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Les commentaires de Dwaabala



  • Dwaabala Dwaabala 31 août 2015 17:33

    @ siatom
    Bonjour.
    Au moins vous ne vous trompez pas de cible mais je n’irai pas jusqu’à :
    Tu as le cœur à rire
    Moi je l’ai à pleurer



  • Dwaabala Dwaabala 29 août 2015 11:18

    @CORH
    Pensez-vous sincèrement que c’est ce que j’ai voulu dire ?
    Alors, veuillez abandonnez ce ton et une explication sérieuse de la dialectique historique appliquée au cas de l’Europe pourra alors commencer.



  • Dwaabala Dwaabala 28 août 2015 17:56

    @lsga
    Il n’est même pas question qu’en France, pour l’heure, ses hommes de gauche parviennent aux responsabilités gouvernementales.
    Ils sont à l’abri de ce qui a pu arriver à Tsipras.
    Je les soutiens quand ils défendent les travailleurs, luttent contre le néolibéralisme incarné en ce moment par les socialistes et ses effets néfastes sur le bien public.
    Je soutiens aussi leur volonté de coordonner les luttes à l’échelle de l’Europe et si les circonstances le permettaient, de la réorganiser.



  • Dwaabala Dwaabala 28 août 2015 16:22

    @Whackangel
    Quant au Front national, il s’agit de prendre en compte ici ce qu’il dit maintenant au sujet de l’euro, les conséquences que cela a sur les votes, et non pas ce qu’il ne ferait pas demain s’il arrivait au pouvoir.



  • Dwaabala Dwaabala 28 août 2015 16:13

    @Whackangel
    C’est un peu comme si vous disiez que la lutte des travailleurs pour défendre leurs conditions d’existence sous le régime capitaliste ne pouvait se faire qu’en dehors du capitalisme.



  • Dwaabala Dwaabala 28 août 2015 16:08

    @CORH
    Il vous manque la dialectique : une chose peut-être ce qu’elle est, en même temps que son contraire.



  • Dwaabala Dwaabala 28 août 2015 15:37

    @CORH
    Merci.
    Ce n’est pas parce qu’on s’est foutu sur la tronche pendant des siècles qu’on doit nécessairement croire a une destinée unique.
    C’est la construction européenne elle-même qui conduit à cette prise de conscience. En cela et contre les classes qui en tirent actuellement profit, elle est progressiste.
    Ce qui ne veut pas dire que les intérêts des peuples convergeraient comme par miracle, mais au moment présent ils ont un intérêt commun fondamental (y compris les couches défavorisées du peuple allemand) : se rassembler dans la lutte contre le pouvoir des grands capitaux.



  • Dwaabala Dwaabala 28 août 2015 15:28

    @jaja
    .Il faudrait le dire...
    Une chose après l’autre. Quand la situation n’est pas révolutionnaire, la lutte et le rassemblement dans le cadre constitutionnel s’imposent. Et c’est toujours une crise, du type de celles que personne ne souhaite vraiment parce qu’elle toucherait gravement aux conditions d’existence, c’est toujours une crise qui crée une situation révolutionnaire. Alors, ceux qui occupaient le devant de la scène sont vite balayés.



  • Dwaabala Dwaabala 28 août 2015 12:43

    @nicolas_d
    ... sans compter que, comme je crois l’avoir dit, et montré par l’image, compte tenu du rapport des forces actuel en France le left exit voulu se transformerait vraisemblablement en un extrême right exit.



  • Dwaabala Dwaabala 28 août 2015 12:27

    @nicolas_d
    Bonjour, et merci pour les termes mesurés de cette première intervention.
    Aussi calamiteuse pour les peuples l’Europe soit-elle, elle est.
     Il n’y a pas d’autre cadre pour les luttes, à mener d’abord à l’échelle de la Nation.
    Même les tenants de la sortie sont bien obligés de se battre dans ce cadre.



  • Dwaabala Dwaabala 21 août 2015 19:38

    La gauche n’a jamais prétendu être radicale. Ce qu’elle n’est pas.C’est la droite qui la dénomme ainsi. D’ailleurs, un révolutionnaire dans l’âme ne se dit pas de gauche, mais il joue le jeu par nécessité de la démocratie bourgeoise à laquelle la désignation gauche droite est attachée .
    Cette gauche prétendue radicale par la droite est donc mieux appelée la vraie gauche par ses tenants, et pourrait seulement être accusée d’être une gauche démocratique (bourgeoise) et réaliste qui tient compte de ce qui existe et du champ d’action que cela permet.
    Le critère du succès électoral conjoncturel n’est pas un critère de la vérité ni de la justesse d’une ligne politique. De même que l’insuccès de les infirme.



  • Dwaabala Dwaabala 21 août 2015 11:47

    @jaja
    Les programmes des partis sont de simples étendards. Il n’y a que leurs rédacteurs enflammés qui ne le savent pas.
    La réalité rencontrée quand il s’agirait de les mettre en application est sans rapport avec les illusions qui ont présidé à leur rédaction.
    Cependant, l’absence d’organisation et de programme, ce qui se constate chez ceux que je critique, sont encore bien pires.



  • Dwaabala Dwaabala 21 août 2015 07:57

    @CN46400
    Bien ! Bien !



  • Dwaabala Dwaabala 20 août 2015 01:21

    @Pascal L
    Vous formulez avec beaucoup de vérité le problème.
    Il nous manque l’homme, parce que pour certains la femme est déjà trouvée, providentiel qui conduirait avec le petit peuple au coq des lendemains radieux qui chantent.



  • Dwaabala Dwaabala 18 août 2015 04:12

    @Kevin Queral
    Bonsoir.
    Sur la finance.
    Je serais tenté de distinguer le capital financier résultant de la fusion du capital industriel / commercial avec le capital bancaire, qui s’est dessinée dès la fin du XIXe siècle, du capital financier spéculatif qui en est l’excroissance parasitaire inévitable.
    D’autre part, si l’on prend le capital réel dans sa globalité, sa plus grande partie n’est pas productrice de biens de consommation mais de biens pour la production elle-même et n’est donc pas productrice de revenus à proprement parler alors qu’elle est bel et bien une richesse (à vrai dire la seule richesse) et la propriété de la classe capitaliste.
    C’est sur cette richesse que s’établissent les flux boursiers : en gros, l’usine qui produit la marchandise est elle même devenue marchandise et sa valeur est débitée en actions.
    Et il est facile de constater que c’est sur ces flux que s’établit une part de la spéculation, l’autre part étant le fait des opérations bancaires détachées de tout contexte matériel, ou dissimulées derrière un faux contexte matériel.
    Sur l’État.
    Il est bien vrai qu’il est toujours, sauf en de rares périodes, soumis au pouvoir de la banque. Parce qu’il s’agit d’une affaire entre compères dans la mesure où il s’agit de la même classe qui a le pouvoir politique et l’économie en main.
    Le règlement des intérêts de la dette (égal au montant des impôts directs, et premier poste budgétaire) est une véritable rente versée au créanciers. 
     L’ État providence n’est pas mort, seulement sa générosité ne s’applique plus aux mêmes, c’est ce que l’on voit aujourd’hui. Et il joue aussi un rôle d’arbitre et de régulateur dans les conflits résultants de la concurrence entre les capitaux. 
    Ce qui fait que je suis plutôt d’accord avec vous pour ne pas clamer que l’État est moribond, même s’il se dissimule lui aussi derrière une pseudo super nationalité. Ce qui joue un double rôle : anesthésier la contestation des classes populaires d’une part et faciliter la circulation internationale des capitaux.
    Sur la Nation.
    Je suis moins d’accord, car je ne suis pas sûr qu’elle soit aujourd’hui encore le cadre étroit dans lequel un progrès historique soit possible. Ce serait faire abstraction des classes au sein de la Nation. De plus il est impensable que dans le cadre du capitalisme aujourd’hui constitué une Nation comme la France puisse se soustraire à sa dépendance à l’égard des autres Nations et puisse ainsi développer son capitalisme à l’écart en le tempérant. Elle aurait tôt fait de mesurer la réalité du monde à la fois intérieur et extérieur qui la constitue .



  • Dwaabala Dwaabala 17 août 2015 23:56

    Cette forme d’analyse qui consiste à critiquer les idées de la vulgate libérale est très efficace.
    Je lis actuellement un article de J. Sapir ( http://www.legrandsoir.info/grece-pourquoi-hollande-et-merckel-ne-sont-pas-d-accord.html) pour sa tentative de définition des classes sociales (ou plutôt du comportement -électoral- des couches sociales) à partir de leur position par rapport à la rente. Ce n’est pas inintéressant mais trop superficiel.
    J’attends une analyse qui définirait clairement d’une part la classe capitaliste d’aujourd’hui : par rapport à la finance, l’industrie (y compris agro-alimentaire), le commerce ; leurs intrications dans les grands groupes et leur domination dans l’organisation capitaliste de la production et l’obtention du profit. Est-elle encore nationale ou, comme le prétend J. Sapir, supra-nationale ?
    D’autre part la classe moyenne, le terme de classe n’étant peut-être pas inapproprié tant cette couche sociale semble avoir acquis une conscience partagée de ses intérêts, ce qu’elle manifeste par son adhésion au socialisme version PS et son aptitude à gérer la société capitaliste française. Et les liens de cette classe moyenne avec la première.
    Et enfin de la classe prolétarienne qui demande elle aussi des distinctions car sa partie supérieure est quasi fusionnelle avec la précédente, et sa partie inférieure constitue une forme moderne du lumpenproletariat. Avec, entre les deux extrêmes ce qui ne peut plus guère être appelé la classe ouvrière.
    Bref, à quand une analyse de classe de la société française, voire européenne et même au delà ?



  • Dwaabala Dwaabala 6 août 2015 18:12

    @lsga
    Vous y allez encore plus fort !
    Le rapport à l’histoire contemporaine dans la philosophie proprement dite de Heidegger est à-peu-près le même que celui de l’interprétation musicale de von Karajan à son adhésion au parti nazi.
    Ici, l’auteur traite des roueries de son idéologie et c’est parfaitement légitime et utile de le faire, comme dans un autre domaine pour Céline.



  • Dwaabala Dwaabala 6 août 2015 17:35

    @Le p’tit Charles
    Et pourquoi ne pas dire plutôt avec Eluard que ce qui domine vraiment le monde c’est
    La famille des mains la famille des feuilles.
    C’est-à-dire les milliards de travailleurs, intellectuels et exécutants ?



  • Dwaabala Dwaabala 6 août 2015 17:27

    @Le p’tit Charles
    La domination s’établit par la fortune et non par la judéité.



  • Dwaabala Dwaabala 6 août 2015 17:02

    @Stéphane Domeracki
    Je pensais simplement à ceci  :
    L’homme deviendrait, par cette influence, simple « sujet », en s’« insurgeant » contre l’être, en l’oubliant. Cette histoire-déchéance est censée dégénérer jusqu’à enjoindre les hommes à se faire, au bout du « compte », les valets de la technique – autant dire de cette « machination », cette magouille invisible et surpuissante.
    Et non pas à dénigrer votre travail.
    Comme l’observait C.G. Jung, quand une philosophie (ici celle de H.) devient incompréhensible c’est l’inconscient qui parle.