Les euro-obligations étaient une excellente solution, il y a 6 mois, aujourd’hui c’est trop tard et trop peu. A force d’attendre, il faut passer au stade supérieur, c’est à dire au financement directement auprès de la BCE, par prêt au taux directeur de 1.75 % voire par pur rachat de dette et effacement.