’est que la disparition des classes moyennes condamne probablement la démocratie, et par là-même les états avec leur rôle redistributif .
    Le temps semble venu de nous préparer au retour de l’autarcie et du troc....



  • cliquet 24 juillet 2012 19:27

    J’ai du mal à vous suivre, cher Fergus. Vous proposez de vendre une partie du patrimoine pour donner le fruit de cette vente aux enfants et échapper ainsi à l’impot sur le patrimoine. Autant supprimer cet impot car le resultat pour le fisc sera le même.
    Je me suis constitué un patrimoine important en économisant patiemment toute ma vie depuis pres de 50 ans car je savais que ma retraite serait relativement faible et j’ai été encouragé par les gouvernements successifs à agir dans ce sens, notamment par la fiscalisation « attractive » des contrats d’assurance-vie.
    J’ai aujourd’hui le sentiment de m’etre doublement fait avoir.
    L’assurance-vie ne rapporte plus rien et et si, en plus, il faut repayer des impots sur des sommes déja fiscalisées, c’est carrément un traquenard.



  • cliquet 21 juillet 2012 19:30

    Cher Monsieur Jutier
    Votre contribution est importante et j’espère que de nombreuses autres sur le même thème vont suivre. Nous devons réussir à inverser la marche d’une machine économique dont le travail souterrain a commencé il y a plus de 50 ans.
    Il faut que les français, passant par dessus les clivages politiques, se retrouvent sur « la France » comme avait dit de Gaulle en 1946. Ces clivages ne sont aujourd’hui entretenus que pour nous empécher de nous rassembler, mais, et vous le constatez, la politique néolibérale suivie par les politiques est strictement la même.



  • cliquet 12 juillet 2012 19:46

    "Erreur d’interprétation totale, influencée justement par les libéraux, qui affirment que la lutte des classes n’existent plus, alors que chacun voit bien que la guerre que les riches mènent contre les pauvres n’a jamais été aussi violente !« 
    C’est votre opinion, mais elle est un peu contredite par les faits. Il s’agit beaucoup plus de faire disparaître les classes moyennes par la désindustrialisation et les prélèvements fiscaux sans cesse plus lourds. Or, seules les classes moyennes sont »tondables« car les »pauvres"(pour reprendre votre expression) ne peuvent, hélas pour eux, plus rien donner.
    Or, ces classes moyennes sont l’apanage des démocraties, car, avant de servir à payer les interets de la dette, les impots étaient le principal outil de la redistribution.
    La disparition des états souverains implique également celle de la démocratie, et c’est ce qui est en train de se passer.
    Quant à l’avenir de Mme Le Pen, il appartient aux électeurs et il faut leur faire confiance.

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