Pourrissement de la médecine allopathique
Je ne nie pas que les techniques médicales progressent. Je ne nie pas leur utilité. Mais les résultats ne sont pas la. Je ne nie pas que la connaissance et les techniques médicales progressent. Mais le bilan est accablant, préoccupant, voire dégoutant. La médecine est prisonnière de dogmes mécanistes, de lobbys financiers, et d’une déshumanisation progressive. Il lui manque une vision holistique et/ou systémique, il lui manque une volonté politique, il lui manque une ouverture d’esprit. Même si les gens sur le terrain font souvent du mieux qu’ils peuvent, nous devons arrêter de nous mentir.
Première chose que la plupart des gens ignorent, les progrès de la médecine (tel qu’on nous les vends) sont un mythe.
Nous avons atteint le pic santé
Parfois dans les discussion de café sur la médecine « on » nous dit « grâce à la médecine moderne l’espérance de vie à beaucoup augmentée ». De 1900 à 2000, l’espérance de vie en France est passée de 48 à 79 ans soit une hausse de 65% en un siècle. En gros les raisons invoquées par les gens sont l’hygiène (se laver les mains par exemple) et les médicaments. C’est un peu vrai, mais c’est surtout faux. Et c’est sur la base de cette ignorance que "certains" se font (beaucoup, énormément) d’argent !
Les plus gros dans les progrès de l’espérance de vie sont fait (dans l’ordre) par :
- les progrès dans le métier de sage femme (en gros on ne meurt plus dans les premier jours de notre vie, ce qui faisait beaucoup chuter la moyenne – mais ceux qui vivaient pouvaient vivre vieux),
- la poubelle et les égouts (qui évitent nombre de maladies et d’épidémies). La traitement des eaux usées. Donc c’est essentiellement sanitaire.
- Ensuite, c’est … la retraite qui nous a fait gagner 7 ans d’espérance de vie.
- Viennent ensuite (et encore, ca reste à prouver véritablement) les antibiotiques, les vaccins, l’alimentation, le confort.
- Pour les médicaments et autre "progrès" modernes, c’est beaucoup moins facile à déterminer.
Mais surtout, ce qu’il faut bien comprendre c’est ceci : si l’espérance de vie progresse encore un peu (ce qui n’est pas gagné), l’espérance de vie en bonne santé à entamé une diminution (c’est à dire sans rien d’incapacitant, donc un cancer est considéré comme « bonne santé », ou dit autrement : tant qu’on peut travailler) ! Et en plus … En France par exemple, cette espérance de vie (en bonne santé) n’est que de 63 ans. Ce qui finalement ne doit pas être très différent d’il y a un siècle, car on serait mort simplement parce qu’on n’avait pas les moyens « financiers » de s’occuper correctement des invalides.
Donc le fait que grâce aux médicaments on vit plus longtemps est faux. C’est du marketing. Je le redis : c’est du marketing. Ne gobez pas tout ce que le VRP (même s’il à bac +10 et à juré le serment d’Hippocrate) vous raconte avec ses nouvelles machines de super diagnostique et ses nouveaux traitements miraculeux. Il n’est même pas certain que l’espérance de vie en bonne santé soit meilleure qu’il y a un siècle (et vous allez comprendre pourquoi dans la suite) ! (Et si c’est le cas, c’est du a la chute de la mortalité infantile, aux poubelles, égouts et retraites et pas aux médicaments). Il n’y a donc aucune raison "objective" d’en surconsommer.
Bref, pour faire simple, nous avons atteint un pic santé, depuis plusieurs années déjà. La médecine moderne remplis de moins en moins bien son rôle.
Notre santé se dégrade :
- 1/4 des américains souffrent de troubles mentaux sérieux a grave et cela touche de plus en plus les jeunes. Même chose ici : 1 jeûne sur 2 se dit victime de troubles psy.
- la fertilité masculine baisse de 50% en 50 ans
- 1/4 des maladies sont « officiellement » environnementale. Probablement la cause de la plupart des maladies chroniques Je suis persuadé que c’est beaucoup plus étant donné que ces études négligent des tas de polluants, et négligent aussi les effets des faibles concentrations (comme l’explique très bien le super documentaire l’homme toxique). En gros, c’est le minimum syndical.
- l’épidémie d’obésité (lié aux effets addictifs de la nourriture trop riche en graisse et sucre auprès des enfants)
- hyperactivité des enfants et autres troubles du développement
- Alzheimer, Parkinson
- …
L’efficacité des médicaments n’est pas au rendez-vous
85% des nouveaux médicaments sont inefficaces et sont retirés du marché. Les antidépresseurs ont été reconnus inefficaces (dans 70% des cas).
Et pourquoi ça ?
Les médicaments sont validés par les laboratoires pharmaceutiques par un protocole en 4 phases. La dernière phase est souvent une étude randomisée en double aveugle contre placebo. Derrière ce vocable savantifique se cache une étude menée au hasard avec des personnes qui ne savent pas ce qu’elle prescrivent pour ne pas influencer le malade, et on compare les résultats avec un faux médicament (du sucre par exemple) pour voir s’il y a une différence notable.
Jusque la tout va bien.
Je me suis « amusé » à regarder ça d’un peu plus près. Première chose étonnante : quand on fait ce genre de test, on compare les résultats du médoc a un groupe « placebo », et on compare les résultats selon un protocole assez « laxe » somme toute. Loin de la rigueur absolu a laquelle on s’attendrait. Surtout quand il s’agit de notre santé.
Grosso-modo, pour éliminer les erreurs statistiques, on considère que la différence des pourcentages moyennant l’erreur statistique doit être inférieure a 5%, pour être significative. Je cite :
Si cette probabilité est égale ou inférieure à 5 % (seuil adopté pour la signification), on dit alors que les deux pourcentages diffèrent significativement au risque 5 % (risque alpha des statisticiens) ;
La j’ai vraiment commencé à me poser des question… 5% c’est peu. C’est presque rien. Très loin de l’idée un peu bête que j’avais : j’ai une maladie, je prends un médicament qui va me guérir… à 100% ou presque si c’est le bon médicament, le bon dosage.
Dans la pratique ca signifie quoi ? et bien quand vous allez voir votre docteur et qu’il vous prescrit ce médicament, grosso modo (les pourcentage peuvent changer d’un médicament à l’autre, mais c’est un ordre d’idée) :
- Il y a 1/3 de chances d’être guéri par placebo
- Il y a 1/5 de chances d’être effectivement guéri par le médicament
- Il y a 1/2 chance de ne pas avoir d’améliorations
- Dans le cas ou le médoc est efficace (ou non d’ailleurs), il faut se cogner les effets secondaires
Tout ça, c’est en supposant que votre diagnostique est bon bien sûr, et que le traitement prescrit serait le bon pour vous. Quand vous allez voir votre médecin et qu’il vous prescrit une liste de médicaments :
- Il ne sait pas comment le médicament va agir sur vous spécifiquement
- Il n’existe quasiment aucune (ou très peu) étude sur les combinaisons de médicaments
- Il ne sait pas comment le médoc interagit avec d’autres produits actifs (alcool, tabac, café, alimentation, sommeil, etc…)
- Il ne sait pas comment le médoc interagit avec votre biologie particulière
- Il ne sait pas si le médoc va corriger un déséquilibre chimique à un endroit pour en créer un autre ailleurs, visible plus tard
Très concrètement on est utilisés comme cobaye. D’où les scandales a répétition ritalin, vioxx, mediator, hormones de croissance, la pilule contraceptive (provoques de nombreux troubles de la santé, alors que l’auto-observation de la fertilité pourrait fonctionner très bien avec une bonne éducation), ...
Vous comprenez bien que le médecin se cache derrière derrière son expertise pour éviter de parler de la valeur réelle du médicament qu’il vous prescrit à la va vite !
Et je ne parle pas des effets « ricochets » du genre : a force de prendre des antibiotiques ont favorise l’émergence de super microbes. Sans compter qu’a force de remplacer notre système immunitaire par de la chimie externe notre système immunitaire s’affaiblit et demande plus …de médicaments et réagit moins bien aux agressions (en gros on est malade plus souvent, ou malade chronique).
Le vrai problème : nous sommes empoisonnés
Et quelle est la première source de pollution ? La nourriture. Non seulement parce que les animaux sont contaminés autant si ce n’est plus que nous, puisque eux, on ne se pose même pas la question de les protéger et en plus ils n’ont pas d’avocats pour se plaindre de douleurs au ventre ou ailleurs. Tant qu’ils prennent de la masse de viande… tout va bien. Il y a pourtant quelques données à connaître pour bien saisir l’ampleur des dégâts.
Par exemple, quand vous mangez un porc, il faut savoir que celui-ci est sélectionné génétiquement (non pas modifié) pour produire plus de viande. Ce qui le rends cardiaque. Et alors me direz vous ? Et bien quand l’animal est envoyé à l’abattoir, il le sent. Il stresse. Il entends le cri des autres animaux et sent l’odeur du sang, alors il panique. Son sang est inondé de toxines. Et comme l’animal est fragilisé par la sélection, il meurt (si ça n’est pas directement dans les transports – le terme technique est « collapsus cardiaque »). Donc, les abattoirs leur donnent des antidépresseurs avant. Conclusion : quand on mange de la viande de porc, on mange toutes les toxines que l’animal secrète à cause du stress plus les antidépresseurs ! bon appétit. Sans parler des poulets aux hormones et autres vaches folles. Je peux vous dire que même les poulets fermiers, c’est de la merde ! Désolé pour la vulgarité, mais c’est comme ça ! Mes parents ont élèvé leurs propres poulets, qui se nourrissent en plein air, d’orties et autres aliments naturels, et bien je peux vous certifier qu’il y a une énorme différence entre ces poulets et les poulets de grande surface, même ceux dits fermiers ! Strictement Rien à voir.
Ce n’est pas tout, voici un petit liste rapide de ce qu’on va trouver dans les aliments moderne :
- la viande : antidépresseur, toxines du stress de l’abattage, animaux clonés
- les légumes : OGM, pesticides, fongicides, engrais, Les engrais sont issus du recyclage des bombes de la WWII de même que les pesticides sont issus des gaz. Et vous pensez que c’est bon pour nous ?
- farines et sucre : produits raffinés et donc déminéralisés (ce qui affaibli le corps, provoque des caries ou de l’acné selon les personnes)
- le lait de vache qui provoque chez les intolérants au lactose des allergies
- poisson : saumon d’élevage, perche du nil qui dévaste le lac Victoria, panga
- les aliments sont de plus en plus irradiés (pour leur retirer le peu qui leur reste de qualité nutritive) grâce aux américains qui ont imposé leurs normes au reste du monde via la codex alimentarius).
- les plats préparés sont plein d’additifs, d’exhausteurs de goûts de colorants et de conservateurs qui ne sont pas nos amis.
Concrètement, nos aliments moins nutritifs, dévitalisés, sont plus pollués, et dopés au pétrole (on mange 2L de pétrole par jour). Hippocrate disait : « Que ton alimentation soit ta première médecine« . Faut-il alors s’étonner d’avoir atteint un pic santé ?
Nous vivons dans un environnement ultra-pollué.
- nos vêtements sont empoisonnés
- les additifs alimentaires qui nous tuent à petit feu
- la pollution est présente dans les maisons
- la mal bouffe
- pesticides (qui sont des neuro-toxiques et dont on soupçonne l’influence pour Alzheimer et Parkinson), engrais chimiques, pollution de l’air, de l’eau
- cosmétiques : « générateurs de formol (cancérigène), des perturbateurs endocriniens, des molécules allergènes présentes dans de nombreux produits ainsi que des allergènes émergents »
- métaux lourds
- pollutions électromagnétiques
- amiante, déchets radioactifs, aluminium, fluor, plombages, CFC, asparthame, ignifugeants, huiles hydrogénées, talc pour bébé, thimérosal, bisphénol A
- …
Je profite de l’actualité pour donner un petit exemple révélateur : au Canada le Bisphénol A vient d’être reconnu toxique. On retrouve le BPA dans les plastiques « dur ». Par exemple certains tupperware (pas tous) ou les biberons des bébés. Et il a tendance à se libérer dans au contact de la chaleur, et de corps gras (par exemple le lait chaud dans le biberon). C’est un perturbateur hormonal (il mime les œstrogènes, hormones féminines).
Quand l’appareil génital de votre fils est « foutu » (pénis de taille réduite, coucougnettes non « descendues ») vous mesurez la toxicité du BPA ! Et vous êtes content d’avoir donné du bon lait chaud dans un joli biberon bien pratique. Quand on vous dit « mais non, ce n’est pas prouvé, il n’y a pas de lien de cause à effet, les études montrent que les niveaux de dissolution blablabla … » ! ça vous fait une belle jambe. Un peu comme l’autisme qui se développe quelque jours après certains vaccins ... "il n’y a pas de lien prouvé" hein ...
Ce n’est pas non plus sans rappeler l’histoire de l’aspartame (molécule instable qui devient toxique à 30°C) dont j’ai déjà parlé brièvement concernant le syndrome de la guerre du golf. (petit conseil en passant, si vous ne voulez pas avoir des trous dans le cerveau, évité les boissons et produits sans sucre).
Pourtant, nous charrions dans notre sang de plus en plus de produits toxiques qui s’accumulent : BPA, phatalates, métaux lourds, paraben, sulfites (pour ne citer que les plus « gros »). Sans compter les petits nouveaux qui arrivent en force : les nano-particules. Et notre santé, de même que notre patrimoine génétique se détériore. Internet regorge de témoignages de gens dont la vie est détruite. A un moment, il faudra se poser les bonnes questions et cesser de se dire qu’on peut tout résoudre avec la bonne pilule. Il est important de comprendre que tout est lié et que ces problèmes de santé sont reliés aux problèmes économiques du « capitalisme » notamment … la recherche du profit, les « externalités » (=les coûts cachés que les entreprises exportent chez le voisin ou dans le futur via la pollution ou d’autres « ruses ») sont en cause.
Le pouvoir des lobbys
J’accuse le système capitaliste. Les lobbys, recherchent la rentabilité, c’est leur fonction. Il sont prêt à tout pour cela (corruption, falsification, endoctrinement, …) :
- le scandale du vaccin de la grippe A a révélé le pouvoir des lobbys en France
- liaisons fatales de l’industrie pharmaceutique
- corruption des big pharma
- les médicamenteurs
- une députée dénonce le lobby pharmaceutique
- Il s’agit aussi d’inventer des maladies
- 80% des dépenses de santé concernent la dernière année de la vie. Plutôt que simplement laisser mourir ceux qui sont en train de partir, on les maintient artificiellement en vie à grand renfort de pilules. Je sais que c’est sujet délicat, mais avec le papyboom il va falloir revoir les choses, et surtout ré-humaniser notre relation à la vieillesse plutôt que se défausser sur des palliatifs chimiques.
- Pour notre sécurité on nous proposes (enfin … proposer est un bien grand mots puisqu’il s’agit de traités commerciaux internationaux signés sans aucun contrôle démocratique) d’irradier les aliments pour soit disant tuer les « microbes », mais aussi les nutriments :codex alimentarius
- Pour notre sécurité on nous « proposes » l’interdiction des herboristeries (depuis pétain) et des plantes médicinales (il faut éviter les petits artisans de la santé surement, ceux qui se soucient vraiment du bien être de leurs prochains
A trop se focaliser sur les on oublie facilement d’autres pistes :
- les cancers (dont on nous vante sans arrêt les progrès de la recherche sur ce domaine très lucratif) et dont la carte coïncide étrangement avec celle de la radioactivité – même si ce n’est sûrement pas le seul facteur ! Hasard de calendrier je tombe aujourd’hui sur cet article qui dit que leur origine environnementale est en passe d’être reconnue !! Comme quoi.
- les suicides
- l’eau potable
- les erreurs médicales
Vers une nouvelle médecine
D’abord, il faut remettre en cause le dogme pasteurien. Les microbes ne sont pas nos ennemis, ils sont "nous". Ensuite il faut compléter la vision mécaniste par une vision systémique. Le corps est un système, on ne peut pas modifier sa chimie sans toucher l’ensemble de ses fonctions. Ce n’est pas comme remettre l’huile dans un moteur à explosion. Il faudra aussi à un moment cesser de séparer corps et esprit. Mais bon, on en est pas la ! Donc la médecine à base de chimie, qui peut servir à la marge, ne doit pas être le réflexe "symptôme = médicament". Il faut aussi s’occuper des causes au lieu des conséquences :
Cela m’est arrivé personellement, suite à un emménagement dans un immeuble en réfection, je suis tombé malade. J’avais fini par perdre l’appétit, avoir une haleine de chacal et autres troubles de la digestion, a la limite de l’ulcère. Ils m’ont diagnostiqué une pseudo hernie hiatale, et bombardé de médicaments que je n’ai jamais pris et ils n’ont jamais écouté quand je leur parlais de « chez moi » et de la pollution et que j’étais empoisonné. J’ai quitté l’appartement et tout est rentré dans l’ordre avec un peu de temps. Ce n’est pas le seul exemple.
Il faut viser une médecine collaborative, résponsabilisante, préventive, hygiénique, avec suivi de paramètres biologique, équilibrante, médecine de l’individu et non de la "fonction" ou de l’organe (impersonnelle). Une médecine qui utilise en priorité les ressources naturelles telle que les nutriments, le corps lui même, l’eau, et en dernier recours seulement la chimie.
Voici quelques pistes de réflexion que chacun peut explorer par lui-même.
- L’alimentation et la diététique est bien sûr essentielle pour donner à notre corps toutes ses chances
- La voie préventive qui consiste à reconnaître, étudier et éliminer l’impact des polluants sur notre santé. Le problème c’est que ça ne rapporte rien. Les moyens des se purifier : les lavements (de l’instestin, de l’estomac, des narines), les jeunes et monodiètes, sudation (sauna, hammam).
- Tout simplement faire confiance a son corps (par exemple ne pas faire chutter la fièvre sauf cas exceptionnel car c’est un mécanisme de defense du corps naturel et efficace)
- Une bonne hygiène de vie (sport, pas trop d’excès)
- L’ostéopathie qui considère que le corps se guérit tout seul (la plupart du temps), sauf s’il est entravé. Son rôle étant donc de favoriser les mécanismes naturels du corps en enlevant les blocages.
- La médecine orthomoléculaire qui utilise les nutriments naturels qui composent les aliments et qui est couplée à une observation des paramètres biologiques (via notamment des bilans sanguins).
- en cas de soucis les médecines « naturelles » sont d’un grand recours (dont les meilleures sont pour moi) : nutrithérapie, métamédecine, ostéopathie (le principe est toujours le même : aider le corps à se soigner lui même), peut-être l’hypnose aussi
Points clés
- Nous avons atteint le pic santé (espérance de vie en bonne santé) il y a 30 ans env
- Les progrès sont essentiellement sanitaires (hygiène, égouts, poubelle, sage femme, retraites)
- Le protocole médical en IV phases : 5% de mieux que le placebo, effets secondaires non compris, manque de transparence en bout de chaîne
- Médecine de plus en plus inefficace (médicaments massivement retirés du marché)
- Contrecoups : supervirus (réponse aux antibiotiques), erreurs médicales, effets secondaires
- Dégénérescence : maladies chroniques et de vieillesse + troubles du développement de l’enfant, système immunitaire affaibli et accro aux médocs
- Pollution à tous les niveaux (vêtements, air, peintures, cosmétiques, métaux lourds, plastiques ...), maladies environnementales
- Nourriture dénaturée (pesticides, antidépresseurs, OGM, clones, irradiation, conservateurs)
- Dogme pasteurien du microbe remis en cause, vaccinations controversées, lobbyisme & scandales, inventer des maladies pour vendre
- Les vraies causes de mortalité : suicide, cancer, eau potable, erreurs médicales
- Nouvelle médecine à mettre en place : collaborative, préventive, hygiénique, avec suivi de paramètres biologique et nutriments, santé = état naturel, équilibrante, médecine de l’individu et non de la "fonction" (impersonnelle)
Articles originaux qui ont servi de matière première :
49 réactions à cet article
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON