Syrie : qui veut comprendre ce qui s’y passe réellement ?
Je crois que tout le monde s’en fout, et que ce papier ne passera pas. Mais tant pis, j’essaye quand même.
Il risque de ne pas passer parce qu’il repose sur une interview de Thierry Meyssan à la Télévision Syrienne, et que, vous savez, Thierry Meyssan est ce fou qui prétend que les attentats du 11 Septembre sont l’œuvre du gouvernement américain dans sa globalité.
Sur ce point, on peut penser ce qu’on veut, mais il s trouve que ce soi-disant attentat d’AlQaïda est bien le point de départ et le prétexte à de nombreuses exactions américaines en territoire étranger, et à l’instauration de nombreuses lois anti-libertaires et anticonstitutionnelles. Tout comme l’incendie du Reichstag servit de prétexte à la dictature hitlérienne. Tout comme Pearl Harbor servit de prétexte à l’entrée en guerre des USA, ce dont les citoyens US ne voulaient pas entendre parler. Tout comme l’incident de la baie du Tonkin servit de prétexte à l’entrée en guerre des USA au Viêt-Nam.
La liste des attentats sous fausse bannière est interminable, l’histoire se répète avec constance, mais à chaque fois il faut un long cheminement pour que les peuples comprennent qu’on les a manipulés. Et quand ils comprennent, si un jour ils comprennent, c’est trop tard et le mal est fait.
Cette interview vous apprendra, si vous prenez le temps de la visionner, pas mal de choses sur la manipulation actuelle dont nous sommes victimes pour nous contraindre à adhérer à une guerre en Syrie, prélude indispensable à l’objectif final de guerre en Iran, et donc mondiale. Nous venons de subir la même manipulation en ce qui concerne la Libye, mais la propagande est si bien faite, si omniprésente, et tellement monolithique que nous recommençons à gober tous les médiamensonges.
Vous apprendrez ici que les USA, en plus de leurs armées de terre, de l’air et de mer, possèdent une quatrième arme, active dans 75 pays du monde. C’est une armée d’infiltration, destinée à fomenter des troubles dans des pays qu’on veut déstabiliser et conquérir, et à former des minorités dissidentes à la guérilla urbaine.
En Syrie, ces troupes, comprenant souvent des mercenaires islamistes mais payés par l’Oncle Sam, qui n’est pas trop regardant de ce côté-là, et pas à un paradoxe près, sont envoyés par milliers d’hommes (5 à 15.000 actuellement) dans des villes syriennes frontalières, ce qui facilite leur ravitaillement en armes et rend difficile leur encerclement par le régime en place. Ces mercenaires assassins ont pour mission de tirer aussi bien sur les civils que sur les militaires, au fusil ou au mortier, et d’attribuer ces crimes au seul gouvernement en place : ce qui permet d’ameuter l’opinion publique, au moyen d’un puissant réseau de télécommunications fourni par l’Amérique. Ces troupes ont déjà servi en Irak, puis en Libye. C’est la quatrième armée US.
Vous apprendrez que les journalistes envoyés sur place sont le plus souvent des espions, chargés de renseigner l’Occident sur les cibles à toucher, parfois en déposant des balises sur les sites choisis.
Vous apprendrez que l'accès à la presse est libre en Syrie, que les soi-disant exploits des journalistes "entrés clandestinement" en Syrie sont une foutaise destinée à les mettre en valeur et à faire croire que c'est impossible (pourquoi entrer par la fenêtre quand la porte est ouverte ?). Exception faite pour les journalistes israéliens, la conquête du Golan étant toujours considérée comme un acte de guerre.
Vous apprendrez que les ONG sont des organes de propagande au service des gouvernements occidentaux, et que par exemple Amnesty International est dirigé par l’ex bras droit d’Hilary Clinton, ce qui ressemble à un curieux mélange des genres.
Mais peut-être que vous n’apprendrez rien du tout, pour la simple raison qu’on ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif. Et qui veut vraiment savoir ?
40 réactions à cet article
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Bonjour Doctorix
Ouf ! Votre article aère un peu l’air empesté par l’article de Schiffer paru aujourd’hui...
Pour ceux qui suivent de près la situation en Syrie, il y une foule d’articles, autres que ceux de Meyssan (pour ceux qui y sont allergiques). Dans Mondialisation.ca par exemple, mais dans bien d’autres sites.
Merci de nous rappeler que le discours mainstream est abject...
Pour rester dans les même causes et effets, aujourd’hui le Mali ?
Cordialement.
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Merci cevennevive.
La première surprise, c’est que cet article soit passé. Je n’en reviens pas.J’ai essayé d’en passer un autre tiré aussi de mondialisation.ca, que vous lirez avec intérêt et effroi :Syrie : « Si l’armée quitte notre village, nous risquons d’être égorgés »Les chiens de garde nous inondent de propagande mensongère, c’est effrayant.Mais les lecteurs d’agora sont éclairés et vigilants, et Schiffer se fait copieusement « schiffler », à 88%.C’est un peu comme les articles de Caroline Donati sur médiapart, qui sont révoltants, mais les lecteurs, par leurs commentaires, rétablissent les faits et la renvoient dans les cordes. -
Les chiens de garde nous inondent de propagande mensongère, c’est effrayant.
Meyssan fait dans la propagande pro-assad : il a commencé à le faire il y a bien longtemps.Les dictateurs lui ont toujours plu : après Kadhafi, voilà Assad dont il a fait la promotion en 2006....vous ne vous rendez pas compte du DANGER que représente Meyssan pour le journalisme en général.De dire que les journalistes sont tous des espions est le meilleur moyen pour ne plus avoir de journalistes.Ce genre de phrase TUE DES JOURNALISTES.ET Meyssan, tous frais payés par les pouvoirs qu’il encense, devra un jour rendre compte devant la justice de ces condamnations. -
Bonjour Morice,
Il vous faudrait lacher un peu les mollets de Meyssan, il n’est tout de même pas notre « maître à penser » ! N’ayez crainte, nous sommes capables de réfléchir par nous-mêmes !
Pendant que vous avez les dents plantées dans ses mollets, vous n’entendez et ne voyez rien d’autre que ce qu’il dit et la colère que cela suscite en vous...
Concernant la situation en Syrie, il n’est pas le seul à apporter ses opinions et sa vision des choses, il y a Sylvia Cattori par exemple, Michel Chossudosky, et bien d’autres.
Cordialement.
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Meyssian devras rendre des comptes à la justice , yep il ne sera pas le seul certain auteur prolifique ayant diffamé diffusé des données personnelles eu accés aux dites données" , copier piller sans vergogne , injurié et obtenu un aval douteux devrons aussi rendre des comptes si ce n’est à la justice du moins à l’opinion publique le jours ou un compte rendu exhaustif de leurs turpitudes sera publié ;
yep
asinus -
T’as raison Morice.
Quand cent journalistes ne tarissent pas d’éloges sue la magnificience des vêtements du roi, et que l’un d’eux se met à dire :« Mais le roi est nu ! », ça met en grand danger la profession de journaliste.En grand danger de ridicule, mais aussi en grand danger d’accusation de complicité de crime contre l’humanité. -
Merci Doctorix pour le partage. J’ai honte d’être française et qu’en mon nom, le président actuel se soit permis d’envoyer des bombes et une logistique qui a tué des centaines voir des milliers de civils libyens innocents (paix à leur âme). On a un gouverne ment et une oligarchie abjecte...
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Le vrai chiffre tourne autour de 160.000. Sarko est un assassin, qui devra répondre de ses crimes. Et les journalistes qui nous mentent devront être condamnés, pour incitation à la guerre par propagande mensongère, comme ils le furent (un peu) à Nuremberg.
Nous sommes en présence de crimes de guerre.N’ayez pas honte d’être française : sarko n’est pas la France, mais un valet de l’oncle Sam, formé par la CIA. Nous sommes tous trahis depuis 5 ans. Sarko est un collabo dans une France occupée : résistons ! -
Syrie
X
Manif pro-Assad où des femmes laïques manifestent pour que l’on ne leur impose pas le voile. Accessoirement, le photographe occidental (pourri, vendu !) saisie un geste d’approbation pour faire croire à… deviner quoi !
X
Manif anti-Assad où le contraste se passe de commentaires.
Question : comment se fait-il que l’on ne soutienne pas ce régime alors que nos troupes en Afghanistan rêve d’avoir un régime de ce type à Kaboul où nous avons été, rappelons-le en 2002… pour libérer les femmes de la Burqa. Aujourd’hui, les talibans sont au pouvoir en Afghanistan et on n’est plus là qu’entre modérés et extrémistes à faire on ne sait quoi… alors qu’en Syrie, un pouvoir, certes dictatorial et peut sympathique (comme en Libye, Égypte, Tunisie) résiste encore aux talibans… que Juppé, Sarközy ; mais aussi le PS X soutiennent.
2ème question : Pourquoi a-t-on en Syrie (mais aussi Libye, Égypte, Tunisie) l’attitude exactement inverse de celle que l’on a en Afghanistan ?
Je rappelle que les filles se baignaient en string à Lattakié il y a encore moins de 10 ans et il y a peu en Tunisie où c’est manifestement bien fini et où toute manifestation anti-salafiste est écrasée avec la dernière violence.
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@LM-Lavie
C’est curieux de vous en prendre à moi quand je suis un des rares à faire un article non-consensuel sur la Syrie. J’en ai fait bien d’autres, mais les chiens de garde sont bien présents sur agora et ils ne sont pas passés.Au commencement était le Verbe, rappelez-vous..La première chose à faire n’est pas de casser des vitrines ni de brûler des voitures, mais de partager ce que l’on sait.Je sais bien que nous qui râlons, sommes fichés, et que ce n’est pas sans risque. Mais vous partez battu (e ?). Vous sous-estimez la force d’un peuple en colère. Mais pour qu’il soit en colère il faut qu’il soit informé. C’est la première étape d’une révolution. N’est-ce pas ce que nous faisons ?Il ne faut pas brûler l’étape de l’information.Les pavés, c’est l’étape suivante. -
Ben tiens... Vous aimez oublier qu’il y a révolution populaire quand l’armée http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9volution_des_%C5%92illets et il y a la défense du pays quand il y a infiltration armée et meurtrière...
Vous oubliez de penser a changement de lois en France qui permet a un tireur d’élite (vu l’arme autorisé) de tirer de plus de 1’000 (1’500) mètres sur des cibles dans des manifestations...
Et pourtant ; le premier rôle d’un État c’est d’être au service de ses citoyens...
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Pardonnez-moi de ne pas répondre : je n’ai rien compris.
Peut-être que si vous aviez lu l’article, vos questions seraient plus claires : les témoignages des vrais habitants de Syrie ne sont pas si nombreux qu’on puisse en faire l’impasse. Nous n’avons droits qu’à celui de quelques nantis exilés pour des raisons qu’on ignore et qui auraient intérêt au départ d’Assad. Ceux-là sont crus.Pourquoi ceux sur place seraient-ils...cuits ? -
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Je vais faire gaffe a l’avenir... c’est vrai que : il faut, des fois, vraiment me lire pour savoir a qui « je parle », c’est un peu le site qui le veut car ailleurs c’est marqué « réponse à »... Bof, une « habitude à prendre ».
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c’est pas avec Meyssan qu’on va savoir ce qui se passe là-bas.
une photo pour vous le rappeler....on ne peut en 2006 FAIRE LA PROMO d’Assad et aujourd’hui se déclarer « obejectif », c’est clair.autre cliché :-
Vous avez bien raison de citer Dieudonné.
Voici d’ailleurs un exemple frappant de son antisémitisme prononcé :Ici, on voit qu’on peut taper sur les curés, sur l’islam, mais pas sur les juifs. Le montage est saisissant, et Ardisson pris en flagrant délit :Je rappelle que Dieudonné tape aussi bien sur tous les extrémistes, et que les Imams en prennent également plein la tronche :Dieudonné est un bel exemple de persécution. Beau travail de la meute des chiens de garde.Et Morice a le culot de parler de « cliché »... -
Rigolo va morice,
Tu est en train de nous prouver qu’il sait de quoi il parle... vu qu’il visite pleins de gens et pays... alors que tes « références » font du journalisme « copier-coller » depuis un bureau de Paris.
J’aime bien morice
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Vous apprendrez que l’accès à la presse est libre en Syrie,
c’est un GROSSIER MENSONGE.En Syrie, aucun régime ne s’est montré tolérant à l’égard de la presse et des journalistes. En un siècle d’existence, qui n’a connu qu’une brève période de démocratie, de 1954 à 1958, la presse n’a donné naissance à aucun titre durable, à l’exception des journaux officiels du parti Ba‘th. Aucun organe de presse n’a produit d’institution jouissant d’une réelle réputation journalistique, dotée d’une histoire rédactionnelle, d’une orientation intellectuelle et de traditions propres. Tous les titres sont restés au stade de l’essai, de l’expérience, confinant la presse dans un état permanent d’adolescence. À part la permanence de la censure, à laquelle elle a fini par s’adapter, elle a dû à chaque nouvelle ère politique repartir à zéro. Les conditions historiques imposées par les pouvoirs en place l’ont toujours empêchée de grandir, de se développer et de jeter les bases d’un métier qui se nourrit de savoir-faire et d’accumulation d’expériences. De telles conditions ont empêché la naissance d’une presse indépendante du pouvoir, capable d’affronter et de contredire le discours et les décisions de celui-ci.1963-2001 : La presse devient un prolongement du pouvoir« Avant le 8 mars, il y avait dans ce pays une presse qui s’est employée à défendre les clivages, les intérêts du capitalisme et la réaction, qui a comploté contre les acquis du peuple. Il était donc tout à fait naturel que la révolution brise de tels média car la presse est le visage véritable du peuple et elle doit être entre les mains du peuple ». Éditorial du journal al-Ba‘th, numéro 1, 8 mars 1965
- 2 Hassan Abbas, “La réalité de la presse syrienne”, étude publiée sur internet, 2003.
12Quelques jours après le coup d’État militaire qui l’a porté au pouvoir, le régime issu de la révolution du 8 mars 1963 a émis un décret abrogeant la concession des journaux et des magazines, sans indemnisation compensatoire. Les imprimeries et tout le matériel appartenant aux propriétaires des journaux ont été confisqués et certains journalistes ont été privés de leurs droits civils « car ils ont trahi la foi du peuple arabe dans le nationalisme arabe, ou répandu des idées confessionnalistes » (‘Abd al-Rahmân, 2003 : 31). Le nouveau régime, d’origine provinciale et dominé par les militaires, a nourri une grande méfiance à l’égard de la presse et de son pouvoir potentiel et l’a confisqué pour en faire un moyen de mobilisation et d’endoctrinement, tout en maintenant la fiction de la propriété du peuple sur les médias2.
13C’est en fait la loi d’urgence, encore en vigueur aujourd’hui, qui régule pour l’essentiel le domaine de la presse, donnant pouvoir aux autorités de censurer, avant leur diffusion, les lettres, les communications téléphoniques, la presse, les imprimés, les livres, les publications, les radios et tous les moyens d’expression, de propagande et de publicité (‘Abd al-Rahmân, 2003 : 28). Cette loi est l’un des éléments fondamentaux du système établi par le parti Ba‘th, depuis 40 ans, pour fabriquer une société totalitaire.
Dans le nouveau paysage médiatique syrien, quels sont les moyens d’informations disponibles qui forment la conscience des jeunes ou reflètent leurs idées, leurs appréhensions et leurs problèmes ? Les trois journaux officiels consacrent des pages spéciales aux jeunes, vouées surtout à des rubriques sur la littérature, ou à des conseils pédagogiques et éthiques. Forts de leur monopole, ces journaux ne manifestent aucune inventivité. Ces trois journaux réunis vendent 50 000 exemplaires, dont une grande partie est constituée des abonnements des institutions de l’État. Les sommes consacrées annuellement par le ministère de l’Information aux grandes institutions de presse atteignent 80 000 dollars9, sans parvenir à satisfaire le lecteur. Le plus souvent, les rédacteurs en chef de ces journaux, désignés suivant des considérations politiques et partisanes et non professionnelles, sont étrangers au métier lui-même. Après 2000, certains rédacteurs en chefs “historiques” ont été remplacés par des hommes nouveaux. Ce fut notamment le cas de la rédaction du journal al-Thawra, confiée pour la première fois à un journaliste, Abd al-Fattâh ‘Awad, qui s’est attaché à professionnaliser cette publication et à attribuer une place plus importante aux enquêtes et aux reportages. Pour autant, ces changements ne sont pas parvenus à rapprocher la jeunesse de la presse officielle.
28S’il n’existe aucun chiffre concernant leur vente ou leur distribution, il est néanmoins assuré que les magazines associés aux organisations populaires et aux corporations professionnelles sont entrés dans une phase de mort clinique depuis longtemps. Ils sont plus médiocres encore que la presse officielle du point de vue du savoir, de la technique et du professionnalisme ; ceux qui y travaillent ne sont même pas des journalistes. En tête de ce désastre journalistique arrivent les magazines des organisations de jeunesse. Malgré le volume potentiel du lectorat, lié à la mobilisation quasi-obligatoire de la jeunesse, ils ne reçoivent pratiquement aucun écho parmi celle-ci et ne constituent en rien un média propre aux jeunes. L’âge avancé de leurs responsables suffit à convaincre que le système perdure au profit de quelques-uns qui se nourrissent des miettes de ce qui reste de ces organisations, devenues des carcasses vides. Quant aux nouveaux journaux partisans des partenaires du Ba‘th au sein du Front National, ils manient un langage très idéologique qui les coupe largement de la jeunesse.
- 10 En l’absence de statistiques récentes, j’ai calculé moi-même le nombre d’autorisations accordées et (...)
29
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Avec sa prose verbeuse et ses copier-coller, Morice vient encore polluer un article dont ni lui ni ses petits copains chiens de garde n’ont pu empêcher la publication.
Il a du se faire remonter les bretelles par sa hiérarchie, alors il compense par la technique de la dilution : beaucoup de verbiage hors-sujet pour noyer le poisson et user le lecteur.
Ainsi, quand je dis que l’accès à la presse étrangère est quasiment libre en Syrie (après autorisation, ce qui est bien normal quand on sait que les ¾ des « journalistes » en Libye étaient des agents étrangers en mission de guerre), il vient nous parler de la liberté de la presse intérieure.
Ce qui est hors-sujet.
Je maintiens que l’accès aux journalistes étrangers est libre. On a même vu une journaliste de la BBC se faire engueuler comme du poisson pourri par les habitants parce qu’elle et sa télé mentaient :
Comme vous le voyez, cette journaliste est libre de ses mouvements.Et pourtant elle venait chercher les témoignages d’une population en colère contre son président, et comme vous le voyez elle a été servie…
Vous vous souvenez du film « Papy fait de la résistance » ?
Ici, Papy fait de la collaboration. Il sera tondu, s’il n’est pas déjà chauve.
Je suis assez content, car publier une vidéo de Meyssan, journaliste maudit, relève de l’exploit. Peu de journalistes sont aussi bien informés, et aussi courageux. Je rappelle qu’il est exilé de France pour menaces sur sa vie.
Le premier qui dit la vérité, il doit être exécuté…
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Heuuu... morice,
Tu fait référence a une agence qui « traduit » RSF ???
Tu ne savait pas que RSF est viré de l’ONU en tant qu’ONG ?
La raison invoqué étant la partialité de l’ONG !!! Renseinge-toi
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Ainsi donc, les méchants impérialistes organisent la chienlit dans un pays où règne la parfaite harmonie,et le bon protecteur du peuple est bien obligé ,forcé,contraint, de mener une gentille opération de police pour rétablir l’ordre.
Bien sur, on n’imagine pas un instant qu’une partie de la population,submergée par les bienfaits que le régime prodigue à l’envi,serait capable d’elle-même de ne pas être « contente ».
Et ma foi, quand des étrangers envahissent en masse le pays,armés jusqu’aux dents,avec blindés,avions, sous marins, cuirassés,normal que le régime réagisse à la mesure de l’agression.
On a appelé cela les printemps arabes,et on voit bien les immenses bénéfices qu’en retire l’empire.
Par contre ce qui est plutôt curieux, c’est que ces agresseurs n’ont aucun mal à entrer en Syrie, par contre pour sortir... un peu plus compliqué, une malencontreuse façon d’avoir placé les portes sans doute ?Cette façon de réécrire l’histoire sur avox est très distrayante.
Tiens je vais m’y mettre aussi,puisque l’on célèbre Aubrach ce héros
En fait, une bande de jeunes voyous à la solde de l’empire(ils étaient armés par les forces de l’empire, vous savez ceux qui avaient tellement envie de faire la guerre, qu’ils ont sacrifié quelques milliers de concitoyens à Pearl harbour à cette fin)ont été dévoyés par la propagande ,et au nom de la soi-disant libération de leur pays ont commis assassinats, destructions, crimes,alors que la population en général ne demandait qu’à vivre en paix.
On laisse entendre que Aubrach aurait été un agent soviétique,.
Bref, la réaction de nos amis teutons était très justifiée, et on a tort de glorifier les crimes commis au nom d’une soi-disant lutte pour la liberté.Voilà.
Ma modeste contribution à la réécriture de l’histoire sur avox
Normalement, celle-là ne devrait pas vous plaire.-
Bien sur, on n’imagine pas un instant qu’une partie de la population,submergée par les bienfaits que le régime prodigue à l’envi,serait capable d’elle-même de ne pas être « contente ».
pourquoi pas en effet, cependant vous ne trouvez pas étrange que ces révoltés, massacrés à coup de bombes chaque fois qu’ils manifestent pacifiquement depuis bien plus d’un an comme on nous le dit, ressortent chaque fois le lendemain, quotidiennement, pour se faire massacrer encore, vous connaissez si mal l’histoire pour ne pas savoir que des manifestants pacifiques, quand ils sont massacrés, parce que cela arrive en effet, restent en général cloitrés chez eux pendant un bon bout de temps, car en général les gens n’aiment pas mourrirquant à votre histoire des ennemis qui n’auraient aucun mal à rentrer mais auraient du mal à sortir, je ne vois pas bien à quoi vous faites allusion en disant qu’ils auraient du mal à sortir on sait par contre qu’ils ont de plus de mal à entrer depuis la frontière avec la Turquie puisqu’on nous y signale des combats
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Et voilà les trois chiens de garde débusqués. Ou plutôt trois des chiens de garde.
Encore un qui s’imagine que les USA sont arrivés en 44 au nom de la liberté...Les GI’s, c’est probable. Mais leurs chefs, les vrais, ceux de la haute finance,ceux qui avaient programmé la montée du nazisme, profité de la guerre pour faire du fric, comptaient bien profiter de la reconquête pour en faire encore plus, et coloniser l’Europe, ce qui fut fait jusqu’à ce que De Gaulle les foute dehors. Faute de quoi ils y seraient encore.Et a Pearl Harbour, on a su en haut lieu ce qui se tramait, et on a laissé faire au prix de quelques navires périmés et hors d’âge détruits, et de quelque 3000 vies humaines, ce qui semble être l’unité de base pour rameuter l’opinion américaine (cf 11/9).En Syrie, pas besoin de cuirassés, ni de tanks, ni de sous-marins. Il a suffi d’embaucher quelques voyous (la quatrième armée US), de les endoctriner, de les défoncer aux drogues dures, et de leur dire de tirer dans le tas, contre l’armée ou contre les civils, peu importe, du moment qu’ils foutraient une merde maximum et que la presse occidentale aux ordres pourrait accuser le pouvoir en place.C’est ce qui se passe.Votre terme d’opération de police est donc judicieusement choisi, puisqu’il s’agit de contrer les exactions de voyous armés par nos soins. Comme nous le ferions en France en pareil cas. Ne sommes-nous pas les champions de la lutte anti-terroriste ? -
@Jimmy
vous semblez admettre que les gens manifestaient et qu’ils ont subi une répression féroce ?
Dans ce cas, comment imaginez-vous que les gens accepteraient de sortir à nouveau dans les rues pour manifester, avec femmes et enfants ?Ils seraient payés ?Il y aurait des hordes de voyous qui les forceraient à aller se faire tuer ?Ou bien ,ils considèrent qu’ils n’ont plus d’autre solution ?
A moins bien entendu de considérer que les syriens sont des gens à part, qu’ils sont incapables d’une prise de conscience politique, de se révolter contre un régime tyrannique,que ne règle générale, les « arabes » sont parfaitement cons et incapables de se lancer dans des combats dont nous avons nous été fiers en d’autres temps ?
Concernant les entrées et sorties, vous le faites remarquer, les frontières sont bien gardées,et on n’hésite pas à tirer, des fuyards (des lâches quoi) se sont faits descendre en tentant de se mettre à l’abri.Comment donc imaginer que des hordes de mercenaires à la solde de l’empire seraient rentrés en Syrie, avec un arsenal.
Que cela vous plaise ou non, le régime syrien bombarde sa population,tue,massacre, et vous pouvez vous livrer à toutes les conntorsions intellectuelles, les faits sont là -
L Axe Damas Teheran elle est là l’affaire syrienne ,le cynisme humanitaire occidentale ;
Faire tomber Assad pour installer des islamistes armées et provoquer une guerre civile et découper le pays comme c’est entrain de se produire en Libye avec la demande d’autonomie de la Cyrenaique
cette guerre sous terrainne contre la Syrie c’est dans l’optique de pouvoir isoler l’Iran
de détruire le Hezbollah libanais et la résistance pro iranienne en Irak ,pour le grand Israël continue a faire le flic des puits de petrole au profit des usa
mais leur plan bat sérieusement de l’aile ,la défaite de tshal au Liban en 2006 a laissé des traces,en plus des S300 russes et des navires du guerre dans le port de Tartous le scenario libyen a peu de chance de succès ,en plus d’un peuple qui est l’unanimité contre l’ingérence etrangère ,qui a plebiscité les reformes lancés par Assad
les mensonges des médias en Europe laissent de marbre Assad et consorts ,malgré les cries de putois de Juppé les chars syriens n’ont pas bougé de place ,la défaite de l’otan est consommée-
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« Pour éviter une guerre sur deux fronts, l’Egypte a été déstabilisée par le Mossad et la CIA, puis Kadhafi a été éliminé. Face à ce « bon travail de la CIA », le président américain a déploré le mauvais travail du Mossad en Syrie où l’on n’avance pas. Dans la presse occidentale, on prétexte qu’il s’agit d’un soulèvement populaire. En réalité, le Mossad et la CIA ont mené la prétendue révolte populaire avec des mercenaires étrangers venus d’Algérie, de Libye, de Turquie et des Taliban(!), en s’occupant du financement, de l’armement et la stratégie. Selon Panetta, le ministre de Guerre américain, ce n’est qu’à la suite de ce prétendu « travail de libération » en Syrie qu’Israël pourra attaquer l’Iran, probablement entre avril et juin. Plus vite le président Assad est éliminé et le pays déstabilisé, plus vite la guerre contre l’Iran aura lieu. »
Il vous en faut plus pour comprendre ?Il en dit quoi, le morice et le joletaxi (dont l’avis m’est à vrai dire indifférent : j’ai la même chose avec Pujadas) ?J’ai un scoop pour vous : le PA « enterprise » sera coulé prochainement par un sous-marin israélien (il termine sa vie l’année prochaine et son démantèlement coûterait une fortune, à cause de l’amiante qu’il contient).Ce soi-disant crime sera attribué à l’Iran, et vlan, c’est parti pour la troisième guerre mondiale.-
@ doctorix,
Sacré travail que vous vous êtes octroyé... J’espère pour vous que vous rencontrerez aussi d’autres (payeurs d’impôts ?) gens qui doivent en savoir encore plus que moi / toi...
PS : Question fausse bannière, j’aime beaucoup rappeler la gare de Bologne ; explosion meurtrière qui a été faussement attribuée aux « Brigades Rouges » alors que c’était les hitlériens de Gladio !
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@RenskJ’ai cinq enfants, et des petit-enfants.J’aimerais juste bien qu’ils ne soient pas irradiés.Contrairement à Morice et Joletaxi que visiblement ça démange.L’Histoire, en fait, se confond avec l’histoire des false-flags :Pour l’enterprise, c’est là :Il y en a bien d’autres, mais certains sont admis par les gouvernements...-
Noam Gur et Alon Gurman se présenteront, lundi 16 avril, au bureau de recrutement de la base militaire de Tel Hashomer, où ils vont affirmer leur refus de servir dans l’armée israélienne, tant qu’elle sera pouvoir occupant, et ils seront emprisonnés en raison de ce refus.
Dans sa déclaration expliquant son refus, Gurman écrit : « Mon refus de servir dans l’armée Israélienne, en plus d’être le refus de prendre part à l’occupation et à l’apartheid, est un acte de solidarité envers nos amis Palestiniens vivant sous domination Israélienne, et de lutte pour la liberté, la justice et l’égalité. » La jeune Noam Gur a justifié, elle, son refus ainsi : « Je refuse de rejoindre une armée qui, dès ses fondements, s’est engagée à dominer une autre nation, à piller et terroriser une population civile sous sa domination. »
Vous voyez, il n’y a pas que les vieux cons de va-t-en-guerre sur le marché : la jeunesse se lève, et proteste.Ces jeunes sacrifient leur liberté à leurs convictions. C’est un signe.
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Meyssan apporte une autre vision que celle relayée en boucle par les médias et qui est proche de celles d’autres journalistes indépendants n’ayant pas de relations avec le régime syrien (Cattori, Piccinin, etc.)
Dernier vote libre : référendum à propos de la Constitution le 27 février 2012
Bachar al-Assad est proposé à la présidence de la République arabe syrienne en 2000 et le peuple a voté son élection par référendum.
De quelles exactions parlez-vous ? Les assassins d’Hariri sont de plus en plus soupçonnés d’être Israël et les Etats-Unis.La Libye n’était certes pas la plus aboutie des démocraties, mais la paix y régnait et la population avait de nombreux droits dont vous seriez jaloux. Voir ici.
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Mandrake 17 avril 2012 17:20à quand des élections démocratiques en syrie ???
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Ursulin, vous vous rangez du côté des assassins usraéliens, c’est votre droit. Mais vous aurez alors du sang sur les mains, comme je suppose que vous avez celui des 160.000 libyens que nous avons assassinés avec votre accord, soit une centaine de fois plus que ceux qu’on reprochait à Khadafi : vous avez un curieux sens du calcul et de la façon d’imposer la démocratie, à des gens qui n’en voulaient pas, en tous cas pas celle-là, et qui comprend la charia entre autres.
Il est aujourd’hui certain que la Syrie n’était pour rien dans l’assassinat de Hariri, de même qu’il est amplement prouvé que Khadafi n’avait rien à voir avec Lockerbie. Ce sont typiquement des attentats sous fausse bannière, et devinez qui en sont les grands spécialistes ? Israël et Washington, bien sûr.
La Syrie allait doucement mais sûrement vers la démocratie, tandis que notre jolie France va non moins surement vers la dictature, à la remorque des USA pour qui c’est une chose faite.
Je me tiens à votre disposition pour vous le démontrer quand vous voulez. Mais je suis sûr que dans un coin de votre cerveau vous avez déjà comme un doute à ce sujet...
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je constate avec plaisir que vous avez apprécié ma façon d’apporter un éclairage nouveau sur des faits de notre histoire que l’on croyait coulés dans le marbre.
Comme je suis d’un naturel urbain,je vous propose un autre fait historique évoqué par l’auteur,Pearl harbour.
Comme l’auteur le souligne, il s’agit d’un complot de l’oligarchie zunienne pour précipiter leur pays dans la guerre et faire des bonnes affaires,plan déjà bien sur les rails par le financement de Hitler.
Donc dans les allées du pouvoir, on savait !
Et on en a profité honteusement pour entraîner bien malgré eux les japs, qui passaient par là par hasard,dans une attaque sur des vieux bateaux rouillés promis à la casse.
Ce que je comprends pas bien par contre, dans ce plan machiavélique etmis au point par des as du complot,c’est pourquoi, une fois que l’attaque était déclenchée, et que l’on savait, pourquoi on ne leur a pas mis la pâtée par la même occasion ?L’occasion était trop belle, la guerre était bien en route, et personnen’aurait rien trouvé à redire à une belle contre attaque US ?
Quoi ?
Les américains sont des crétins ?
bon mais alors le plan machiavélique ?
Moi je propose une autre lecture :
A-t-on la moindre preuve de la présence des Japs à Pearl harbour ?
On a des films, mais on sait très bien faire, pour preuve la mise en scène du planter de drapeau à IwoJima
Des témoignages,ben oui, mais on a vu avec l’affaire Merah, les témoignages hein
On a des carcasses d’avions Japs ?
On a recherché la présence de thermite dans la peinture des bateaux coulés ?
Tout cela est une vaste fumisterie destinée à donner le beau rôle à ces salauds de zuniens.A quand un ReopenPearl ?
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" Ce que je comprends pas bien par contre, dans ce plan machiavélique etmis au point par des as du complot,c’est pourquoi, une fois que l’attaque était déclenchée, et que l’on savait, pourquoi on ne leur a pas mis la pâtée par la même occasion ? «
La réponse est très simple : il fallait un »motif valable« pour tester en grandeur nature la première bombe atomique. »Motif valable" veut dire que le peuple américain ne devait pas s’offusquer de l’utilisation de cette nouvelle arme, dont les effets ont atteint des sommets dans l’horreur.Une autre question ? -
ah bon, les américains avaient la bombe au moment de Pearl Harbour ?
Et on avait besoin de test sur une population pour évaluer sa puissance ?
Vous m’en direz tant...
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Joletaxi aime à se donner de l’importance en collectionnant les moinssages, par la médiocrité de ses apports et sa constante mauvaise foi. Chacun prend son pied où il peut, et c’est encore plus vrai chez ce gendre de frustré.
L’hypothèse de la pré-connaissance par Roosevelt de l’imminence de l’attaque des japonais sur Pearl Harbor est la plus vraisemblable. On peut même faire un parallèle avec le 11/9 (Wolfowitz avait préconisé un nouveau Pearl harbor pour justifier l’attaque de l’Afghanistan et de l’Irak, quelque temps avant le 11/9). Juste un an, en fait, Septembre 2000, où le projet pour un nouveau siècle américain prédit que la conquête de l’Irak prendrait beaucoup de temps, à moins d’un évènement de type Pearl Harbor :Il y a d’ailleurs de nombreux parallèles entre les deux évènements :Evidemment, on peut toujours parler de coïncidences...-
L’hypothèse de la pré-connaissance par Roosevelt de l’imminence de l’attaque des japonais sur Pearl Harbor est la plus vraisemblable.
ben oui, disons que c’est celle qui vous plait le mieux.
dans les faits, c’est un peu plus difficile à justifier.Concernant le 11/09, moi perso, je n’ai pas entendu que les Zuniens allaient faire du shopping en Irak pour venger l’attentat, encore moins pour y trouver ce bon Ben, mais qu’ils y allaient surtout pour y chercher des stocks de produits « bizarres »
Les rapports avec ce bon Sadam étaient d’ailleurs aussi assez bizarres, et ce bien avant le 11/09 mais si cela peut aider à retrouver le détonateur sur lequel Bush aurait appuyé pour descendre les tours...
Avox est passionnant, et j’attends avec la même impatience les livraisons des brillants analystes du forum citoyen, que celle que j’avais quand dans ma bd préférée de l’époque , je découvrais les belles histoires de l’oncle Paul,sauf que pour l’occasion, c’est l’oncle Doctorix qui raconte des histoires à sa façon.
Sinon, combien de chiens galeux, suppots de l’impérialisme ce bon Assad a dégommé aujourdhui,il me semble qu’il est un peu mou ces derniers temps
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