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Accueil du site > Tribune Libre > Qu’est-ce que donc le populisme ?

Qu’est-ce que donc le populisme ?

Historiquement le terme, populisme est originaire de l’empire romain. En ce temps l’affrontement au sein de l’empire entre ce que l’on a appela le « parti sénatorial » et le « parti populiste »

Le premier est constitué par l’ensemble des sénateurs et des électeurs de l’Empire.

Le second est constitué par la majorité des citoyens de l’empire. L'Imperator « l’empereur » étant le représentant de tous ce monde en restant le plus neutre possible, au moins en apparence. Cela changera au cours des époques…

Comme nous le remarquons dans ce dictionnaire le mot a évolué vers une idéologie politique celle du peuple versus une élite qui concentre tous les pouvoirs entre les mains…

 Populisme

 1. HIST. Idéologie qui a inspiré, vers 1870, un mouvement politique russe préconisant une voie spécifique vers le socialisme à partir de la transformation des communautés paysannes.

 2. Idéologie de divers mouvements de libération nationale, visant à libérer le peuple sans recourir à la lutte des classes, et qui connut, à partir de 1910, une importante diffusion en Amérique latine (notamment en Argentine avec J. Peron). / Par ext. Courant politique qui se proclame le défenseur du peuple contre les puissances d’argent et les étrangers.

 3. LITT. École littéraire créée en 1929, qui prônait la description de la vie du petit peuple.

A priori le sens utilisé par les médias signifie quasi-exclusivement « Courant politique qui se proclame le défenseur du peuple contre ceux qui symbolisent la puissance mal acquise et tentatives d’instaurer un pouvoir ‘totalitaire ‘ » Pourtant, les journaux parlent du mot populisme dans un sens exclusivement péjoratif.

On trouve aussi une autre notion fort intéressante : L'invocation au peuple sans s'en sentir partie constitutive, a une dimension religieuse : la confrontation de laos, « la plèbe, la foule, le peuple non constitué », et ekklesia, « l'assemblée » (de l'élite). Position inverse de la démocratie où dêmos, « le peuple constitué », peut gouverner par un système de représentation.

Ainsi on voit bien d’un côté la foule, la plèbe et de l’autre l’assemblée, l’élite, hors c’est exactement ce qui se passe dans le monde et dans l’union européenne qui exprime par son fonctionnement son mépris pour le peuple dont on niera même le vote car selon certains ce n’est pas le vote correct, alors on fera revoter ce peuple jusqu’à obtenir le résultat escompté, soit on se passera de lui en mettant son vote dans les poubelles de l’histoire.

L'accusation de populisme

Selon liberpédia, Des politiciens aux orientations très différentes sont souvent traités de populistes par d'autres politiciens qui n'ont de théorie cohérente ni de la démocratie ni du Droit et sont incapables de donner une définition cohérente ni de populisme ni d'extrême-droite, ni d'expliquer la distinction entre les deux

Selon les défenseurs contre le populisme on peut lire que les peuples s’abrutissent tout en s’attaquant à la légitimé des élites intellectuelles…Ce qui est aussi vrai, sauf que ceux qui tiennent les pouvoirs sont les « élites » et qu’ils proposent le décervelage et le dévoiement de tous les principes en galvaudant les valeurs comme liberté. D’ailleurs le jour où les peuples ne seront plus léthargiques, « ses élites » auront de grandes choses d’entendre « dégage »…

Déjà John Locke avait pourtant compris que” the people cannot delegate to government the power to do anything which would be unlawful for them to do themselves”. Le peuple ne peut pas déléguer au gouvernement le pouvoir de commettre des actes qui serait illégaux s’ils étaient commis par le peuple lui-même.

Et donc Le peuple délègue dont bien ses pouvoirs aux gouvernants, mais il conserve ses droits naturels.

Or ce principe est mis au placard par les politiques et autres pouvoirs…d'où les problèmes actuels dans le monde.


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20 réactions à cet article    


  • Yvance77 27 avril 2011 11:05

    Salut,

    Bon post qui recadre bien cette notion somme toute pas si idiote que cela. Le souci est que certain voit le populisme comme un stupide conservatisme réactionnaire sauce Georges Bush, alors qu’il n’en est rien.

    Mélenchon est populiste et populaire aussi lorsqu’il s’adresse au peuple. Tout comme d’autres. Idem pour Jean-Marie Le Pen la popularité moindre.

    Des crétins comme Lefebvre, Morano ou Viard n’ont rien à voir avec cela.


    • Yvance77 27 avril 2011 11:43

      Je n’ai pas dit le contraire Perséus, le populisme n’appartient pas à un camp ou un autre.

      Ce sont des individus bien précis qui le font.


    • Gabriel Gabriel 27 avril 2011 11:42

      Bonjour,

      Ce ne sont pas les propos qui doivent être condamnés, ce sont les voies de fait. Ce ne sont pas les discours ignominieux du populisme qui doivent faire l’objet de poursuites, sans quoi il faudrait dénoncer aussi leur imprégnation sournoise et leur présence masquée dans les déclarations démagogiques de la politique clientéliste et bien-pensante, ce sont les violences à l’encontre des biens et des personnes, perpétrées par les sectateurs de la barbarie.


      • Francis, agnotologue JL 27 avril 2011 12:18

        Bonjour Lorelei,

        on reste un peu sur sa faim, mais c’est intéressant.

        Vous écrivez : "
        A priori le sens utilisé par les médias signifie quasi-exclusivement « Courant politique qui se proclame le défenseur du peuple contre ceux qui symbolisent la puissance mal acquise et tentatives d’instaurer un pouvoir ‘totalitaire ‘ » Pourtant, les journaux parlent du mot populisme dans un sens exclusivement péjoratif.
        J’ajouterais : par opposition à oligarchie qui instaure de fait, un pouvoir totalitaire contre ceux qui ne s’expriment pas !

        Quant à la phrase de Locke, je ne l’aurais pas dit comme ça mais :
        aucun gouvernement ne peut se prévalor d’un mandat populaire pour commettre des actes illégaux.

        A ce sujet laissez moi citer George Bernard Shaw : « Quand un imbécile fait une action dont il a honte, il prétend toujours que c’est par devoir. » 



        Populiste est l’invective que l’oligarchie emploie pour décrédibiliser tous ceux qui remettent en cause ses privilèges, y compris les humanistes.

        Le populiste de droite utilise le discours de l’humaniste mais au contraire du second qui est sincère, le populiste ne l’est pas et sait très bien que lui-même ne fera pas ce qu’il promet. Le populisme politique n’est pas le populisme littéraire, pas plus que le libéralisme économique n’est le libéralisme politique.


         


        • Lorelei Lorelei 27 avril 2011 18:46

          bjr JL,

          Vous avez absolument de faire la correction en question, ma traduction est trop littérale, et pour ma part, je suis d’accord avec l’ajout «  par opposition à oligarchie qui instaure de fait, un pouvoir totalitaire contre ceux qui ne s’expriment pas »

          J’ajouterai aussi le jours où on décidera de mettre des leaders et des managers capable de prendre des décisions selon cet état d’esprit le monde sera civilisé..

          « Il y a mille ans ou plus, « le Grand Peace Maker (des Iroquois) » est venu parmi notre peuple.. Il nous a dit, « Quand vous vous asseyez en conseil pour le bien-être du peuple, ne pensez pas à vous-même, ni à votre famille, où même votre génération. Prenez vos décisions pour la septième génération à venir afin qu’ils puissent profiter de ce que vous avez ici aujourd’hui.

          Si vous faites cela, il y aura la paix.  » C’est une instruction profonde sur la responsabilité qui devrait être la base pour les décideurs du monde d’aujourd’hui.

          http://www.lepost.fr/article/2011/04/26/2477711_dignite-pour-la-7eme-generation-a-venir-art-beast_1_0_1.html


        • Francis, agnotologue JL 28 avril 2011 08:07

          Bjr Lorelei,

          c’est peut-être le sens que Locke donnait à sa phrase, mais il n’est pas interdit d’améliorer.  smiley

          Si je cite Shaw, c’est parce que je n’ai aucun respect pour « ceux qui nous gouvernent », et pour une bonne raison : on ne saurait « gouverner les gens » et dire que ce qu’on fait c’est pour eux ou par eux ! Le « nous » est en trop, évidemment. Il dénote un manque évident de maturité, aussi bien de la part des gouvernants que de la part des « gouvernés » qui l’acceptent et l’emploient dans cette phrase, et jouent ainsi entre eux à « parent enfants ».

          Je trouve cela insupportable, et si je vote encore, c’est parce que j’ai l’impression de pouvoir dire quel est selon moi, le moindre mal dans le choix malheureux qui nous est généralement imposé.

          J’attends d’un candidat qu’il se hausse au dessus de la masse, mais hélas, c’est de pire en pire.


        • DG. DG. 27 avril 2011 14:07

          salut,

          permettez moi de définir « l’élite » : par élite, on peut qualifier les personnes qui connaissent et usent à leur profit du système politique, juridique et économique, qu’ils on eux même fabriqué et conceptualisé, à l’exclusion de tout autre (système). Autrement dit, l’élite est auto-créatrice de sa propre condition. et sa conservation/renforcement en tant qu’élite, se traduit par la technocratie ; soit la justification de sa position par la complexité du système qu’il a élaboré au préalable ; ainsi la justification est faite par le constat du système présent ; CQFD.
          ce qui amène : la pensé unique, les arguments a 2 sous (il faut plus d’europe, l’euro c’est géniale, il faut plus de règlementation...), l’inflation législative.....

          Dans ces conditions, le populiste est celui qui conteste le système comme étant l’unique mode d’organisation social (politique, juridique et économique) possible. Et partant, conteste et démasque les élites comme étant de fausse élites, puisque que leur condition repose sur une abstraction auto-créatrice et réflective ; c’est à dire qu’elle dure autant qu’il y a confiance dans cette illusion.
          Car le populiste se propose d’établir de nouvelle base de société, qui remet directement en cause l’utilité des élites, puisque remplaçant leur base de compétence ou idéologique.


          • Leo Le Sage 27 avril 2011 21:07

            @Par DG. (xxx.xxx.xxx.127) 27 avril 14:07
            « permettez moi de définir »l’élite«  »

            Il y a d’autres acceptions de ce mot.
            Dans l’esprit de monsieur tout le monde, c’est d’abord celui qui sait et pas autre chose.
            Même le mot populiste pour monsieur tout le monde ne signifie pas celui qui lutte contre l’élite.

            Notez qu’on met des mots différents pour une même idée, avec quelques nuances pour mieux tromper ensuite : « tu n’as pas compris, je voulait dire que... »

            Voilà pourquoi je me refus à commenter en utilisant des mots savant car cela sera toujours mal interprété.
            Même avec des mots simples certains osent dire que vous avez dit son contraire...

            Alors...


          • Rétif 27 avril 2011 16:51

            A l’auteur
            Peut-on corriger ainsi : D’ailleurs le jour où le peuple aura son mot à dire les « élites » auront de grandes CHANCES d’entendre « dégage » ?

            Pour le mot « élite »,il est un peu mis à toutes les sauces.On en a fait un substantif d’ordre général,alors qu’à l’origine du mot,il me semble qu’il n’y a que des élites selon les spécialités.
            (L’élite du sport,l’élite littéraire,l’élite des joueurs de pétanque, des echecs,de la scène etc..)
            Une élite, en soi,ça n’a pas de sens.
            Mais puisque cela un rapport avec élection,donc, au sens banalement démocratique,l’élite va devenir l’ensemble des députés qui nous gouvernent,en y rajoutant les personnalités médiatiquement influentes.
            Là,comme vous sans doute,j’en ai un gros..de doute !

            D’ailleurs,il y a deux sortes de points de vue politiques : il y a celui de ceux qui voudraient ou prétendent vouloir gouverner selon les souhaits du peuple et qui se disent ou s’avouent populistes. Et puis,il y a ceux qui, désirant le bien du peuple mais non selon ses voeux,selon les leurs,et qui,pour cela s’appuient sur la notion d’ Etat et de loi votée par eux.

            Le mot d’ordre chez ceux-là, ou leur devise,ou leur ouverture de parapluie consiste à prévenir :« Mais ; attention ! Je suis social,mais je ne suis pas populiste ! » Ceci,de droite à gauche !

            Cela donne,par exemple,d’un côté,les partisans du réferendum,de l’autre, la théorie du mandat non-impératif !
            Il est vrai que le peuple n’est pas toujours absolument clairvoyant,et que les populistes pas toujours sincères. De l’autre côté,là, c’est clair : rien à attendre ! (entre les dates des élections,bien sûr !)


            • Lorelei Lorelei 27 avril 2011 18:43

              Vous avez raison pour la correction hélas je ne puis corriger le billet, ce serait une bonne idée que l’on puisse modifier le billet en ayant un bouton pour ça...à proposer en effet


            • Guy Liguili Guy Liguili 27 avril 2011 19:01

              Le populisme est le Point Godwin de l’oligarchie !


              • Martin sur AgoraVox Martin sur AgoraVox 27 avril 2011 19:15

                Effectivement, dans la plupart des pays le mot « démocratie » a été détourné de son sens véritable par ceux qui depuis des décennies y alternent au pouvoir : c’est aussi le cas en France. Et ceux qui proposent de suivre la voie de la démocratie véritable sont péjorativement appelés « populistes ».

                On peut être pour ou contre la démocratie véritable. Le mot « démocratie » définit l’organisation sociale dans laquelle chaque décision reflète la volonté de la majorité des citoyens qui se sentent concernés par cette décision. Le mot qui définit l’organisation sociale dans laquelle les décisions sont prises selon la volonté d’une minorité des citoyens est le mot « dictature ». Tout ce qui n’est pas démocratie est une forme de dictature. On peut certes argumenter en affirmant que la démocratie est un mauvais système politique, par exemple on peut être favorable à la dictature « éclairée » des élites, des lobbies divers, des loges, « des cercles de réflexion » etc.

                Mais lorsque l’on est favorable à un système politique où les décisions sont réservées à une certaine « élite », alors il faut dire clairement que l’on est en faveur d’un système politique qui par définition ne s’apparente pas à la démocratie, mais qui est une « dictature exercée par une certaine élite ».

                Les cercles au pouvoir ont depuis longtemps dénaturé, dévié, dégradé, falsifié la notion de « démocratie ». En vérité il n’y a aucune ambigüité sur ce que signifie « démocratie ». Car la démocratie a une définition historique, très ancienne.

                Ceux qui veulent en savoir plus peuvent lire l’article « Où est la démocratie ».


                • Dominique TONIN Dominique TONIN alias Dumè 27 avril 2011 19:33

                  LORELEI,
                  Vous avez compris une partie des problèmes qui assaillent la plèbe, le peuple, et dont il faut se défaire absolument !
                  Connaissez-vs ce mouvement populiste : www.lepf.fr
                  Accessoirement dites-moi ce que vs en pensez.


                  • Lorelei Lorelei 27 avril 2011 19:53

                    bjr dominique tonin alias dumè


                    l’idée est bonne je pense que c’est pas mal de pouvoir communiquer des alternatives...

                    • Leo Le Sage 27 avril 2011 20:36

                      @auteur
                      Le populisme est plus dans le comportement.
                      La volonté souvent d’un groupe de s’attirer les faveurs, les encouragements ou l’assentiment d’un autre groupe, sachant qu’il faut changer les propos plus au gré du baromètre du groupe cible que du bien commun.

                      Ainsi la question ne se pose pas en terme élitiste mais en terme commun :
                      Le populisme tel que compris par la majorité et non par une toute petite minorité qui, de toutes les façons, sera toujours décriée quoiqu’elle fasse.

                      Marine le pen parlait de stopper l’immigration, ce qui est techniquement possible, puis ne parle plus que de lutte contre l’immigration.
                      Or, elle sait que l’immigration peut être stoppée légalement, mais devant la réalité économique elle n’ose pas dire qu’arrêter net cet immigration n’est pas possible.
                      Là elle fait dans le populisme.
                      Personnellement je lui aurais conseillé : « surtout ne jamais dire : il faut stopper ! Toujours dire : nous lutterons dans la mesure de nos moyens »
                      imaginez qu’elle ose dire : « on peut stopper mais il ne faut pas »
                      Vous voterez pour elle si vous êtiez un sympathisant du FN ?

                      NB : elle est avocate et a défendu des sans papiers !


                      • Lorelei Lorelei 27 avril 2011 20:42

                        Bjr léo le sage


                        justement le mot ne veut pas dire ça....relisez l’article...



                      • Leo Le Sage 27 avril 2011 20:57

                        @auteur
                        Bien sûr que le mot ne veut pas dire çà...
                        Mais dans la tête de tout le monde, populisme = suivre bêtement le courant juste pour une collecte de voix...

                        "Annie Collovald[4] a fait remarquer que le mot populisme connaît un nouveau succès depuis les années 1980, comme synonyme de démagogie ou d’opportunisme politique, surtout lorsqu’il s’agit de mouvements d’opposition. Selon cette universitaire en sciences politiques, la catégorie renseignerait moins sur ceux qu’elle désigne que sur ceux qui l’emploient. Annie Collovald met en parallèle le succès du vocable avec la disparition progressive des classes populaires dans les appareils et dans les discours des partis politiques et interprète l’usage croissant du mot populisme ou populiste comme l’expression d’une méfiance grandissante à l’égard des classes populaires et d’un penchant nouveau pour la démocratie capacitaire voire censitaire. En effet, le populisme a depuis cette époque souvent été identifié à l’extrême-droite. Pourtant, comme le souligne l’historien Michel Winock, « le populisme n’est pas spécifiquement d’extrême droite. Le mot désigne une confiance dans le peuple que l’on rencontre dans les discours de Robespierre ou les écrits de Michelet »[5]."
                        source wikipedia

                        comme tu peux le remarquer, il n’est pas nécessaire de chercher très loin...

                        Ici, c’est encore mieux détaillé :
                        http://en.wikipedia.org/wiki/Populism


                      • Lorelei Lorelei 27 avril 2011 21:05

                        J’ai fais un historique du mot et comme je n’aime pas la manipulation ni les anathemes, ni la diabolisation, d’ailleurs à chaque fois qu’un groupe subit l’herisie j’aime justement savoir, ce qu’il en est....


                        Le fait que marine le pen serve d’epouvatail à nos politiques droites et gauches marche avec les gogos, et les gens soumis à la propagande umps...vous avez lu mon article sur la doctrine rivkin, donc quand on sait que les médias et les partis politiques ont vendu un pays à ça... !!!

                        Et désolé le mot populisme a une histoire et cette derniere compte le déni où la negation de l’histoire est une chose symptomatique de cette chasse aux sorcieres lancées par les adhérants du mondialisme sans âme sans identitée

                      • Laratapinhata 30 avril 2011 19:19

                        Parce que Hollande, quand il promet 300 000 emplois aidés, s’il est élu, il ne fait pas du populisme ?

                        En France on est populiste quand on parle de résoudre les problèmes du monde réel au lieu de travailler à la grandeur de la France...

                        En Allemagne, à chaque crise, on s’adapte pragmatiquement et la société évolue... et on s’en sort avec deux ou trois longueur d’avance sur les pays voisins et économiquement concurrents.

                        Comment en finir avec le populisme, les promesses électoralistes ? concrètement c’est impossible avec les institutions françaises actuelles. Peut-être en remplaçant la démocratie représentative par la clérocratie ?


                        • le journal de personne le journal de personne 5 mai 2011 04:24

                          Coca in

                          Tout le monde est BEAU si on lui donne les moyens de briser son miroir…
                          c’est ce qu’on appelle le populisme messieurs dames ! à poil mais dans le sens du poil.
                          Buvons au lieu de passer notre temps à baver sur nous-mêmes, sur ces emballages qui contiennent du bisphénol A !
                          Mais ne le répétez surtout pas…
                           
                          http://www.lejournaldepersonne.com/2011/05/coca-in/

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