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Les commentaires de Jean-Paul Foscarvel



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 28 avril 14:54

    @Brutus

    Une raison supplémentaire, mais fondamentale, est que l’approbation se fait à la majorité simple et le rejet à la majorité des inscrits. C’est une chambre d’enregistrement.

    Il est quasiment impossible que le parlement rejette une proposition de la Commission. Il n’y a aucun caractère démocratique dans la procédure d’adoption du Parlement qui est un vrai labyrinthe.

    Voici la procédure (traité sur le fonctionnement de l’UE) :

    "Article 294

    (ex-article 251 TCE)

    1. Lorsque, dans les traités, il est fait référence à la procédure législative ordinaire pour l’adoption d’un acte, la procédure suivante est applicable.

    2. La Commission présente une proposition au Parlement européen et au Conseil.

    Première lecture

    3. Le Parlement européen arrête sa position en première lecture et la transmet au Conseil.

    4. Si le Conseil approuve la position du Parlement européen, l’acte concerné est adopté dans la formulation qui correspond à la position du Parlement européen.

    5. Si le Conseil n’approuve pas la position du Parlement européen, il adopte sa position en première lecture et la transmet au Parlement européen.

    6. Le Conseil informe pleinement le Parlement européen des raisons qui l’ont conduit à adopter sa position en première lecture. La Commission informe pleinement le Parlement européen de sa position.

    Deuxième lecture

    7. Si, dans un délai de trois mois après cette transmission, le Parlement européen :

    a) approuve la position du Conseil en première lecture ou ne s’est pas prononcé, l’acte concerné est réputé adopté dans la formulation qui correspond à la position du Conseil ;

    b) rejette, à la majorité des membres qui le composent, la position du Conseil en première lecture, l’acte proposé est réputé non adopté ;

    c) propose, à la majorité des membres qui le composent, des amendements à la position du Conseil en première lecture, le texte ainsi amendé est transmis au Conseil et à la Commission, qui émet un avis sur ces amendements.

    8. Si, dans un délai de trois mois après réception des amendements du Parlement européen, le Conseil, statuant à la majorité qualifiée :

    a) approuve tous ces amendements, l’acte concerné est réputé adopté ;

    b) n’approuve pas tous les amendements, le président du Conseil, en accord avec le président du Parlement européen, convoque le comité de conciliation dans un délai de six semaines.

    9. Le Conseil statue à l’unanimité sur les amendements ayant fait l’objet d’un avis négatif de la Commission.

    Conciliation

    10. Le comité de conciliation, qui réunit les membres du Conseil ou leurs représentants et autant de membres représentant le Parlement européen, a pour mission d’aboutir à un accord sur un projet commun à la majorité qualifiée des membres du Conseil ou de leurs représentants et à la majorité des membres représentant le Parlement européen dans un délai de six semaines à partir de sa convocation, sur la base des positions du Parlement européen et du Conseil en deuxième lecture.

    11. La Commission participe aux travaux du comité de conciliation et prend toute initiative nécessaire en vue de promouvoir un rapprochement des positions du Parlement européen et du Conseil.

    12. Si, dans un délai de six semaines après sa convocation, le comité de conciliation n’approuve pas de projet commun, l’acte proposé est réputé non adopté.

    Troisième lecture

    13. Si, dans ce délai, le comité de conciliation approuve un projet commun, le Parlement européen et le Conseil disposent chacun d’un délai de six semaines à compter de cette approbation pour adopter l’acte concerné conformément à ce projet, le Parlement européen statuant à la majorité des suffrages exprimés et le Conseil à la majorité qualifiée. À défaut, l’acte proposé est réputé non adopté.

    14. Les délais de trois mois et de six semaines visés au présent article sont prolongés respectivement d’un mois et de deux semaines au maximum à l’initiative du Parlement européen ou du Conseil.

    Dispositions particulières

    15. Lorsque, dans les cas prévus par les traités, un acte législatif est soumis à la procédure législative ordinaire sur initiative d’un groupe d’États membres, sur recommandation de la Banque centrale européenne ou sur demande de la Cour de justice, le paragraphe 2, le paragraphe 6, deuxième phrase, et le paragraphe 9 ne sont pas applicables.

    Dans ces cas, le Parlement européen et le Conseil transmettent à la Commission le projet d’acte ainsi que leurs positions en première et deuxième lectures. Le Parlement européen ou le Conseil peut demander l’avis de la Commission tout au long de la procédure, avis que la Commission peut également émettre de sa propre initiative. Elle peut également, si elle l’estime nécessaire, participer au comité de conciliation conformément au paragraphe 11."



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 27 avril 19:59

    Très bon article, qui va déclencher l’ire des ultra-machistes.

    Nous sommes en pleine période de régression. Les jeunes paraissent de plus en plus machistes, et les vieux le sont restés.
    Le partage, l’attention à l’autre, la compréhension semblent s’éclipser devant la performance, le narcissisme, la lutte.
    Dans la vie quotidienne, grâce aux écolos, entre autre, tout semble se resserrer. Quant à l’éducation, la nationale ne fait plus son travail et les familles sont soumises à l’idéologie positive, qui refuse toute limite au pouvoir de l’enfant-roi qui devient un monstre.
    Faire moins d’enfants, devant le fiasco de la néo-société, reste la seule solution. Cela va dans le bon sens car l’emprise démographique de l’humanité est trop importante.
    Et puis à quoi bon pour les voir détruits par des guerres idiotes où l’humanité joue sa survie pour combler les ego de dirigeants devenus fou ?
    Peut-être les femmes devraient-elles faire comme dans le pièce d’Aristophane Lysistrata, où les femmes de Sparte et Athènes font la grève du sexe pour réclamer la paix.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 13 avril 12:17

    L’Occident est dans une contradiction fondamentale dans la mesure où le système capitaliste immatériel exige de lui une désindutrialisation massive afin de garantir que les profits tirés de l’immatériel (GAFAS + pharma+finance) ne soient pas tirés vers le bas par ceux issus des productions matérielles (automobile, produits agricoles, par exemple).

    Du coup sa base industrielle détruite ne peut pas produire les équipements nécessaires à une guerre matérielle, sauf à des coûts très élevés pour maintenir les taux de profit, ce qui ruine les Etats, et du coup les citoyens de Etats.

    D’où l’idée en France de créer un état de guerre afin de pouvoir réquisitionner les économies des Français. Mais après les JO.

    Mais à la vitesse où vont les choses, leurs plans macchiaveliques pour nous détruire risquent fort bien de s’écrouler d’eux-mêmes.

    J’avais écrit un article sur ces contradictions ici



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 26 mars 16:44

    Bien vu.

    J’habite dans une ville devenue écocloco, euh écolo.

    Ils ont remplacé les couloirs de bus par des pistes cyclables, mais les trotinettes continuent de passer sur les trottoirs, de bousculer les piétons, et les transports en commun bloquent ou sont bloqués par la circulation. J’appelle cela le « vélocipédisme » contre la flânerie du piéton et le déplacement du travailleur.

    Comme ils sont écolos, ils sont pour les écoquartier. Ils démolissent tous les petits pavillons, avec leurs jardins, leur faune, leur flore, pour les remplacer par des immeubles en béton (éco-béton garanti). Le comble, se sont les pancartes où ils prétendent « renaturer la ville » avec des images d’arbustes qui n’existent pas.

    Et bien sûr, ils sont fiers des JO, qui les aident à détruire le patrimoine des classes moyennes, la ville avec ses espaces bucoliques, pour les remplacer par des espaces verts au cordeau entre piste cyclable et trottoirs rapeticé.

    J’en ai déduit que les écolos, non seulement n’aiment pas les pauvres, les classes moyennes, mais aussi la nature qui les dérange. Aux espaces naturels, ils préfèrent des « espaces verts » où ils peuvent tout contrôler. Il ne faut pas confondre écologisme et écologie, la vraie, qui respecte la nature. De fait, ils sont au service du système financier qui veut détruire les classes moyennes et pauvres sous prétexte de sauver la planète. Ce qu’ils sauvent, ce sont les bénéfices de BlackRock.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 13 mars 10:51

    L’obscurité des temps actuels provent notamment de la propension à l’agressivité, l’absence d’écoute de l’autre, le repli sur l’identité vue comme un atout dans une lutte sans fin des uns contre les autres.

    Ce que j’appelle « turbo-capitalisme » a engendré un monstre socio-sociétal où chacun se croit en consurrence exacerbée avec l’autre et veut à tout prix l’emporter sur le marché de l’être.

    Mais être, justement, ne peut se référer à un marché, mais à un échange, une écoute, un sentiment, vis-à-vis de l’autre.

    Non plus être pour soi, mais être avec l’autre, en compréhension réciproque.

    Quant aux idées, on n’échange plus, on invective. Dans ce cas, inutile d’essayer de progresser.

    Voilà où on en est et on obtient un président qui pour faire oublier un désastre personnel fuit par le désastre global et prône la fin de l’humanité pour éviter sa propre fin.

    C’est à la fois tragique et comique.

    La fin de l’humanité sera-t-elle due à un geste stupide de dirigeants stupides ?



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 12 mars 22:11

    @Octave Lebel
    Merci pour le lien.
    Je suis d’accord avec la réponse sociale et économique pour les classes populaires rurales (mais aussi urbaines d’ailleurs), mais les forces auxquelles s’opposer sont désormais considérables, puissantes et manipulatrices.
    Le complexe Gafas-Pharma-finance, désormais appuyé par le CMI, utilise tous les leviers pour diviser, séduire, manipuler, censurer, éliminer.
    Ce complexe se sert de la modernité et de l’environnement afin de détruire les bases sociales et économiques des Etats, allant jusqu’à les privatiser comme Milei en Argentine (sauf que Milei n’est probablement pas à mettre du côté moderniste).
    On a donc deux forces principales, celle du système, capitalisme dont les profits sont issus de l’immatériel et de la finance, et celle du traditionalisme, qui reproche au premier non pas tant le côté anti-social, mais le côté sociétal, et est plutôt pour un capitalisme traditionnel, matériel, industriel.
    La Nupes est alors formée d’un côté par les socialistes et écologistes, pro-système, libéraux et anti-sociaux (surtout les écologistes avec les mesures d’exclusion des logements et automobiles), et LFI, plus pro-social.
    En passant de la ligne droite simple à ces trois axes, cela permet de comprendre des éléments a priori bizarres. Mais je ne prétends pas tout expliquer, notamment quant aux positionnements réels qui sont plus complexes et surtout variables dans le temps.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 27 février 10:38

    @Ouam (Paria statutaire non vacciné)
    Biden ne suffira pas.
    Il y a derrière lui la haute finance, les GAFAS, le big pharma, de sinistres institutions et de sinitres individus comme Soros, Schwab, Bill Gates, Ils sont près à détruire une bonne partie de l’humanité, à privatiser les Etats, à confisquer les biens de la population, pour étayer leur pouvoir et surtout optimiser leurs profits. Ils n’ont aucune limite et préfèront détruire la planète entière y compris avec la mort atomique plutôt que de perdre.
    Ils sont le mal.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 12 février 20:39

    Il semblerait que Biden a également eu récemment, euh, une interview, avec quelqu’on, on se pas trop qui, sur un sujet, mais il a oublié. Ah oui, un procès, avec son fils, lequel, il ne sait plus vraiment. Bon, mais à part ça, il n’est en guerre contre personne, même s’il a dû bombarder par ci par là, où déjà ? En Orient, mais c’est si loin. De plus, ce sont de gentilles petites attaques contre des méchants aux dents longues.

    Grâce à cela, il a pu démontrer qu’il tenait la barre du destin du monde avec fermeté et courage.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 12 février 20:31

    @sylvain
    C’est vrai. C’est exactement ce que fait l’occident.
    C’est Thatcher, amie de Pinochet, qui disait « TINA », there is not alternative.
    C’est-à-dire qu’il n’y a qu’une seule façon de penser, celle des USA-UE qui veulent imposer un monde régit selon leurs règles, en dénégation de toute alternative possible.
    Et leurs règles passent par la destruction systématique des populations du monde, y compris celles de l’UE elle-même (on le voit avec les paysans).
    L’élite financière internationale veut optimiser à fond ses profits, et pour elle a besoin de ces destructions, car le monde matériel, et sa population, lui coûte, tout simplement.
    Ils veulent détruire la Russie pour s’arroger les fruits de son sol, comme ils l’ont fait dans d’autres pays, et comme ils veulent le faire à Gaza.
    Ils décrètent qui a de la valeur et qui n’en n’a pas, qui doit être sauvé et qui doit être exterminé. Ils n’ont aucune limite, aucun sentiment, aucune humanité.
    Le capitalisme immatériel et financier est le vrai danger pour l’humanité et commence à montrer son vrai visage et celui-ci est terrifiant.
    Si l’histoire a condamné le national-socialisme, ou la création d’un monde réservé à une ethnie qui voue le reste à la destruction, elle condamnera aussi l’oligo-capitalisme, qui réserve les fruits du capitalisme à l’oligarchie, le reste étant voué à la destruction.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 31 janvier 21:11

    @Lynwec
    Le R est mal vu en ce moment.
    On peut dire « l’UESS »
    Avec la Hyène à sa tête, ça lui va bien.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 31 janvier 21:08

    Une autre raison.

    Imaginons qu’un parti réellement anti-européen se présente, et qu’il ait du succès. Quoiqu’il arrive, il ne sera pas majoritaire. Par contre, il aura des eurodéputés, payés par l’UE, siégeant au Parlement, discutant avec d’autres députés moins anti, partageant avec eux des coupes de champagne, des petits fours, etc.

    Entre le financement par l’UE et les accointances, va-t-il longtemps tenir un discours franchement anti ?

    N’est-ce pas au contraire la meilleure façon de le neutraliser ?

    Le mieux est alors de ne pas voter pour lui à ces élections-là.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 31 janvier 20:56

    Une raison supplémentaire, mais fondametale, est que l’approbation se fait à la majorité simple et le rejet à la majorité des inscrits. C’est une chambre d’enregistrement.

    Il est quasiment impossible que le parlement rejette une proposition de la Commission. Il n’y a aucun caractère démocratique dans la procédure d’adoption du Parlement qui est un vrai labyrinthe.

    Voici la procédure (traité sur le fonctionnement de l’UE) :

    "Article 294

    (ex-article 251 TCE)

    1. Lorsque, dans les traités, il est fait référence à la procédure législative ordinaire pour l’adoption d’un acte, la procédure suivante est applicable.

    2. La Commission présente une proposition au Parlement européen et au Conseil.

    Première lecture

    3. Le Parlement européen arrête sa position en première lecture et la transmet au Conseil.

    4. Si le Conseil approuve la position du Parlement européen, l’acte concerné est adopté dans la formulation qui correspond à la position du Parlement européen.

    5. Si le Conseil n’approuve pas la position du Parlement européen, il adopte sa position en première lecture et la transmet au Parlement européen.

    6. Le Conseil informe pleinement le Parlement européen des raisons qui l’ont conduit à adopter sa position en première lecture. La Commission informe pleinement le Parlement européen de sa position.

    Deuxième lecture

    7. Si, dans un délai de trois mois après cette transmission, le Parlement européen :

    a) approuve la position du Conseil en première lecture ou ne s’est pas prononcé, l’acte concerné est réputé adopté dans la formulation qui correspond à la position du Conseil ;

    b) rejette, à la majorité des membres qui le composent, la position du Conseil en première lecture, l’acte proposé est réputé non adopté ;

    c) propose, à la majorité des membres qui le composent, des amendements à la position du Conseil en première lecture, le texte ainsi amendé est transmis au Conseil et à la Commission, qui émet un avis sur ces amendements.

    8. Si, dans un délai de trois mois après réception des amendements du Parlement européen, le Conseil, statuant à la majorité qualifiée :

    a) approuve tous ces amendements, l’acte concerné est réputé adopté ;

    b) n’approuve pas tous les amendements, le président du Conseil, en accord avec le président du Parlement européen, convoque le comité de conciliation dans un délai de six semaines.

    9. Le Conseil statue à l’unanimité sur les amendements ayant fait l’objet d’un avis négatif de la Commission.

    Conciliation

    10. Le comité de conciliation, qui réunit les membres du Conseil ou leurs représentants et autant de membres représentant le Parlement européen, a pour mission d’aboutir à un accord sur un projet commun à la majorité qualifiée des membres du Conseil ou de leurs représentants et à la majorité des membres représentant le Parlement européen dans un délai de six semaines à partir de sa convocation, sur la base des positions du Parlement européen et du Conseil en deuxième lecture.

    11. La Commission participe aux travaux du comité de conciliation et prend toute initiative nécessaire en vue de promouvoir un rapprochement des positions du Parlement européen et du Conseil.

    12. Si, dans un délai de six semaines après sa convocation, le comité de conciliation n’approuve pas de projet commun, l’acte proposé est réputé non adopté.

    Troisième lecture

    13. Si, dans ce délai, le comité de conciliation approuve un projet commun, le Parlement européen et le Conseil disposent chacun d’un délai de six semaines à compter de cette approbation pour adopter l’acte concerné conformément à ce projet, le Parlement européen statuant à la majorité des suffrages exprimés et le Conseil à la majorité qualifiée. À défaut, l’acte proposé est réputé non adopté.

    14. Les délais de trois mois et de six semaines visés au présent article sont prolongés respectivement d’un mois et de deux semaines au maximum à l’initiative du Parlement européen ou du Conseil.

    Dispositions particulières

    15. Lorsque, dans les cas prévus par les traités, un acte législatif est soumis à la procédure législative ordinaire sur initiative d’un groupe d’États membres, sur recommandation de la Banque centrale européenne ou sur demande de la Cour de justice, le paragraphe 2, le paragraphe 6, deuxième phrase, et le paragraphe 9 ne sont pas applicables.

    Dans ces cas, le Parlement européen et le Conseil transmettent à la Commission le projet d’acte ainsi que leurs positions en première et deuxième lectures. Le Parlement européen ou le Conseil peut demander l’avis de la Commission tout au long de la procédure, avis que la Commission peut également émettre de sa propre initiative. Elle peut également, si elle l’estime nécessaire, participer au comité de conciliation conformément au paragraphe 11."



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 31 janvier 20:24

    Ils considérent que la planète leur appartient de droit, comme le sol appartenait de droit aux colons européens lorsqu’ils ont conquis l’Amérique (du Nord et du Sud, mais au Nord, c’étaient des anglosaxons suprématistes)

    Ils défendent leur droit à gérer eux seuls et pour eux la planète, mais les difficultés s’accroissent

    L’oligarchie sent que quelque chose arrive de pas bon pour elle, mais qu’il lui reste une fenêtre d’opportunité qu’elle doit emprunter maintenant.

    Le système mis en place dans les années quatre-vingt, le capitalisme hyperfinancier basé sur l’immatériel, vacille. Le covid a été finalement un échec, trop peu de dégats dans l’industrie (destruction insuffisante de l’industrie matérielle) et une faible mortalité globale (destruction insuffisante de a population humaine), même s’il a permis de remplir les poches de Pfizer.

    Il leur faut donc, pour détruire la partie matérielle du capitalisme, accélérer le processus. Interdire l’agriculture afin d’affamer les populations, répandre de nouveaux virus, éliminer les oppositions internationales, et rendre acceptable des exterminations de masse.

    L’Ukraine était censée enfoncer la Russie et les opposants à ce scénario. Cela n’a pas vraiment fonctionné. La destruction de la Chine reste un gros morceau, pas gagné d’avance. L’un des points faibles des opposants internationaux reste le moyen orient, et c’est là que le chaos peut fructifier. Il y a donc deux objectifs :

    • rendre les exterminations massives supportables par l’opinion publique, jusqu’au jour où c’est la propre population occidentale qui sera visée, mais personne pour la défendre. Gaza est un laboratoire
    • attiser la conflictualité au moyen orient où les régimes sont supposés fragiles afin d’entamer la constitution des Brics

    Le verdict du CIJ est un échec du premier objectif car il constitue une résistance internationale de haut niveau à l’acceptation par l’opinion publique de tout génocide, y compris justifié par des termes comme « animaux humains ». Chaque être humian a le droit au respect, et s’il est coupable d’un crime, il doit être jugé, sans que l’ensemble du peuple dont il est l’origine ne soit également détruit.C’est la raison pour laquelle le verdict est minoré par nos médias aux ordres. Mais là aussi, leur propagande frise la décridibilisation auprès d’un public de plus en plus éclairé par d’autres sources.

    L’Afrique du Sud a eu un grand courage pour s’opposer à ce que la communauté occidentale s’apprêtait lâchement à accepter, afin de pouvoir par la suite le reproduire, peut-être même sur sa propre population.

    Le second objectif reste en cours, mais les moyens occidentaux, éparpillés dans tout un tas de guerres à la fois, risquent de ne pas être tant que cela à la hauteur. Ils se croyaient invincibles et sont désormais pris pour cible. Ils ont au bord de la panique, qui est en général, mauvaise conseillère.

    Il ne restera à l’occident convulsif soit une extermination nucléaire, soit la création d’un méga virus hyper destructueur, soit les deux, soit son épuisement mental, moral, intellectuel, industriel et à la fin (le pire de tout pour eux) financier.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 30 janvier 19:18

    Quand on voir l’état du monde, la folie occidentale, autour d’un Biden idéalement sénile, et surtout la modification de l’écomonie vers l’immatériel, avec un forum de Davos de plus en plus hors sol, il n’est pas possible de ne pas faire de liens.

    L’oligarchie sent que quelque chose arrive de pas bon pour elle, mais qu’il lui reste une fenêtre d’opportunité qu’elle doit emprunter maintenant.

    Le système mis en place dans les années quatre-vingt, le capitalisme hyperfinancier basé sur l’immatériel, vacille. Le covid a été finalement un échec, trop peu de dégats dans l’industrie (destruction insuffisante de l’industrie matérielle) et une faible mortalité globale (destruction insuffisante de a population humaine), même s’il a permis de remplir les poches de Pfizer.

    Il leur faut donc, pour détruire la partie matérielle du capitalisme, accélérer le processus. Interdire l’agriculture afin d’affamer les populations, répandre de nouveaux virus, éliminer les oppositions internationales, et rendre acceptable des exterminations de masse.

    L’Ukraine était censée enfoncer la Russie et les opposants à ce scénario. Cela n’a pas vraiment fonctionné. La destruction de la Chine reste un gros morceau, pas gagné d’avance. L’un des points faibles des opposants internationaux reste le moyen orient, et c’est là que le chaos peut fructifier. Il y a donc deux objectifs :

    • rendre les exterminations massives supportables par l’opinion publique, jusqu’au jour où c’est la propre population occidentale qui sera visée, mais personne pour la défendre. Gaza est un laboratoire
    • attiser la conflictualité au moyen orient où les régimes sont supposés fragiles afin d’entamer la constitution des Brics

    Le verdict du CIJ est un échec du premier objectif car il constitue une résistance internationale de haut niveau à l’acceptation par l’opinion publique de tout génocide, y compris justifié par des termes comme « animaux humains ». Chaque être humian a le droit au respect, et s’il est coupable d’un crime, il doit être jugé, sans que l’ensemble du peuple dont il est l’origine ne soit également détruit.C’est la raison pour laquelle le verdict est minoré par nos médias aux ordres. Mais là aussi, leur propagande frise la décridibilisation auprès d’un public de plus en plus éclairé par d’autres sources.

    L’Afrique du Sud a eu un grand courage pour s’opposer à ce que la communauté occidentale s’apprêtait lâchement à accepter, afin de pouvoir par la suite le reproduire, peut-être même sur sa propre population.

    Le second objectif reste en cours, mais les moyens occidentaux, éparpillés dans tout un tas de guerres à la fois, risquent de ne pas être tant que cela à la hauteur.

    Il ne restera à l’occident convulsif soit une extermination nucléaire, soit la création d’un méga virus hyper destructueur, soit les deux, soit son épuisement mental, moral, intellectuel, industriel et à la fin (le pire de tout pour eux) financier.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 22 janvier 23:12

    Pas de panique.

    Ce ne sont que des mots de communication afin de se rallier les traditionalistes.

    Il n’y a rien d’autre derrière.

    Pour le bilan carbone, il dit exactement l’inverse, car chaque être humain consomme trop de carbone, alos il faut réduire.

    Donc, pour résumer, en même temps, il faut augmenter la natalité (coup d’oeil vers les traditionalistes) et diminuer notre empreinte carbone, donc le nombre d’habitants (coup d’oeil vers les écolos).

    La solution de ce dilemme passe par éliminer les vieux avec des campagnes d’euthanasie généralisées. La privatisation des Ehpad et le covid et son vaccin sont donc la solution pour raccourcir efficacement la vie. Mais dans le même temps, il ferme les maternités de province. Seuls les urbanisés des centre-villes auront le droit (le devoir, mon cher, le devoir) de procréer à la chaîne.

    Tout ceci est absurde.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 20 janvier 20:59

    Pas du tout.

    Les russes sont sur les dents.

    La trilatérale Macron, Attal Séjourné les fait trembler ! Serguei Lavrov ne sait plus où donner de la tête devant un tel afflux de compétence. Il doit déjà songer à présenter sa démission.

    Rien qu’en les voyant, là, les yeux droit devant, emplis de cette compétence où l’intuition et la connaissance sont liées à la profondeur de vue, on sait que le pays est en de bonnes mains. C’est lorsque la tempête gronde que le choix du capitaine pour ses seconds devient primordial.

    Avec cette fine équipe, je crois que la France va enfin entrer dans l’Histoire pour sa haute capacité à redonner un sens à l’occident convulsif. On est sauvé !



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 17 janvier 16:53

    Son titre réel est :

    Premier ministre délégué aux JO et chargé de la communication en vue des élections.

    Son rôle fondamental sera de trouver une narrative (un récit officiel) montrant que quoique les deux ont été des échecs cuisants, elles n’en sont néanmoins pas loin d’être des réussites historiques.

    Dans le genre :

    « Oui, certes, nous avons échoué, mais cet échec même montre à quel point notre pays est résilient et sait se sortir des situations les plus invraisemblables, et ça, je dois le dire, c’est une profonde réussite dont je suis fier. »



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 16 janvier 21:17

    Point de vue très intéressant.

    Il faut en effet se souvenir qu’à l’origine, il y avait un accord entre l’Allemagne et la Russie sur le gazoduc Nordsream dont les USA ne voulaient pas et qui a incité à intensifier les combats des Ukrainiens contre les russophones.

    En obligeant les Russes à riposter, ils entraînaient l’Europe dans un engranage qui leur assurait que le gaz russe devenait inaccessible.

    Ironie de l’histoire, mais peut-être pas par un hasard aléatoire, l’une des raisons du bombardement et du génocide à Gaza est également la présence de gaz.

    Pour renforcer leur offre de gaz, les USA ont-ils incité Israël de la même façon à créer du chaos à Gaza afin de pouvoir en exploiter les ressources et faire payer les européens très cher ce gaz ?

    Ils en sont parfaitement capables.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 11 janvier 21:55

    C’est en quelque sorte ce que prônait Emmanuel Kant dans la Critique de la raison pratique.


    « Agis de telle sorte que la maxime de ta volonté puisse être érigée en loi universelle. »

    Ce n’est pas par hasard s’il a écrit un traité sur la paix universelle.

    Maus aujourd’hui, comment l’accident (mon inconscient a bien retrouvé ce qu’est devenu l’occident !) peut-il admettre la destruction d’une population en continuant à se prétendre démocratique ?

    Mais regardons plus loin : ce que nous acceptons pour les autres, cela pourraît bien nous arriver nous-mêmes. Car pour les oligarchies financières planétaires, nous sommes tous des Palestiniens.

    Plus près de nous, Macron et désormais Attal voient la population française comme Nettanyaou voit les Gazaouis. Ils ne nous bombardent pas, mais ils contribuent à augmenter notre misère et sont indifférents aux conséquences de leurs actes.

    En ce sens, tous les peuples devraient être solidaires ;

    Merci pour cet article.



  • Jean-Paul Foscarvel Jean-Paul Foscarvel 11 janvier 21:13

    Depardieu peut être grand en tant qu’acteur et misérable en tant qu’être humain.

    C’est une contradiction qu’il faut admettre et qui ne date pas d’hier.

    C’était le cas de Roman Polanski, ou également Woody Allen. Mais c’était aussi celui d’écrivains célèbres, et même de philosophes.

    Nous pouvons citer Louis-Ferdiand Céline, Ernst Junger, Knut Hamsun, Martin Heidegger. Ceci en relation non avec l’antiféminisme, ou le machisme prédateur, mais de l’antisémitisme.

    Les peintres de la renaissance pouvaient aussi avoir une vie totalement dépravée et laisser des oeuvres magnifiques dans les cathédrales.

    Cela ne signifie pas que leurs oeuvres sont à rejeter, mais que leur vie, et leur oeuvre sont de nature différentes.

    La culture, même la plus haute, ne signifie pas que celui ou celle qui en est impreigné ait également dans sa vie un comportement moral et éthique du même ordre.

    Il faut alors séparer les deux, ne pas excuser des comportemnets néfastes voire criminels au nom des oeuvres accomplies, mais ne pas rejeter l’oeuvre au nom des turpitudes de leur auteur.

    Si Depardieu doit être jugé, que ce soit sur les faits accomplis, et non sur sa réputation, voire son nom (il peut dire qu’il a agi de par Dieu*)

    * Dans Hélas pour moi (de J-L Gordard) il joue Simon Donnadieu, qui est Dieu