Nucléaire : ASTRID, soulève son suaire pour faire bander les nucléocrates
Cette faux-cul de Ségolène a laissé entendre qu'une « nouvelle génération » de réacteurs nucléaires pourraient, dans l'avenir prendre le relais des centrales arrivées en bout de course. Et on a trouvé un joli nom pour cette horreur à venir : ASTRID.
Sévèrement shootée au sodium l'Astrid !
Vous avez aimé l'EPR ? Vous adorerez Astrid. Voilà cette salope atomique d'ASTRID qui soulève son suaire pour aguicher les nucléocrates ! Astrid, c’est le nouveau Phénix. Le voilà prêt à renaître de ses cendres celui-là. Le pionnier des réacteurs au plutonium, en fonctionnement à Marcoule depuis 1973, a été définitivement arrêté en mars 2009. Phénix, c’était le prototype des surgénérateurs, le rêve de toutes les têtes d’œufs de l’industrie nucléaire : la bête produit – qu'ils disaient - plus de combustible qu’il n’en consomme, et fait de l’électricité ! Formidable non ? Mouais… Après l'enthousiasme des débuts, les surgénérateurs ont connu l'échec. Le bide de Superphénix est encore dans les mémoires. Mais ils pourraient connaître un retour en grâce. Grâce à… Astrid !
En fait le réacteur dit de « 4ème génération » ne serait qu’une pure invention publicitaire de l'industrie nucléaire. La supposée « génération 4 » - un produit marketing - n’est en réalité que le recyclage de vieux projets qui avaient été auparavant écartés par l'industrie nucléaire. Le réacteur de 4ème génération c'est le retour des surgénérateurs de type Superphénix... Des années 60 aux années 80 le programme français reposait sur les réacteurs à eau pressurisée (REP) et un développement significatif des réacteurs à neutrons rapides (RNR) fonctionnant en mode surgénérateur. Il était envisagé qu'en l'an 2000 les RNR surgénérateurs représenteraient 30% du parc… Bonjour les dégâts ! Ça ne s'est pas fait, heureusement.
Le filière avortée des surrégénérateurs a été la raison du développement civil du retraitement des combustibles REP avec la construction des usines du site de La Hague. Usine hyper polluante dont la filière « sur-régénération » est la seule justification. Son but : fabriquer du combustible pour les surrégénérateurs dont des tonnes de plutonium (plus tôt gnome, plutôt nie homme...).
Pour donner un peu de « pep » à la chose, à la différence des centrales nucléaires « conventionnelles », et à l'inverse de tout ce qui est déclaré par la propagande officielle, les surgénérateurs peuvent, par accident, faire explosion à la façon d'une bombe atomique. En effet, ils peuvent être le siège d'une réaction en chaîne dite « sur critique prompte en neutrons rapides », particularité que seule la bombe atomique possède également. La variété d'explosion atomique dont un surgénérateur peut être le siège porte le nom rassurant d '« excursion nucléaire ». Quels poètes ces nucléocrates !
Rappel : Superphénix (qui n'a jamais fonctionné correctement) comportait environ 35 tonnes de combustible nucléaire, dont 5 tonnes de plutonium, et les expériences « d'excursion nucléaires » n'ont jamais concerné que quelques kilogrammes de matière fissile. Il est clair qu'étant donné l'extraordinaire toxicité radioactive des aérosols de plutonium, l'expulsion même partielle des 5 tonnes de plutonium de Superphénix dispersés ou volatilisés par "l'excursion nucléaire" constituerait une catastrophe sans précédent. Car 1/1.000.000ème de gramme de plutonium inhalé suffit à provoquer un cancer et 8 kilos sont suffisants pour faire une bombe atomique de type Nagasaki ! La vie en rose ! Tchernobyl, Fukushima, aimables plaisanteries… Eh bien Astrid, c’est Superphénix qui change de nom, d’aspect probablement mais avec une base technologique identique…
Hormis ces pittoresques « excursions », le principal inconvénient de cette filière provient du sodium liquide qui s'enflamme au contact de l'air et de l'eau. On ne se sait pas, à l’heure actuelle, éteindre un feu de quelques centaines de kg de sodium ! (Á titre indicatif, il y en a 6.000 tonnes dans Superphénix, et combien prévues dans Astrid ? D'ailleurs où en est-on du retraitement du sodium de Superphénix ? Toujours en stockage ?Qui lo sa ?).
Voilà ce que l’on nous promet dans la vallée du Rhône, à Marcoule – pas loin de chez moi ! -, ceci grâce à la « culture nucléaire » avec laquelle, depuis plus d'un demi-siècle les « Marcoulins » enfument les populations locales. Ou à Cadarache, toujours près de chez moi où se gaspillent des milliards pour un cauchemardesque rêve de nucléocrates nommé Iter...
Comment se fait-il que l'industrie nucléaire puisse se faire attribuer, sans que jamais l'avis de la population ne soit sollicité, des budgets toujours plus importants, en échange de belles promesses ? Une manne pécuniaire gigantesque, sans limites, prélevée sur les impôts et le travail des Français, non répercutée dans le prix du Kwh vendu par EDF, masquant ainsi le vrai coût de la filière nucléaire
Population inactive aujourd’hui,
radioactive demain…
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36 réactions à cet article
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Le p’tit Charles 9 mars 2015 16:40+++
Ségolène nous le met bien profond..avec son « Eunuque-éclair »...elle doit croire que « La tome » c’est du fromage de montagne... ?-
Heureusement la filière atomique est en décrépitude et on est pas prêt de voir une série de ces réacteurs de mort voir le jour. Le proto lui même est inquiétant.
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Phénix ..... le nom était bien trouvé c’est le symbole de la résurrection. Astrid c’est Super Phénix qui renaît à une échelle plus raisonnable.
Rectifions d’entrée une affirmation fausse parmi tant d’autres, Super Phénix avait fonctionné environ une année à pleine charge avant d’être saboté [c’est à dire volontairement endommagé afin que l’on ne puisse le relancer] par des incompétents qui ont fait un maximum de torts à notre pays :* record de privatisations* programmation à Lisbonne 2000 de la destruction de notre enseignement* liquidation de Thomson branche médicale, un fleuron de haute technologie, traité comme un déchet industriel...* ...Trop d’articles nuit certainement au sérieux. Il n’y a quasiment rien de vrai sur le plan technique dans ce texte :* Une excursion de réactivité ne veut pas dire bombe atomique [il n’est pas simple de faire une bombe atomique de type A ]. Et n’est pas obligatoirement liée aux réacteurs rapides. On peut avoir un accident de criticité dans une piscine de stockage d’éléments combustibles. Dans l’accident de Tchernobyl, sur un réacteur thermique, il y a eu une excursion de puissance* Le Hague est faite pour retraiter les combustibles irradiés. Cela sert à extraire les PF, les actinides et à les conditionner afin de réduire considérablement les volumes de produits actifs. [sinon il faut stocker des cœurs entiers] Donc on extrait le Pu. Actuellement brûlé dans le combustible Mox. Mais qui serait beaucoup mieux utilisé dans des réacteurs rapides. Astrid et- la suite donc.* Si on veut éliminer, en les brûlant et les transmutant, les actinides [source de radioactivité pendant- des temps longs] et les radionucléides issus de la fission, PF, il faut bien aller les séparer....* Super Phénix a été calculé et cela a fait l’objet de programmes expérimentaux sur des décennies, pour contenir son accident maximum, très hypothétique, soit 800 MégaJoules.* Tchernobyl et Fukushima Daiichi n’ont émis que de très très faible quantité de Plutonium. Les retombées de Plutonium mesurables sur le sols proviennent des essais nucléaires aériens.* A Cadarache dans l’installation quasiment unique au monde Galaxie on a maîtrisé des feux de tonnes de sodium... Le vrai problème avec le sodium est plutôt la réaction sodium/eau.Mais le gros problème de cet article est qu’il n’explique absolument pas pourquoi Super Phénix revient ?Ségolène Royal défend en ce moment une Loi dite « Transition énergétique », sans moyens ce qui en limite drastiquement la portée, qui est avant tout une Loi anti nucléaire. Parce que la volonté de développer une bulle financière autour des EnR éolienne et photovoltaïque reste obligatoirement au stade des mots dans ces conditions [Cette bulle se chiffre en des centaines de milliards d’euros et même l’Allemagne n’y arrive pas].S’il n’y a pas de raison politique, il y a par contre une raison technologique.Super Phénix était extraordinairement- en avance et la filière des rapides au sodium représente l’avenir du nucléaire à fission. Les russes continuent d’ailleurs tranquillement à la développer avec BN800 qui vient de démarrer. Notons aussi que les japonais viennent de proposer à la France une collaboration dans le domaine autour de leur prototype de Monju qu’ils veulent relancer. Le débouché industriel est prévu pour la fin des années 2020.-
@JMBerniolles
Tout ce que vous dites est vrai.Mais je comprends la peur des antinucléaires qui sont de bonne foi.Malheureusement, « les faits sont têtus ». Les alternatives aux énergies fossiles et nucléaires ne pourront jamais produire les quantités d’énergie nécessaires pour que les BRICS, mais aussi les autres pays qui se développent rapidement, vivent à l’européenne c’est-à-dire dans une débauche de consommation d’énergie (et je ne parle pas de l’absurde « way of life » qui ajoute le gaspillage délibéré).En ce qui concerne ASTRID, j’ai été déçu d’apprendre que l’on refroidissait et transmettait la chaleur par du sodium fondu.Comme vous le soulignez, la réaction de contact sodium-eau est explosive, chimiquement explosive, et c’est un risque qu’il faudrait éviter.Car une explosion, par exemple dans l’échangeur de chaleur qui produit la vapeur mouvant la turbine provoquerait une panne de longue durée, même si aucune radioactivité ne sort de la centrale.Une telle défaillance soudaine serait difficile à gérer pour le réseau électrique, ainsi que pour continuer à refroidir le cœur avec énergie perdue qui plus est.Il me semble que des plaques de fer pur, mobiles et évacuant la chaleur du cœur, balayées à par un fort courant d’hélium éviterait ce risque inutile.Je pense que l’avance que les ingénieurs français ont en matière de nucléaire devrait aussi leur permettre de développer des centrales au thorium « ensemencé » par du plutonium.La production d’uranium 233 obtenue à La Hague par exemple, pourrait être utilisée dans des réacteurs embarqués pour le transport sous-marin de marchandises.L’intérêt du sous-marin sur le transport de surface serait d’éviter les collisions (voyage dans les trois dimensions au lieu de deux, comme pour les avions) et surtout les tempêtes ou les vagues « scélérates ».Bien sûr entre l’Europe et l’Asie, le voyage se ferait en passant sous la banquise été comme hiver, évitant les péages du canal de Suez et les pirates.Des centrales à l’uranium 233 plus puissantes pourraient rester immergées au large des côtes peu sûres et vendre l’électricité aux pays riverains grâce à un câble sous-marin. Là encore l’immersion rendrait impossible l’attaque par des islamistes.Tous ces projets doivent être contrôlés par la puissance publique avec une préoccupation de sécurité primant sur la recherche de profit qui serait l’unique but du privé. -
@Alren
Merci pour votre intervention.Effectivement, il faudrait aller vers les rapides à gaz [avec déjà l’avantage d’un rendement supérieur à 50%. Mais la mise au point nécessite des dizaines d’années de recherche.Oui les cyles Thorium présentent beaucoup d’intérêts : sûreté, surgénération en réacteur thermique ...Il faut résolument nationaliser l’énergie sous tous ses aspects. -
En attendant, AREVA affiche quelques milliards d’euros de déficit ! Ça nous laisse le temps de boire une bière avant qu’on nous y enferme ! « Ils » pataugent dans la choucroute, la bière, avec la choucroute, c’est excellent, surtout à Fessenheim !
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@alinea
Vous ne trouvez pas que le sujet vital pour notre pays, donc pour vous autant que pour moi, mérite d’être traité avec sérieux ?Ce que l’on enterre n’est pas ASTRID puisque c’est une renaissance, mais l’utopie d’une sortie du nucléaire. C’est sans doute cela qui ennuie monsieur Victor.S’il y avait eu une possibilité de fermer Fessenheim, cela aurait déjà été engagé.Ce qui est mis en oeuvre sur ce site ce sont des travaux de renforcement de la sûreté.L’examen scientifique et technologique du fonctionnement et de l’état des réacteurs de Fessenheim,, déjà effectué, montre que l’on peut prolonger la vie de la centrale de 2 fois dix ans.L’Académie des sciences vient de sortir, 6 janvier 2015, un rapport d’analyse de la Loi sur la transition énergétique.C’’est une critique polie de cette Loi. L’intérêt de la génération IV [dont ASTRID] est mis en avant.Au passage cela rétablit aussi les vérités et l’intérêt à propos des gaz de schistes. -
@JMBerniolles
Si, je considère que le sujet doit être traité avec sérieux, seulement, de sérieux je ne vois pas ! De temps en temps, je pète un plomb, juste pour trouver de l’air ! La lutte antinucléaire a plus de quarante ans ; je la suis depuis le début ! basta ! et comme je ne suis pas disposée au moindre compromis, au moindre consensus, je me détache ! -
@alinea
Vous avez raison de vous détacher car, dés qu’il s’agit du nucléaire, vous perdez toute votre lucidité et votre sagacité habituelles et votre attitude se rapproche plus de la transe religieuse que de la raison objective. Ce que JM berniolles veut vous dire, c’est que si vous aviez des arguments techniques à faire valoir, ce serait mieux que d’apporter votre soutien à ce grand voyou démagogue qu’est ce Victor
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@alinea
Je n’ai ni mépris, ni haine pour les personnes qui sont sincèrement anti nucléaires.J’admets parfaitement qu’il puisse t avoir des craintes et des doutes. Les japonais devraient être en pointe sur ces questions. D’où l’intérêt de voir ce qui se passe au Japon.Mais il y a un moment où il faut faire un bilan lucide des luttes.Surtout quand on se heurte à un mur. Il y a des raisons multiples pour cela.Vous faites remonter la lutte anti nucléaire à 40 ans. A ce moment là celle-ci était confidentielle pour la bonne raison que le système capitaliste d’état, dominant à cette époque, développait le nucléaire. Dans les médias on vantait l’indépendance nationale que cela nous procurerait, argument juste. L’idéologie dominante propulsait l’électronucléaire.Puis, le capitalisme financier a pris le pas. Un capitalisme de bulles financières et de spéculations, d’exploitation par la monnaie ... et de désindustrialisation.Le nucléaire a perdu tout intérêt pour le système dominant. Pire, il mobilisait beaucoup trop de capital. Les médias sont devenus anti nucléaires.Des politiciens ont trouvé ce créneau pour une carrière politique de fonctionnaires bien payés.Peut-on compter sur eux pour lutter véritablement ?Et puis surtout il y a une chose incontournable. Pour quelques dizaines d’année encore et plus sûrement, on ne peut se passer du nucléaire. Cette vérité n’est pas formulée pour les raisons précédentes. Mais une politicienne chevronnée, même si elle est un peu folle, comme Ségolène Royal ne peut pas ne pas le comprendre.Mais je suis assez d’accord avec le fait que des mouvements de défense ont un rôle à jouer pour imposer la sûreté, l’information, les bons choix.... -
@Layly Victor
« ce grand voyou démagogue qu’est ce Victor »... En voilà des arguments ! -
@Layly Victor
Je conçois que quand on a le nez dedans, on trouve cela formidable, l’homme, sa technologie, son génie, tout ça !! Mais je n’ai pas le nez dedans, et j’ai horreur de mettre ma vie et la vie de tout ce que j’aime ( faune, flore, et quelques humains), dans les mains de joyeux techniciens. D’où mes critiques jamais technologiques, mais toujours philosophiques !! Quelquefois, ou plus souvent si vous préférez, « sentimentales » !! -
@alinea
Je comprends tout à fait votre pont de vue, d’autant plus que je le partage totalement. Et j’ai, comme vous, un attachement sentimental à la terre pour laquelle je ressens un amour lilial. Je ne pense pas non plus que le progrès technique associé à une société immorale soit satisfaisant. Ce qui nous divise, c’est que je crois que la seule solution pour s’en sortir réside dans le progrès des connaissances et des techniques. Mais ce ne sera pas suffisant, s’il n’y a pas au premier plan l’amour de la terre et l’amour de la vie.
Ne vous trompez pas : ceux qui veulent détruire notre nucléaire et toute notre industrie sont les fantassins de cet horrible caste bancaire qui veut posséder et ravager le monde. Ils ne sont pas du tout des amoureux de la terre comme vous et moi. -
J’ai été distrait quand je ne comptais que quatre partis de l’étranger, chargés par leurs maîtres de ruiner définitivement ce pays.
J’oubliais le locataire du Quai d’Orsay, qui aux ordres de Tel Aviv, grenouille tout ce qu’il peut pour envoyer nos soldats faire en Syrie une guerre pour le compte d’Israël. Il a fallu que Vladimir Vladimirovitch lui siffle la fin de la récré pour qu’il renonce à cette guerre-là, et depuis la priorité de Fabius est de reprendre la guerre contre la Russie.
J’oubliais le locataire de l’Elysée, qui sur ordre de Washington déchire la signature de la France : " Ah non ! On ne vous livrera plus les navires que vous avez payés ! Nous, on obéit à Washington ! "Les quatre autres partis de l’étranger :
Le parti anti-électro-nucléaire et le parti anti-dioxyde de carbone sont tous deux dirigés et financés par des fortunes pétrolières. Leur mission commune est d’obliger les gouvernements successifs à faire les choix énergétiques les plus absurdes et les plus ruineux possibles, genre connecter au réseau ERDF des éoliennes asynchrones afin d’écrouler souvent et durablement le réseau. Que les fans de Negawatt nous expliquent comment redémarrer le réseau en tension et fréquence, avec des éoliennes asynchrones ! Génial de chez génial, hein ! Le but est qu’à la tête d’un pays exsangue et grelottant, les prochains gouvernements soient totalement dans la main des pétroliers anglo-saxons, et définitivement incapables d’aucun geste d’indépendance.
Financé aussi par Rockefeller, le parti misandre victimaire - on dit aussi familièrement : le parti féminazi - est chargé de porter la guerre civile dans chaque famille, dans chaque foyer, et de porter assistance judiciaire frénétique aux plus ignobles brigandages familiaux. Au Féministan judiciaire, les lois écrites de la République Française ne servent que de décor en trompe-l’oeil, seuls comptent les coutumes du Féministan. Au besoin, le procureur fait passer en garde à vue les témoins gênants, pour les intimider.
Financé surtout par des fortunes saoudites et qataries, et par des trafics, le parti immigrationniste pro-islam est chargé de porter la guerre civile quotidienne autour de toutes les villes puis peu à peu partout en France. Nos élèves ne nous l’envoient pas dire : ils savent fort bien que leur démographie est agressive, et comptent bien nous submerger entièrement sous peu.
Pour en revenir au parti anti-électro-nucléaire, ses objectifs sont totalement incompatibles avec les cocoricos des féministes : Disposant en moyenne de la force de quarante esclaves, la femme moderne (c’est à dire : à la mode) coquerique que la force musculaire d’un homme, c’est une relique du passé, à détruire d’urgence, puisqu’elle aussi peut appuyer sur un bouton ; son lave-linge fonctionne à l’énergie nucléaire, son lave-vaisselle aussi, son aspirateur-robot aussi, ton ordinateur et le réseau fonctionnent à l’énergie nucléaire. L’ascenseur de l’immeuble et la VMC fonctionnent à l’énergie nucléaire. Les blocs opératoires dans les hopitaux fonctionnent à l’énergie nucléaire. Ma machine à coudre et mon compresseur pour outillage fonctionnent aussi à l’énergie nucléaire. Les congélateurs et les chambres froides ne fonctionnent qu’à l’énergie nucléaire.
Seules les cellules d’électrolyse d’aluminium fonctionnent à la houille blanche, dans la stricte mesure où on les a construites au pied d’un barrage, qui puisse turbiner toute l’année.
Et moi ? Géographiquement je fonctionne surtout à la houille blanche, grâce à une usine construite voici plus de cent dix ans. Mais ses augmentations de capacité sont à peine de 5 % tous les dix ans, quand un alternateur est remplacé par un meilleur encore.
L’essentiel des objectifs du parti anti-électro-nucléaire est de rendre le pays paralysé et impuissant, totalement dans la main de leurs maîtres. L’un d’entre eux, prince fondateur du WWF, a souhaité se réincarner en virus mortel, afin de tuer le maximum de gens possible. Quels bons maîtres !
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Je reconnais bien là le style habituel, délibérément d’une vulgarité maximale (pour plaire aux « militants ») , totalement démagogique, et étalant sans aucune honte une ignorance crasse, du sieur Victor. Dans un article précédent, ce grand voyou avait osé cracher sur la tombe du malheureux professeur Pellerin, pourtant innocenté à plusieurs reprises par la justice (dans l’affaire du « nuage de Tchernobyl »), qui a établi qu’il avait fait son travail avec sérieux et esprit de responsabilité. Ce qui a mis en colère mon ami JM Berniolles, d’ordinaire si calme et respectueux.
Je vais reprendre un à un, par pour ce trouble individu, mais pour mes amis, tous les mensonges qu’il étale avec impudeur.
Pour commencer, il traite Ségolène Royal de faux cul (ça fait plaisir aux « militants », c’est très « démocratie participative »). Je ne suis pas un soutien de Ségolène Royal, mais je pense que son attitude montre la différence entre un responsable politique confronté à la difficulté des choix énergétiques, en période de crise économique grave, et ayant à sa disposition un trésor qui est le fruit de soixante dix ans d’efforts de la nation, qui observe la déconfiture de la merveilleuse révolution verte allemande, qui se traduit par l’augmentation des émissions de GES, et les propos irresponsables d’un glandeur professionnel, matamore de comptoir. Que les socialistes, à qui il était facile de faire plaisir aux écolos en massacrant le peu qui reste de notre industrie, n’aient pas voulu le faire, est tout à leur honneur.Ensuite, sur les générateurs de génération 4. De nombreuses filières de génération 4 ont été étudiées de par le monde. On a mis beaucoup d’espoirs dans la filière HTR. On a examiné les avantages et les inconvénients.Il n’y a pas que des Victor dans le monde. Il y a aussi des gens qui travaillent avec technicité, esprit de responsabilité, et acharnement. Il se trouve que la meilleure filière, celle qui offre le maximum d’avantages et apporte le minimum d’inconvénients (sous les aspects sûreté, rendement, cycle du combustible, élimination des déchets) est la filière des réacteurs à neutrons rapides refroidis au sodium fondu, c’est à dire Super-Phénix. C’est très gênant pour la « gauche plurielle », de Jospin-Voynet, car c’est elle qui, pour des raisons de politique politicienne, a délibérément arrêté et massacré un réacteur qui avait quarante ans d’avance.
Il y a eu en France trois réacteurs à neutrons rapides, la petite pile Rapsodie, 40 MW, à Cadarache, Phénix, 250 MW, à Marcoule, et Super Phénix, 1500 MW (électriques) à Creys-Malville. Phénix a fonctionné et fourni 250 MW au réseau de 1973 à 2009 sans aucun incident.
Super Phénix, réacteur de puissance prototype a eu des problèmes de démarrage, qui ont provoqué son arrêt à plusieurs reprises. Le problème est que les autorisations de redémarrage, obligatoires, ont été données par l’ASN avec des délais de plusieurs mois, volontairement, ce qui a permis aux salopards de journalistes et à leurs afficionados écolos de dire que le réacteur ne fonctionnait pas.-
@Layly Victor (suite)
Ce qui a permis à la bande de voyous au pouvoir de l’arrêter (avec la complicité de toute la classe politique, il va sans dire). Certains ont suggéré de le faire fonctionner à puissance réduite comme brûleur de déchets, en attendant une décision définitive, mais il fallait satisfaire l’hystérique Voynet. Ces brigands ont même endommagé volontairement la cuve, pour qu’on ne puisse plus jamais utiliser ce réacteur (la cuve est l’élément le plus cher d’un réacteur) . Voilà l’histoire de Super Phénix et voilà comment vous, journaleux, la racontez.
Le mensonge le plus délirant, c’est l’histoire d’un réacteur à neutrons rapides qui, lors d’une excursion de puissance, fonctionne comme une bombe atomique ! Celle là, je l’ai lue quand j’étais jeune et boutonneux dans les gazettes pour enfants du genre « survivre et vivre ». Je vois que l’histoire s’est transmise entre générations et que vous l’avez bien gobée.
Il se trouve que j’ai travaillé pendant plus de dix ans sur ce problème de l’accident de criticité (ou de réactivité) de Super Phénix, et j’ai contribué à écrire des modèles de simulation numérique de l’accident. Il fallait démontrer que la dalle au dessus de Super Phénix était capable de contenir l’énergie d’un accident de réactivité majeur, évaluée à 800 Mégajoules. Ceci n’a rien à voir avec une bombe atomique car, dés que l’accident de réactivité se déclenche, il y a une dispersion immédiate à cause de la puissance fournie, et la réactivité retombe immédiatement (l’excursion dure deux à trois millisecondes). Ce qui s’est passé à Tchernobyl, c’est qu’il n’y avait pas de confinement, et c’est l’explosion du graphite très chaud qui s’est trouvé à l’air libre qui a dispersé la radioactivité.
Donc, en vous croyant malin et intelligent, vous avez recopié bêtement les sornettes qui font florès dans les gazettes écolos (il paraît que ci, il paraît que ça, etc..) Sans aucune mesure et avec l’assurance des ignorants ou des journalistes.
Dans ces études, ce sont les mouvements du combustible dans le coeur, suite à un cheminement complexe de l’accident, que l’on modélise de bout en bout, qui aboutissent à une accumulation dans le plan de flux maximum et à l’excursion de puissance. Encore, on avait beaucoup de mal à déclencher (numériquement bien sûr) l’accident. Je crois savoir que les futurs RNR auront une réactivité de vidange négative, et on ne pourra même pas envisager un tel accident.
Donc, les excursions de puissance qui se produisent comme ça, à l’improviste, sans qu’on sache pourquoi, comme vous ont dit vos amis, c’est du pipeau (mais ça fait effet au comptoir des bars)
Je dois ajouter que, pendant ces études, nous avions des collègues Allemands qui participaient et il y avait des écologistes, dans des universités, qui avaient des moyens de calcul et qui pouvaient tout vérifier. Comme quoi, nous avions confiance. -
@Layly Victor (suite et fin)
Pour terminer, avec ASTRID
ASTRID est donc dans la continuité de Super Phénix, repris à plus petite échelle. On a sans doute pensé que le saut en taille de Phénix à Super Phénix avait été trop ambitieux, et on s’est restreint à la taille intermédiaire de 600 MW. Les Russes ont couplé au réseau l’été dernier leur réacteur RNR BN800 de 800 MW. Les japonais ont des réacteurs RNR, les Chinois en construisent, les US ont des projets. Seuls les Français, qui ont été parmi les pionniers, n’y ont pas droit, à cause de la politique-politicienne et de la « démocratie participative ».Pourquoi des RNR ? Dans un réacteur à neutrons thermiques (neutrons qui sont ralentis par un modérateur jusqu’à une énergie qui correspond à la température du combustible), seul l’Uranium 235 est fissile. Or celui ci se trouve en très faible proportion dans la nature. En revanche, les neutrons rapides peuvent fissionner du plutonium 239. De plus, ils peuvent transmuter de l’Uranium 238, surabondant, disposé autour du coeur, en Plutonium 239. Donc, le Pu 239 fabriqué dans les REP et récupéré par retraitement du combustible est ensuite utilisé dans les RNR, qui génèrent à leur tour du Pu 239.
Il ne s’agit pas de fabriquer du combustible, comme le prétendent certains. Il s’agit d’utiliser une partie de l’U238 qui est beaucoup plus abondant. Le cycle combiné rapides thermiques et l’utilisation d’une usine de retraitement comme celle de la Hague (« ulta polluante », dixit le sieur Victor, d’où tient il cette information, d’un comptoir, d’une cérémonie chamanique ?) permettrait de gagner un facteur 60 sur le combustible, augmentant d’autant les réserves mondiales. D’où la mobilisation des écolos qui doivent à tout prix stopper cette filière.Une dernière, pour la route, les délires sur ITER. Quelle ignorance crasse et quelle impudeur !
La fusion, c’est l’énergie de l’avenir, abondante, sans limite sûre, c’est le challenge intellectuel majeur de l’humanité actuellement, avec la compréhension du monde des particules. Personne ne sait quand ça marchera, mais il faut essayer.C’est dur, mes amis. Un type imbu de lui même écrit en dix minutes quelques bobards, et il nous faut des heures de travail et d’application pour le contrer. Mais nous ne céderons pas !
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@Cassino
Vous faites bien de parler du réacteur de Monju et de ses déboires (je remarque que vous n’avez aucune objection pour le reste de tout ce que je vous ai écrit).
C’est en partie à cause de ces difficultés que les Japonais étaient en admiration devant la réussite éclatante de Phénix et ont été atterrés quand les Français ont arrêté Super Phénix, pour des raisons de combine politique.
Bon, je vous laisse avec votre copain de comptoir Victor et à ses délires sur « la suppression de toute vie pendant des milliers d’années » (c’est de la philosophe Duflot). A ce propos,dites lui, entre deux pastis, que la zone interdite de Tchernobyl est devenue un paradis terrestre, que la vie y a retrouvé tous ses droits, que cette information est soigneusement cachée par les médias. -
Phénix a eu des problèmes et Superphénix n’a pas encore été expertisé alors ces surgénérateurs sont vraiment de beaux dessins et souhaitons qu’ils le restent. Entre la réalité et les jolis croquis, il y a un monde.Monsieur Raymond SENÉ, Physicien, Membre de la commission Castaing à l’assemblé nationale concernant les surgénérateurs : « Ces problèmes de sauts de réactivité sont importants. J’ai discuté avec des gens qui travaillaient sur place. Ils m’ont expliqué que ce n’était pas arrivé une fois, deux fois, trois fois, mais peut-être une dizaine de fois, avec des enregistrements qui sont quasiment superposables. Ils ont la même forme, c’est le même électroencéphalogramme, et cela, c’est inquiétant. Cela veut dire qu’il y a un processus qui se développe, que l’on ne sait pas ce que c’est et que l’on ne sait pas ce qu’il faut faire pour l’empêcher. »C’est expliqué ? Non ! Alors pas de surgénérateurs avec plusieurs tonnes de plutonium.Lorsqu’on lit les premières pages du rapport de Georges Lochak sur la tragédie de Tchernobyl, on comprend la débilité des explications en procès Stalinien qu’on nous a servies.Ce n’est pas maîtrisé d’un point de vue scientifique, c’est tout. La dure réalité montre que c’est un cul de sac scientifique et que la bonne voie est le nucléaire froid de l’ICCF19, c’est évident. Ces méthodes sont inacceptables car le CEA sait depuis longtemps, 1997 avec les expériences de Georges Lonchampt, qu’ils ne comprennent pas tout (cf, fin de cet article)Voila un bel exemple d’idées fixes, les surgénérateurs incontrôlables au lieu de la fusion froide sans danger et décontaminatrice. Comme les pseudo-scientifiques affairistes faussent le débat devant les élus et le peuple, tout cela crée de la confusion,qui amène des mauvais choix qui finissent par tuer 1 million de personnes faisant souffrir à l’extrême des jeunes mères, sans compter les cancers.-
Le nouveau directeur du CEA vient de la filière militaire, Daniel Verwaerde ,né en 1954 comme notre cher Président qui signe pour Astrid malgré son alliance avec les verts. On sait maintenant qui tient ce pays en main sous influence.
Ils devraient tous regarder les travaux de Georges Miley qui a fait de la fusion froide avec un laser comme source de champ. Voici un petit résumé de son appareil qui avait un COP de 70, 7000% de rendement.George Miley s’est fait couper les crédits vers 1999 par John Huizenga, le grand ponte de l’armement nucléaire, conseil auprès de « l’Intelligence community » des USA et grand détracteur de la fusion froide. Il suffit de lire la vie du Président Obama. (article 1 et article 2) pour comprendre son influence.John Huizenga a cassé sa pipe début 2014 a un age respectable, les temps doivent changer.-
@christophe nicolas
On sait maintenant qui tient ce pays en main sous influence.
En effet, selon le vent et la marée, ce sont les USA, les Juifs, Bruxelles, les Aliens, etc.
Et pour vous c’est qui ? Parce que c’est pas clair du tout. -
@christophe nicolas
Quand je vous ai vu parler du physicien Sené, ce scientifique raté, j’ai eu des doutes. Lui et sa femme se vengent de leur échec professionnel, de leur infertilité, en mordant la main qui les a nourris. Je n’ai jamais vu, de toute ma carrière, d’article parlant des travaux de ce « grand scientifique ».
J’ai quand même eu des doutes, au sujet des excursions de réactivité intempestives, car mon devoir est de ne négliger aucun problème. Je me demandais quand même comment Phénix avait pu fonctionner pendant plus de trente ans sans un seul incident. Et si le grand physicien Sené le disait !
Et puis, quand j’ai vu vos arguments sur la « fusion froide », j’ai compris.
Pour l’instant, les multiples « découvreurs » de la fusion froide sont tous des escrocs identifiés. Ils clament tous que le système les brime car « leur génie fait peur ».
La fusion froide, ce serait sympa, et tout le monde en rêve : mélanger de la poudre de perlimpinpin et obtenir de l’énergie gratos, quel bonheur !Malheureusement, la réalité de la thermodynamique est tout autre. Pour fusionner des noyaux, il faut leur faire franchir un champ répulsif, « la barrière coulombienne », qui correspond en énergie à une température de l’ordre de cent millions de degrés, température qui se réalise dans les étoiles.
On comprend l’immense défi scientifique et technologique de la fusion : maintenir confiné dans des champs magnétiques un plasma à plus de cent millions de degrés ! Que le public se rassure, il s’agit de quantités infimes, et le plasma peut être stoppé instantanément, même si des illuminés commencent à parler de trou noir et autres calamités.
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@Layly Victor
Quel rapport entre la réputation d’un physicien, Pr au Collège de France, et les réactivités négatives de Phénix ? C’est une attaque débile, ça me fait penser à mes ex patrons qui espionnaient les salariés et attaquaient les réputations s’ils ne faisaient leurs quatre volontés de déficients mentaux...On constate juste que les rapports disent 4 incidents de réactivité et que la réalité est tout autre comme quoi les gars ne disent pas tout ce qui est inadmissible au regard des possibles conséquences.Tchernobyl est bien une réactivité négative suivie d’une réactivité positive incomprise une heure après, c’est à dire un temps trop court pour que l’empoisonnement neutronique au Xénon évoqué soit la réelle cause du problème. C’est bidon, la cause est inexpliquée scientifiquement et peut se reproduire demain dans une centrale Française, c’est tout à fait possible, c’est même très simple à faire. C’est une manœuvre qui n’a pas de raison de se faire mais qui, si elle arrive, n’inquiétera pas les responsables outre mesure..Il faut augmenter le débit de circulation et baisser la puissance simultanément pour produire une réactivité négative. Sur le réacteur Russe la circulation d’eau était bien faite et homogène le long des barres de combustible. A partir de là, on croit la réaction arrêtée et on se trompe, elle est étouffée comme pour un empoisonnement au Xénon. Si le pilote lève les barres de contrôle sans succès puis baisse le débit dans cet ordre, il fait sauter le réacteur. C’est un piège et comme les surgénérateurs ont des débits plus puissants à cause du métal liquide, ils sont plus sensibles. Les REP le deviennent aussi car en augmentant la puissance par de nouveaux combustibles, on augmente le débit. Les symptômes sont le « faiençage thermique » comme sur Civaux. ITER est un autre problème, c’est aléatoire, ça peut exploser au premier essai ou au dernier, c’est la roulette RusseLe défi est d’arrêter ITER avant le tritium, qu’Astrid ne commence jamais et de mettre au pas toute la filière de l’armement qui est à l’origine de toutes ces activités qui veulent ensuite se développer d’elles mêmes, l’organe crée la fonction qui crée le besoin.George Miley est un escroc, c’est nouveau. Arrêtez de désinformer... La fusion froide à 25 ans alors effectivement on est dans la phase « Marie Curie » mais avec beaucoup plus de preuves désormais, même le CEA sait que cela existe avec les travaux de Georges Lonchampt. Cela dérange des lobbys et des intérêts, c’est évident mais les enjeux sont tels que la gloriole des 100 millions de degrés est sans aucun intérêt.On peut faire de la fusion car on peut créer de l’anisotropie des interactions dans certaines conditions ce que fait la fusion froide et ça marche, il y a des réactions nucléaires dans le sens de la stabilité qui dégage de l’énergie. -
Ce qu’il y a de grave avec les fanas qui pédalent dans la choucroute fétide du nucléaire, c’est qu’ils sont tellement le nez dans leur guidon qu’ils ne voient pas le paysage. Ils vous font des comparaisons lénifiantes avec les dangers de l’industrie minière, de l’industrie chimique, etc. Mais ce n’est pas du même ordre ni de la même échelle ! Un accident type Marcinelle fera plusieurs centaines de morts. Mais n’affectera pas l’existence même du pays. De même Seveso et, pire, Bhopal tuent et pourrissent leur territoire, mais sur une superficie et un temps limités. Ce qui n’est pas le cas d’un accident nucléaire qui est TOUJOURS une CATASTROPHE qui tue pendant des générations et empêche toute existence humaine pendant des MILLIERS D’ANNÉES. Et ça, les technocrates au front de bœufs, tous issus de Polytechnique ou du corps des Mines, constitués en lobby mafieux, ne le comprennent pas, de veulent pas l’entendre.
Il y a quelques années j’ai participé à un « exercice d’alerte nucléaire » dans la vallée du Rhône. Il s’agissait de coordonner tous les intervenants en cas de problème nucléaire. Le scénario décrivait un incident somme toute restreint : une fuite d’hexafluorure d’uranium, à 10 heures du matin, dans une usine du site du Tricastin, Comhurex. Donc un nuage toxique qui s’élève et se met en mouvement vers le sud, poussé par un léger mistral qui se lève. Ben mes aïeux ! Fallait-il évacuer les populations des villes du sud du site ? Que faire des enfants des écoles ? Pompiers, maires, préfecture, secouriste, population… Fallait voir le bordel !
Bref, pour dire que s’il y avait vraiment un problème grave, rien n’est prêt. Aucun plan d’évacuation. Oui mais ce n’est pas la peine PUISQUE nos centrales sont les plus sûres du monde ! Puisque rien ne peut nous arriver ! Mouais…
En 2008, à Tricastin, un simple robinet qui fuyait et c’est 75 kilos d’uranium ( !!!!) qui ont, au fil des mois, foutu le camp dans une ruisseau du coin, la Gaffière, puis de là au Rhône… Pas grave, nos centrale sont tellement sûres !
La même année, toujours au Tricastin, au cours d’une opération de renouvellement du combustible, lorsque le couvercle de la cuve du réacteur n°2 a été soulevé, deux assemblages de combustible sont restés accrochés aux structures internes supérieures, et sont restés suspendus au dessus des 155 autres assemblages qui constituent le cœur du réacteur ! Sans refroidissement bien sûr, la fusion guettait, puis la détérioration de tout le cœur… Avec en perspective Fukushima-sur-Rhône !
En 2010, à Cruas, un peu plus haut dans la vallée du Rhône, un employé ferme par erreur une vanne du circuit de refroidissement de la piscine où sont abrités les combustibles usagers ou à mettre en place. Risque de surchauffe, et tout le tintouin… Avec en perspective Fukushima-sur-Rhône !
Et c’est partout pareil sur les 58 centrales françaises. Des incidents mineurs, imputables aux éléments ou aux humains, peuvent dégénérer rapidement et déboucher sur des situations hors de tout contrôle.
Tiens, on va faire un peu de fiction. Un des réacteurs de l’usine du Tricastin vient d’exploser. Un énorme nuage radioactif s’élève au-dessus du site. Un mistral en cours de formation va pousser les nuées mortelles vers les villes du sud : Orange, Avignon, Salon, Aix, Arles et surtout Marseille ! Le nuage est trop bas pour atteindre la Méditerranée. Il va forcément s’abattre sur l’énorme agglomération marseillaise. Plus d’un million d’habitants. Impossible d’organiser l’évacuation. Trop tard. Que faire ? Pour sauver Marseille, les autorités décident… de brûler Avignon ! Il y a au Pontet, banlieue Est de la cité des papes, un énorme complexe de stockage et de répartition régionale de pétrole. On y met le feu. Incendie qui se propage rapidement à la grande zone commerciale qui jouxte le site. Des milliers de clients pris au piège. La chaleur du brasier crée une énorme colonne montante d’air chaud qui propulse le nuage toxique à des altitudes telles que le mistral l’amènera sur la mer… Marseille est sauvé. Avignon rayée de la carte. Allez, amusez-vous. Un peu d’imagination que diable !
Pour dire qu’IL FAUT SORTIR DU NUCLEAIRE, prendre la décision maintenant et étaler la sortie du une génération.
Voilà une exigence impérative à imposer à ,tous ceux qui prétendent nous gouverner.
INACTIFS AUJOURD’HUI
RADIOACTIFS DEMAIN
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@VICTOR
Monsieur Victor, ce que vous dites est très révélateur de votre personnalité.Tous les morts de la Chimie, du Charbon, ne sont rien pour vous.Les 31 morts d’AZF qui auraient pu être évitées avec une sûreté et des contrôles tels que le nucléaire les pratique, cela ne compte pas.Ne parlons pas de Bhopal avec ses 4.000 morts d’entrée, un site et un environnement pas encore décontaminés....Pour conforter votre idéologie viscéralement anti nucléaire vous êtes prêt à inventer des morts du fait d’irradiations. A Fukushima Daiichi la réalité admise par toutes les compétences internationales en la matière, est qu’il n’y a pas encore de mort à déplorer ayant pour cause une irradiation interne ou externe due aux accidents nucléaires.S’il est exact que les conséquences d’irradiations peuvent apparaitre très longtemps après, dans le cas de Leucémie notamment, les périodes : de la semaine, puis du mois, des six mois et enfin des cinq années qui suivent les irradiations sont les plus critiques et situent l’ampleur des conséquences sanitaires des émissions de radionucléides.Les deux personnes les plus touchées par Fukushima Daiichi, deux techniciens de la Tepco, qui ont intégré une dose biologique proche du sievert sont encore en vie.Vous n’étes pas qualifié pour affirmer péremptoirement qu’il va y avoir un accident nucléaire majeur en France. Encore moins pour prétendre que des aérosols radioactifs à forte concentration vont s’échapper d’une enceinte réacteur.Vos attaques contre les ingénieurs X-Mines, dont beaucoup sont tout simplement très brillants et qui ne sont pas les seuls responsables du programme nucléaire français, traduisent une certaine frustration.Nous sommes dans une époque où l’esprit anti scientifique justifie une montée générale de l’obscurantisme. Qui se traduit particulièrement dans la destruction des bases de notre enseignement. Le but étant d’aboutir à des peuples asservis, dominés. -
@JMBerniolles et autres nucléocrates
Du haut de votre « savoir » que vous nous infligez à nous, pauvres idiots incapables de comprendre, vous n’êtes que des infirmes du bon sens. -
@jarnicoton
Il suffit d’augmenter le débit de circulation et de baisser la puissance simultanément pour produire une réactivité négative sur un réacteur. Sur le réacteur Russe de Tchernobyl la circulation d’eau était bien faite et homogène le long des barres de combustible. A partir de là, on croit la réaction arrêtée et on se trompe, elle est étouffée comme pour un empoisonnement au Xénon. Si le pilote lève les barres de contrôle sans succès pour redémarrer puis baisse le débit dans cet ordre, il fait sauter le réacteur. C’est un piège et comme les surgénérateurs ont des débits plus puissants à cause du métal liquide et de leur conception, ils sont plus sensibles. Les REP le deviennent aussi car en augmentant la puissance par de nouveaux combustibles, on augmente le débit. Les symptômes sont le « faiençage thermique » comme sur Civaux.Normalement, on ne fait pas ces manœuvres mais à Tchernobyl, ils les ont faites. La centrale Suisse de Leibstadt a actuellement des soucis de réactivité or Areva et Alstom y ont fait des aménagements pour augmenter le débit de la boucle de circulation. Tout dévient plus aléatoire à piloter surtout que bientôt ce sera fait par l’informatique... Quand les gars en auront marre des arrêts successifs incompréhensibles... Ils feront comme à Tchernobyl, ils testeront...Vous savez qu’Alstom est champion du PIPC pour la SNCF, le Poste Informatique à technologie PC, un grand succès puisqu’ils ont le monopole. -
@VICTOR
Il me semble que c’est plutôt une démarche de respect des interlocuteurs que d’avancer des arguments sur des problèmes que l’on connait professionnellement.Je lis souvent ce que vous écrivez sur d’autres sujets en développant une approche logique et argumentée.Je ne retrouve pas cela dans vos textes sur le nucléaire. C’est dommage et cela donne un tour déplaisant aux échanges.Par ailleurs, j’assume parfaitement le fait d’être un défenseur actif du nucléaire. Non pas pour lui-même, mais pour ce qu’il apporte à la société [les premières applications du nucléaire ont été médicales. Pour produire des isotopes radioactifs médicaux, il faut un réacteur d’irradiation...]Si demain on peut s’en passer sur l’aspect énergétique, tant mieux sans doute. Ce n’est pas le cas pour assez longtemps encore. -
@JMBerniolles
Les premières sources d’énergie synergétique ou « sur-unitaires » qui viennent en fait de l’entropie datent du début du XXè siècle.Le principe de Carnot ne l’autorise pas en terme académique mais l’autorise si le principe de Carnot est faux, c’est à dire si on sait retirer du travail à la chaleur. Le nucléaire froid est une sorte de violation du principe de Carnot pour le nucléaire, la réaction est froide par rapport aux références classiques de la physique, il faut le voir ainsi.Ce n’est pas un hasard, il y a une synergie, c’est à dire deux phénomènes à deux échelles différentes qui procèdent de la même cause et se renforcent. Il n’y a rien de mystérieux, ça peut se faire sur tous les phénomènes physiques, gravitation, électromagnétisme, nucléaire, chimique, etc...C’est déjà très ancien au niveau empirique mais ce n’était pas compris donc ce n’était pas enseigné dans les universités. Il faut se renseigner en dehors des circuits classiques et faire le tri. Le pourrissage d’à peu prêt tous les gens qui se sont intéressés à cela date du début pour des motifs de cupidité et de scepticisme du secteur académique.CO², dérèglement du champ magnétique terrestre, Fukushima, etc... la science qui brise, casse, détruit doit plier sinon l’humanité sera pliée d’une autre façon. Elle adhérera à l’intention de bonté voulue par Dieu pour son bien ou s’éteindra dans la souffrance voulue par elle même. -
@VICTOR.
Ravissantes, vos cascades de raisonnements par l’insulte ! Ravissantes !En tout cas,elles confirment que c’est sur les critères de la bêtise maximale, de la malhonnêteté maximale, et de la misanthropie maximale que vos maîtres sélectionnent leurs hommes de paille, leurs idiots utiles.
Dans le genre, on avait déjà Alain Lipietz qui traite de « criminels » tous ceux qui ne croivent pas à sa mythologie du RCA (Réchauffement Climatique Anthropique). Il nous enverrait si volontiers en rééducation politique dans les rizières du Cambodge !
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@VICTOR
Que vous dire, Victor... Vous ne vous rendez pas compte non plus que vous êtes victimes de ce dont vous nous (les pro-nuke) accusez, à savoir d’être complètement endoctriné. Vous conviendrez avec moi du fait qu’il est quasi impossible de faire entendre raison à quelqu’un de très impliqué, de très « brainwashé », dans une secte. Sans aller jusqu’à dire que vous êtes dans une secte, je me risque au parallèle : il est impossible de faire entendre raison à des gens comme vous. Empli de certitudes, vous écrivez des lieux communs, des approximations, et lorsque l’on vous donne des arguments auxquels vous n’avez pas de réponses, vous vous contentez de, en gros « c’est n’importe quoi car c’est du bon sens »...Vous conviendrez peut-être que le « combat » pro/anti-nuke, c’est avant tout une guerre de communication. Sortons 2 minutes de l’aspect du nucléaire pour parler communication. Votre article est criblé de subjectif, d’insulte, de sarcasme... Il y en a partout, c’est insupportable à lire, et pas parce que je suis pro-nuke : nous parlons ici de forme, pas de fond : vous auriez fait un article de cette « qualité » sur la pêche du saumon de l’Atlantique, je vous aurais dit la même chose. Du coup, l’effet produit par un tel article, c’est de faire baigner dans son jus celui qui est totalement dévoué à votre cause, de provoquer un rejet irrationnel ou le dédain total à quelqu’un de complètement opposé à votre cause. Les indécis, quant à eux, seront probablement peu réceptifs à tant d’agressivité et de suffisance. En effet, il faut trier avec minutie pour déballer les information, le fond, de la forme ! Un indécis aura peu de chance de vouloir effectuer ce travail lorsqu’il peut trouver des articles bien mieux faits ailleurs.Je ne vous reproche pas le fait de faire un article critique : de tels articles ont toujours existé et sont très intéressants. Mais ce n’est là pas qu’un article critique, il s’agit d’un article de cours de récréation qui n’aura, selon moi, aucun impact sur quiconque. Il est trop empreint d’insulte et de sarcasmes mal placés, de ponctuation montrant votre agitation, presque votre névrose. Mettre en majuscule et des points d’exclamation ne donne pas plus de véracité à vos propose, ils vous décrédibilisent.Maintenant, su le fond, il y aurait tellement à dire... Je n’ai pas envie de débattre avec vous. Déja, un débat suppose un respect mutuel, donc le bannissement d’adjectif qui ne veulent rien dire dans un tel contexte, mais méprisants à souhaite, comme « fétide », « fanas », etc... Ensuite, il y a tellement, mais tellement à dire sur votre inculture, et vos procédés de manipulation, que je m’avoue vaincu par la bêtise. De toute façon je ne changerait rien à votre incapacité à vous remettre en question. Je pourrais vous montrer tous les documents de l’IRSN possible sur les impacts sanitaires des catastrophes, tous les arguments sur l’escroquerie du modèle linéaire sans seuil pour l’impact des faibles doses, ou autres, cela ne changerait strictement rien, car vous n’êtes ps près d’accepter une nouvelle information qui irait à l’encontre de l’idéologie que vous défendez très mal. Mal, non parce que je prétends que vous avez tort, mais parce que vos procédés de communication sont exécrables. -
@JMBerniolles
Les attaques du sieur Victor contre les ingénieurs X-Mines sont inspirées de la pensée de Noël Mamère, ce grand esprit, qui leur voue une haine indéfectible. Je comprends sa haine farouche : comment, dans un pays destiné au référendum permanent, à la démocratie participative, à la dictature idéologique des ténors de comptoir et des médias appointés, peut -on tolérer que la prise de décision soit confiée à des gens compétents et brillants.
Au sujet des « aérosols radioactifs rejetés massivement par les réacteurs du Tricastin en cas d’accidents grave », je comprends ta colère.
Le seul accident grave dans un réacteur REP a été celui de TMI aux US et il n’y a eu aucun rejet de radioactivité.
En dehors des accidents de by-pass de l’enceinte, qui rejettent une quantité infime de radioactivité, il n’y a aucun mécanisme imaginable raisonnablement qui pourrait conduire à la défaillance de l’enceinte de confinement car nous avons montré (thèse de William Plumrcocq) que le système d’aspersion est très efficace pour faire chuter la pression et rabattre les aérosols.Certains des éléments repris par les écologistes (à qui on ne peut pas reprocher de ne pas être des spécialistes du nucléaire) leurs sont transmis par des anciens collègues qui veulent se rendre intéressants ou qui veulent se venger d’une carrière ratée, ou pour d’autres considérations.
On reconnaît souvent que ce sont des données techniques partielles, car il y a des considérations pertinentes sur les questions soulevées, mais il n’y a jamais d’information sur les résultats des études expérimentales et théoriques (comme par exemple le fait que l’enceinte de confinement joue parfaitement son rôle).
Prenons l’exemple d’ITER. Il serait quand même extrêmement difficile, avec la meilleure volonté du monde, même dans une réunion chamanique, de démontrer que ITER peut exploser. Alors, certains de nos ex collègues, que tu connais, anti nucléaires mais qui ont fait toute leur carrière dans le nucléaire (dans leur tête ils se justifient en se disant « qu’ils se sont dévoués pour la cause »), conscients de cette impasse idéologique, soulèvent le problème du stockage du tritium et tentent de faire peur aux habitants de la région des Alpes de Haute Provence. Comme s’il y avait une seule raison de penser qu’une fuite de tritium peut se produire (en dehors d’une action de sabotage de Greenpeace). -
@christophe nicolas : Le principe de Carnot ...
Rassurez-vous ! Les verts ont promis que le principe de Carnot n’aurait plus cours dès qu’ils auront tous les pouvoirs dont ils rêvent toutes les nuits. -
Pourquoi leur centrale ils ne la font pas sous l’Élisée l’histoire que notre président nous prouve que ce n’est pas dangereux ?
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@Cassino
Il y a toujours eu d’excellentes histoires comme ça, que l’on racontait le soir, à la chandelle, après avoir fait rentrer les chèvres. C’était dans les années soixante dix, quand il était de bon ton d’aller vivre en communauté dans les Cévennes ou le Lubéron. Aujourd’hui, le Lubéron est devenu un repère de milliardaires, et les bobos vont à Miami ou Banda Acé.
Toujours de quoi faire rire ces grands enfants, comme par exemple ces nucléocrates qui sont assez nuls pour ne pas penser à mettre de l’anti-rouille. Quels crétins !
Et, dans toutes ces histoires, la scène préférée et la plus appréciée des enfants (scène reprise dans des navets de la chaîne de propagande ARTE) : les nucléocrates qui fuient le plus vite possible. -
Quid du démantèlement ?
Aujourd’hui la « FIN de VIE » est d’actualité dans les médias ; ON va s’entredéchirer dans des débats politiques, sociologiques, religieux et idéologiques. Dans le cadre de cet article radio-activé, la fin de vie et/ou le démantèlement de la cinquantaine de réacteurs de l’hexagone est à peine esquissé : pourtant ils sont là et certains croient que le démantèlement fort coûteux nous débarrassera de la radioactivité. Il n’en est rien, tout au plus on peut déplacer les produits contaminés radioactifs. Alors après avoir retirer tous les éléments combustibles, les refroidir en piscine protégée et les envoyer à La Hague pour être séparés, isolés et reconfigurés, il reste sur le site protégé des produits assez faiblement contaminés mais à longue durée de vie, les équipements du coeur et ceux des échangeurs et de la centrale thermo-électrique. Comme personne ne voudra construire d’habitations, de bureaux, d’entreprises ou cultiver les sols pollués même résiduellement, il est plus simple d’enfermer les matériaux contaminés dans le coeur et son entourage sous cloche, et même en cas d’insuffisance de place de construire une cuve secondaire bétonnée d’enfermement. Ensuite on coule du sable ou du ciment fluide dans les enceintes. Enfin, on entoure les cuves de stockage d’une bonne dizaine de mètres (si ce n’est de plusieurs dizaines) de béton étanche : on laissera donc aux générations futures des « pyramides de béton » sacrées, entretenues par des « prêtres nucléocrates », issues de notre culture scientifique, économique et financière ! Sur le site on pourra même construire des centrales de nouvelle génération !
Cette solution est très peu couteuse et évite la sélection de lieux de stockage. Quand aux déchets nucléaires à très forte radioactivité issus des combustibles irradiés et « épuisés » des réacteurs spécifiques de la Xième génération pourront transmuter les éléments radioactifs.
L’avenir du nucléaire nous appartient, c’est notre problème et les condamnations impérieuses n’y changeront rien. On se doit de trouver les moins mauvaises solutions.
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