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cliquet

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  • Premier article le 23/03/2012
  • Modérateur depuis le 19/04/2012
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Derniers commentaires



  • cliquet 30 mars 2012 00:12

    "A le voir tenir un raisonnement d’un niveau intellectuel à peine digne de la moule, je pense que l’auteur est un sous-marin, un idiot utile payé pour faire de la désinformation sur internet"

    Désolé de vous décevoir, mais je ne suis rien de tout cela. J’essaye simplement, comme on dit, de faire la part des choses. Quant à mon niveau intellectuel, je n’ai aucune prétention de ce coté.
    Par contre, j’ai une certaine méfiance instinctive envers les gens qui tiennent des propos dont seules la répétition et la propagation leurs confèrent l’apparence de la vérité.
    Quand j’étais étudiant, au quartier latin à la fin des années 60, il n’était déja pas bon de sortir de la pensée exprimée par la multitude. Pourtant, la vraie démarche scientifique ne prospère qu’avec le doute, et n’est pas compatible avec la vérité révélée. Je n’ai fait qu’exprimer un doute pour susciter une réflexion, qui, je le pense, viendra tôt ou tard.



  • cliquet 28 mars 2012 11:02

    « aucune voix de la gauche cohérente ne pourra jamais se reporter en faveur du nationalisme »
    Voila une phrase intéressante. J’ai le sentiment que cet antinationalisme tient plus du dogme que d’une conclusion argumentée.
    Je poserai simplement 2 questions :
    - Pourquoi les nations existent-elles ?
    - Pourquoi réussissent-elles à survivre pendant des millénaires ?
    Les nations existent essentiellement parce que les peuples qui les constituent en ont décidé ainsi.
    Cette notion de nation me parait donc indissociable de celle du peuple. Cette idée de nation s’est trouvée volontairement dégradée lorsqu’on l’ a superposée à celle de la guerre, acte éminemment antiphatique, aprés la guerre de 14 et renforcée par la barbarie nazie, qui était née, par abus de langage, du confluent du nationalisme et du socialisme, pour la seconde guerre mondiale.
    On voudrait nous faire croire que le socialisme est par nature internationaliste (prolétaires de tous les pays, unissez-vous contre l’opresseur quest le « grand capital ») mais c’est une contre vérité.
    La nation française est née à Valmy. C’est le peuple français qui a défendu cette entité contre la coalition ennemie qui voulait restaurer la monarchie. Charles Péguy, qui était socialiste, était également nationaliste.Non, le nationalisme n’est pas cette tendance à la domination d’un état sur un autre (ou plusieurs autres) qui engendre inévitablement les conflits. Ceci s’appelle l’impérialisme. N’en déplaise à certains historiens, César, Charlemagne, Napoléon ou Hitler n’étaient pas des nationalistes mais bel et bien des impérialistes.

    Pourquoi les nations perdurent-elles ?
    A mon avis, parce qu’elles représentent une sorte d’état d’équilibre entre le sentiment de liberté indispensable à l’épanouissement des peuples et le sentiment d’une certaine sécurité qui nait de la solidarité.
    Hélène Carrère d’Encausse, dans son ouvrage « l’empire éclaté » avait parfaitement analysé ce processus. La révolution russe trouvait sa cause non pas dans la lutte des classes, mais dans le désir de liberté des petites nations adjacentes colonisées par le régime des tsars.
    Conformément à la la prévision d’H Carrère d’Encausse, ces nations sont réapparues immédiatement aprés la chute de ce qu’on avait fini par appeler « l’empire soviétique »
    Je pense également que les grands lobbies capitalistes ont parfaitement vu le profit qu’ils pouvaient retirer de cet antinationalisme dogmatique. Cela leur a permis de vendre l’idée que l’avenir passait par la disparition des états-nation, donc d’abolir toute forme de barrières qui auraient pu protéger les peuples de la concurrence faussée de cette main d’oeuvre quasiment gratuite qui méne notre économie à sa perte et leur génère des bénéfices hallucinants.
    Le nationalisme n’est ni ne droite, ni de gauche. Il est essentiellement un réflexe de défense lorsque nos conditions de vie sont menacées par des prédateurs qui veulent imposer une « mondialisation » pour nous faire vivre dans « le meilleur des mondes »



  • cliquet 20 mars 2012 09:26

    Je pense qu’on a diabolisé à dessein le concept de nation. L’un des vecteurs de cette diabolisation est qu’une nation introduit nécessairement un critère de différentiation entre ceux qui appartiennent à cette nation et les autres. Or, nous sommes rentrés dans une culture qui voudrait prohiber toute différenciation entre les humains quels qu’il soit. Le mécanisme intellectuel est le suivant : Tout critére de différenciation procède d’une forme de ségrégation, donc
    assimilable au racisme. C’est en jouant sur cette peur qu’on arrive finalement à discrediter l’idée même de nation. Tout nationalisme est donc basé sur le racisme et doit être éliminé.
    Je pose simplement la question :
    Au profit de qui ou de quoi ?



  • cliquet 10 février 2012 17:20

    Je ne suis pas d’accord avec vous en ce qui concerne le rôle de la banque centrale de lutte contre l’inflation. l’inflation.
    Celle-ci n’est due qu’à la différence entre les recettes et les dépenses de l’Etat., ce qui génère un emprunt de la part de celui-ci Si il y a création de monnaie, il ya de l’inflation, mais si la banque centrale possède suffisament de liquidités, on ne crééra pas de monnaie..
    Et puis, entre nous, une inflation maîtrisée inférieure à 5% n’a rien de catastrophique et possède même certains avantages.
    En 1923, l’Allemagne est partie dans une spirale inflationniste pour pouvoir rembourser les pénalités imposées par le traité de Versailles, mais c’était un cas particulier.



  • cliquet 10 février 2012 17:06

    Certes, mais dans l’hypothése ou la France quitterait la zone euro, il faudrait néanmoins abroger la loi de 1993, elle même basée sur la loi du 3 janvier 1973.
    Pour parler clairement, on fait comme tous les autres pays (USA, GB, Cnine, Brésil, etc) qui financent leur état par èmissions d’obligations achetées par leurs banques centrales

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