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Accueil du site > Tribune Libre > Le Pape, Condorcet et la surpopulation

Le Pape, Condorcet et la surpopulation

« Certains croient, excusez-moi du terme, que, pour être bons catholiques, ils doivent être comme des lapins » Le Parisien.fr, 19 janvier 2015

« Certains croient que – pardonnez-moi l’expression – pour être de bons catholiques, on doit être comme des lapins » Le Figaro.fr, 20 janvier 2015

Tel est le message que le Pape François, rompant avec un dogme sacralisé par toutes les religions, délivrait au monde il n’y a pas si longtemps, au retour d’un voyage durant lequel il avait été directement confronté aux profondeurs de la misère régnant dans un bidonville de Manille, bidonville comme il en existe de plus en plus nombreux et de plus en plus démesurés sur terre. Il exprimait de la sorte, en termes exceptionnels, ce que ressentent tous ceux qui perçoivent la coïncidence entre l’accroissement des maux dont est frappée l’humanité et sa démographie galopante ; il a ainsi contribué à ouvrir les yeux de tous sur des perspectives en la matière, que nul n’ose imaginer, à part quelques esprits clairvoyants dont les avertissements ne sont entendus que pour être aussitôt submergés par les sophismes que dictent la peur et l’hypocrisie.

« … s’ils ont [les hommes] des obligations à l’égard des êtres qui ne sont pas encore ; elles ne consistent pas à leur donner l’existence, mais le bonheur ; elles ont pour objet le bien-être général de l’espèce humaine ou de la société dans laquelle ils vivent, de la famille à laquelle ils sont attachés, et non la puérile idée de charger la terre d’êtres inutiles et malheureux…, sans qu’il en résultât cette destruction prématurée, si contraire à la nature et à la prospérité sociale d’une partie des êtres qui ont reçu la vie. » Ainsi s’exprimait Condorcet, il y a un peu plus de deux siècles (cf. Esquisse d’un tableau historique des progrès de l’esprit humain. GF Flammarion – Janvier 1988 – Page 283), au moment où son contemporain Malthus intervenait – à sa manière et après bien d’autres – sur la question de la surpopulation.

Même si l’audience et l’autorité d’un Pape n’ont pas épargné à ses propos d’être rapidement étouffés par ceux qui dans son entourage refusent l’évidence, n’est-il pas significatif que deux grands courants de pensée aussi antagonistes que peuvent l’être celui émanant des lumières de la Révolution française et cet autre né des Évangiles au nom duquel s’exprime un souverain pontife, se rejoignent sur l’essentiel ?

Le monde est profondément malade d’une surpopulation qui frappe la planète d’indigestion, telle est la vérité, aussi crue qu’elle puisse être. C’est un problème que nul ne peut désormais refuser de considérer comme réel et sérieux ; nécessitant en conséquence des solutions appropriées et urgentes ?


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17 réactions à cet article    


  • howahkan 5 octobre 2016 18:57

    Salut, nous vivons tous sur cette planète et il y a de la nourriture pour tous, il y a assez de tut alors si en plus on devient coopératifs et partageurs donc en paix mais un tel groupe faut pas l’énerver.. le maître est fini ça s’écrie FINI....le nombre d’habitant fait peur aux élites car l’éveil a commencé et le nombre peut très rapidement devenir incontrôlable...le maître a peur à ses fesses.... et il a bien raison...car contrairement à ce que le maître fait croire...il est loin d’être sur de gagner...

    voila pourquoi ce sujet...

    une fois réunis à nouveau comme au début des hommes qui étaient contrairement à nous intelligents , il n’y a pas de problèmes qui ne trouvera sa solution par la compréhension profonde de celui ci...

    la masse doit d’abord voir que chacun est aussi le problème...en acceptant le jeu maléfique du maître appelé compétition,mais qui cache en fait une élimination nous devons arrêter ce jeu qui est guerre,crimes, insécurité etc
    nous devons arrêter le maître en arrêtant déjà d’avoir une mentalité d’esclave.., une seule solution être uni sur un collectif volontairement pour faire ensemble et volontairement la production de tout ce qui est vital par et pour tous, avec partage équitable, les parasites qui sont tous en haut de la pyramide au boulot !!! les plus durs...
    etc..bien sur..pas mal non smiley mais aussi smiley et encore smiley


    • Claude Courty Claudec 5 octobre 2016 21:10

      @howahkan

      Sauf qu’une révolution chasse l’autre et que la pyramide sociale reste la même, avec un pouvoir au sommet et le reste dessous, qui suit, jamais content (avec quelques bonnes raisons). Voir à ce sujet, ici même, mon article publié il y le 30 août 2014, sous le titre : La pyramide sociale inversée, ou le triomphe de la pauvreté.

      Quoi qu’il en soit, s’il y a grand chambardement un jour, les plus nombreux à en souffrir seront toujours les mêmes. Autre raison pour que nous cessions de proliférer

    • Claude Courty Claudec 5 octobre 2016 21:48

      @howahkan

      Autre manière de dire : « Toute révolution est la promotion violente d’une nouvelle classe dirigeante » Gaston Bouthoul - in Variations et mutations sociales, p.177 - Payot 1968

    • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam 6 octobre 2016 18:49

      @howahkan

      Si tu le dis....

      J’ai une info pour toi (qui peut ma foi t’interesser), par exemple dans notre pays (la France) la pression démographique est déja de 130%

      une autre étude, cette fois de contribuables associés, je cite :

      « B - la pauvreté endémIque 
      Quand la croissance démographique est supérieure à la croissance écono-
      mique
       pour des pays qui ont accumulé un retard conséquent, la pauvreté 
      devient un handicap insurmontable.
       L’écart entre riches et pauvres ne fait 
      que se creuser sur la planète. 20% de la population disposent de 86% des ressources alors que  les 20%  les plus pauvres se «  partagent  » moins de 1%. »

       

      Mais tu nous expliquera qu’on peut changer le monde, que on peut tous sucer des callouxs lorsqu’on sera 30 milliards, que se laver tous les jours c’est mal une fois par semaine suffit amplement (pression démographique sur l’eau), que la biodiversité est inutile (effacement des forets primaires pour agrandir les cultures), extinction des especes....

       

      Et que lorsqu’on sera 60Millards, d’autres expliqueront comme toi que seul l’esclavage est possible dans le partage...et qu’il faudra bouffer nos morts pour la survie et l’agrandissement continuel du grand capital (voir le film soleil vert)



    • Abou Antoun Abou Antoun 5 octobre 2016 19:45

      Moi aussi, Claudec, je vous ai mis 5 étoiles, et je vous en mettrais 10 si je pouvais. D’accord avec vous également Etbendidon.
      Les mêmes idiots qui plaident pour une planète à 10 ou 15 milliards militent également contre le nucléaire, pour l’abandon de la culture intensive, pour le retour au moyen-âge agricole et industriel.
      Ce qui ne les empêche pas de rouler en bagnole dans Paris (sans payer leurs contraventions).
      Saluons quand même le courage du pape François qui prouve que pour l’Église le sujet n’est plus tabou.


      • Claude Courty Claudec 5 octobre 2016 21:01

        @Abou Antoun


        Merci et même réponse qu’à Ebendidon

        Cordialement

      • Montdragon Montdragon 5 octobre 2016 21:24

        Bouh Claudec vilain waciste..l’Homme du futur est noir ou métissé, je l’ai vu aux pubs à la télé de TF1, c’est pourtant simple merde !

        Je suis G.Soros et j’approuve ce message.


        • Christian Labrune Christian Labrune 5 octobre 2016 22:45

          à l’auteur,
          Cet accroissement de la population, les changements du climat, tout cela n’a pas beaucoup d’importance. Bien avant la fin de ce siècle, l’intelligence artificielle des machines sera parvenue à la parité avec celle de l’homme, laquelle ne semble pas avoir beaucoup progressé depuis la naissance de la philosophie grecque. L’intelligence artificielle travaillant à sa propre complexification pourra évoluer en revanche selon selon une progression qui, lorsqu’elle serait cent fois moins rapide que ce décrivaient les conjectures de Moore, créerait en peu d’années entre l’homme et la machine pensante un écart à peu près équivalent à celui qui nous sépare actuellement des animaux les plus intelligents, lesquels n’ont jamais eu un poids bien considérable dans les décisions qui concernaient la marche du monde. On aboutit ainsi à l’alternative suivante  :

          Si le génie humain devait n’être jamais capable de produire des systèmes artificiels munis d’une intelligence égale à la sienne, ce serait la preuve définitive que l’hommel n’est pas aussi intelligent que l’ont toujours pensé les humanistes. Ce serait un terrible échec, une atroce limitation des ambitions de la connaissance. Dans les années 80, où ce qu’on appelait « intelligence artificielle », c’était les moteurs d’inférences des systèmes experts qui n’ont rien du tout d’intelligent, certains croyaient encore que les machines n’accèderaient jamais à ce que les philosophes appellent la conscience. Ce n’est plus le cas aujourd’hui.

          Si, en revanche, l’homme parvient à fabriquer un système pensant artificiel, il sera très vite dépassé parce que l’intelligence d’origine biologique évolue trop lentement, et il sera très vite supplanté par sa propre créature. C’est à elle que reviendront ensuite, nécessairement, les décisions concernant la gestion de la planète et même, pour commencer, d’un système solaire dont la conquête deviendra tout à fait envisageable. Mais au fond, quelle importance ? « Toute notre dignité consiste en la pensée », disait Pascal, et pourvu que ça pense, peu importe que ça soit de la matière grise ou des architectures électroniques.

          Nous pourrions difficilement vivre sans oxygène, sur mars ou sur la lune, ou à des températures proches du zéro absolu, mais quand la température de la terre se réchaufferait ou se refroidirait de cinquante degrés ou même plus, à une machine pensante, ça ne fera ni chaud ni froid. Or, si le choc d’une gigantesque météorite ne détruit pas notre planète avant qu’on arrive à ce que les posthumanistes appellent « singularité », c’est ce qui ne devrait pas tarder à se réaliser. L’histoire humaine touche à sa fin. Dans un siècle ou deux, s’il reste encore quelques hommes entièrement naturels et point du tout interfacés à des réseaux cybernétiques (mals la plupart le sont déjà), ce sera dans des zoos.


          • Claude Courty Claudec 6 octobre 2016 04:19

            @Christian Labrune

             
            Merci de cette contribution, que bien peu de visiteurs d’Agoravox liront, je le crains, à en juger par le nombre de ceux qui manifestent le moindre intérêt pour l’article auquel elle répond.

            Il se trouve que votre propos résume précisément ce que m’a inspiré la lecture du récent livre de Luc Ferry, "La révolution transhumaniste", menant à s’interroger sur l’utilité d’un partage des interrogations de quelques-uns sur les causes et les conséquences de ce qui se réduit à la vanité humaine.

            Mais même s’il ne s’agit que de retarder d’aussi peu que ce soit le naufrage de l’espèce, le problème reste entier : le « dégraissage des structures » n’est-il pas l’ultime recours et la mesure la plus urgente à prendre, pour ne pas dire la seule ? La surpopulation n’étant après tout que la conséquence suprême de cette même vanité et de la démesure qui en résulte, tant redoutée des Grecs anciens, depuis lesquels l’intelligence de l’homme à effectivement bien peu évoluée.


          • Christian Labrune Christian Labrune 6 octobre 2016 17:11

            @Claudec
            Je m’étais promis d’acheter le bouquin de Ferry et j’avais fini par oublier. Vous faites bien de me le rappeler. Il a beaucoup moins de préjugés, en général, que beaucoup de ses confrères « philosophes » assez ignorants de ce que la science et la technique sont capables de produire. J’avais quand même l’impression, mais je ne saurais pas dire pourquoi - peut-être une émission entendue distraitement à la radio - qu’il était lui aussi réticent concernant les spéculations des trans-humanistes, lesquelles sont pourtant des plus rationnelles. Je vais commander son bouquin.
            On a beau se dire que tout cela est quasi certain, c’est vrai qu’on a quand même du mal à le penser, même si on ne croit évidemment pas que la « courbe du chômage » chère à ce pauvre Hollande puisse jamais s’inverser. On peut difficilement imaginer qu’après quatre millions d’années d’évolution de l’espèce humaine, tout puisse prendre fin en moins d’un siècle. Sans doute il sera possible d’augmenter un peu, dans un premier temps, l’être humain, en l’interfaçant avec les machines ; cela se fait déjà, mais il y aura assez vite une limite.
            Il y a bien des limites aussi dans le domaine de l’informatique : on est arrivé à un tel degré d’intégration des composants que depuis quatre ou cinq ans la vitesse des processeurs ne peut plus augmenter à cause de perturbations au niveau quantique, mais d’autres solutions commencent à se faire jour, et les recherches sur les nano-technologies, dont il y a beaucoup à attendre et qui viennent de valoir un Nobel à Jean-Pierre Sauvage sont encore dans la petite enfance.
            Vous parlez d’un « naufrage de l’espèce ». Je ne pense pas que ce soit un naufrage : rien de ce qui aura été produit d’admirable depuis cinq millénaires ne disparaîtra. Il s’agit plutôt d’une espèce de métamorphose de l’intelligence, et le papillon me paraît au fond plus intéressant que la chrysalide dont il est sorti.


          • Christian Labrune Christian Labrune 6 octobre 2016 22:54

            @Gatinais33
            Moi aussi, j’ai cessé depuis longtemps d’être jeune. Par conséquent, il est plus que probable que je n’assisterai pas à ces intéressantes transformations. Il n’y a en tout cas aucune raison d’imaginer qu’une intelligence supérieure à la nôtre se comporterait comme les robots révoltés de la science-fiction des années 30. Bien des abrutis, il y a trente ans, s’enorgueillissaient encore d’avoir massacré des lions ou des éléphants. Dans les pays civilisés, cela apparaîtrait désormais comme le comble de la stupidité.
            Le problème, c’est qu’on ne peut pas du tout imaginer ce qui résultera d’un dépassement du niveau maximal actuel d’intelligence. Pas plus que les chimpanzés ne seraient en état de comprendre quelque chose à la relativité ou à la théorie quantique. L’incertitude est donc absolue et c’est bien ce qu’entend signifier cette notion de « singularité » que Von Neumans avait pensée dès les années cinquante, et bien avant les publications de Kurzweil.
            Vous évoquez Condorcet et, de fait, je suis bien persuadé que si les philosophes des Lumières avaient pu avoir accès à ces sortes de spéculations, cela les aurait enchantés autant que nous.


          • Claude Courty Claudec 8 octobre 2016 09:54

            @Christian Labrune

            Le progrès civilisateur promet de libérer de la fatalité l’homme besogneux puis laborieux, en le guidant vers la richesse en tout, sur le long chemin passant par le travail pour aboutir aux loisirs et enfin, suprême félicité, aux arts. Parmi ces derniers la poésie, dont je doute que l’intelligence artificielle en soit pourvue. Dès lors, que butinera le papillon quand les fleurs auront disparu ? Car les choix algorithmiques de l’IA n’auront qu’en faire – comme du papillon d’ailleurs, qui lui aussi disparaîtra, parmi tout ce qui aura été produit, d’admirable ou non, depuis toujours par la nature et depuis des millénaires par l’homme.

            Le pragmatisme des robots ne s’accommodera-t-il pas plus aisément des déserts, de la jungle et des champs de ruines qui remplaceront ce que l’homme aura construit et se sera tant bien que mal efforcé de sauver de l’ensablement du saccage et de l’oubli, que de l’inconséquence de ce même homme ? Ne préférera-t’il pas des planètes incultes mais riches en minerais rares à notre bonne vielle Terre ?

            La sensibilité dont l’IA pourrait faire preuve un jour, la conduira-t-elle jusqu’à la spiritualité ? That’s the transhumanist question ?

            Je serais donc pour ma part, porté à m’en tenir à l’idée d’un “naufrage”résultant de l’hubris ; de cette démesure devant tout à un orgueil dont ne manquent ni le Pape ni Condorcet.

            Pour revenir à la surpopulation, si nous n’y mettons pas un frein, les robots remplaceront peut-être la multitude de ceux que leur abominable confinement à la base de la pyramide sociale exclut de cette perspective, d’autant plus nombreux qu’elle croît en volume, mais il faudrait pour cela que l’homme cesse de proliférer.


          • fcpgismo fcpgismo 6 octobre 2016 10:41

            La Terre ne peut supporter qu’un milliard d’humains pour conserver un équilibre entre la conservation de la biodiversité et une qualité de vie décente. La surpopulation profite aux prédateurs ( les dominants) le nombre de proies leur assure confort et pérennité. Le conditionnement des masses les cantonnent dans une attitude auto-destructrice. L’injonction à la procréation on encourage même les couples de même sexe à faire des enfants de façon très onéreuse. PMA GPA L’anthropocentrise,le spécisme sont les causes principales de se désastre annoncé. Seul l’approche du milliard de morts obligera à une réflexion globale. Zone fortement sismique, on construit, zone fortement inondable, on construit.


            • ppazer ppazer 6 octobre 2016 18:11

              @fcpgismo
              « La Terre ne peut supporter qu’un milliard d’humains pour conserver un équilibre entre la conservation de la biodiversité et une qualité de vie décente. »

              Je ne vous crois pas sur parole, désolé. Sur quelle étude ou faits vous basez vous pour affirmer une telle chose ? Soyez plus clair, svp.

              « La surpopulation profite aux prédateurs ( les dominants) le nombre de proies leur assure confort et pérennité. Le conditionnement des masses les cantonnent dans une attitude auto-destructrice. »

              De qui parlez-vous, au juste, quand vous parlez des « dominants » ? On peut avoir des noms ? A moins que vous ne parliez de l’attitude de l’occident envers d’autres pays exploités (au hasard et juste pour exemple parmi d’autres, le Bengladesh) ? En d’autres termes, sommes nous les manipulés, ou les manipulateurs ? Votre propos est vaseux. Soyez plus clair, svp.

              « L’injonction à la procréation on encourage même les couples de même sexe à faire des enfants de façon très onéreuse. PMA GPA L’anthropocentrise,le spécisme sont les causes principales de se désastre annoncé. »

              Ah ? D’une part, qu’entendez-vous par « désastre » ? Encore une fois c’est très vaseux et je ne vois pas bien, concrètement, ce qu’il va advenir. J’apprécierais que vous décriviez ce qu’il va se passer, parce que là je ne vois pas. Soyez plus clair, svp.

              « Seul l’approche du milliard de morts obligera à une réflexion globale. Zone fortement sismique, on construit, zone fortement inondable, on construit. »

              D’une part je ne vois pas le rapport avec ce que vous disiez précédemment. D’autre part, des scénarios fictions, on en a pléthore dans les livres et dans les films. A moins que vous ayez une info très sérieuse justifiant que vous puissiez annoncer qu’il y aura prochainement 1 milliard de morts. Ou alors, tel un mauvais marabout, vous ne faites qu’agiter un épouvantail, mais vous n’êtes pas crédible : quel est alors votre but à proférer de telles incantations ? Soyez plus clair, svp.


            • Ouam (Paria statutaire non vacciné) Ouam 6 octobre 2016 18:58

              @ppazer :

              bonjour,

              Je t’assure que l’auteur et l’intervenant qui t’a répondu à raison.(*)

              Tu peut chercher un peu à te documenter, comme cela tu pourra toi meme te faire une idée réelle sur la question, sans aucune influence de qui que ce soit, juste te baser sur des chiffres, des études et du factuel.

              Bonne journée,

              (*) Sauf si la terre peut s’agrandir ET/OU que nous puissions voyager dans l’espace sur d’autres planètes habitables dans un temps très court.


            • ppazer ppazer 6 octobre 2016 19:44

              @fcpgismo
              D’une, je ne vous connais pas, aussi vous seriez bien urbain de ne pas me tutoyer.
              De deux, je n’ai toujours aucune référence à une quelconque étude sérieuse ayant fait l’objet d’une reconnaissance académique et officielle. Moi aussi je peux très bien vous dire que vous faites erreur et que si vous preniez la peine de chercher un peu, vous comprendriez vite que j’ai totalement raison.

              Note : Je suis très bien documenté. (Je suis même allé voir les Georgia Guidestones, alors que je faisais la route entre Atlanta et Charlotte en 2008)
              Le fait est que rien n’est tout blanc ou tout noir : or, quand on regarde toujours du côté noir, on finit par croire que tout est noir. Documentez vous mieux. Variez vos sources et les points de vue.


            • gogoRat gogoRat 6 octobre 2016 16:27

               
               Ne serait-il pas un peu présomptueux de faire comme si du mot « intelligence » coulait de source une Vérité nécessairement partagée par tous les auditeurs, voire par l’Humain ?!
               
               ( Au passage, l’article de Wikipédia concernant « Vérité scientifique » vaut le détour pour mieux aborder ce qui suit )
               
               Visées de Transhumanisme ou espérance de Singularité , jusqu’à preuve du contraire, relèvent encore d’actes de croyance. Cette constatation n’est aucunement un jugement sur quelque croyance que ce soit ; mais une pensée honnête se doit de la faire entrer dans son champ de conscience.
               
               Ceci dit qui (parmi celles et ceux qui prétendent aspirer à quelque objectif démocratique d’égalité en dignité) oserait s’adjuger la tâche ingrate de régenter la démographie mondiale ?!

               - des ’méritants’ ? Qui auraient décidé que leurs propres gènes (moins ’racistes’ que les autres ? , plus ’intelligents’) renfermeraient les meilleures probabilités pour la perpétuation de l’espèce humano-humanoïde ?
               - des cyniques ?  : dont les gènes seraient plus tard les garants d’une sélection non plus ’naturelle’ mais ’intelligente’ favorisant des générations, certes réduites , mais essentiellement composées d’individus forts roués et capables de toutes les présomptions pour mettre à profit ’intelligence’ et moyens fantastiques décuplés ... pour épurer sans scrupule les surnuméraires ?
               Qui aurait envie de devenir immortel pour connaître de telles ’avancées’ ?!

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