• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Antivolt

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

  • Premier article le 15/01/2007
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 1 39 40
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique




Derniers commentaires



  • Antivolt 3 août 2009 13:55

    Nom d’un petit bonhomme en bois ! La vaccination anti-grippale n’est pas obligatoire !

    Je le répète à l’envi : la vaccination ant-grippale , qui n’est pas disponible pour l’instant et probablement jusqu’au mois de novembre 2009 , ne sera pas obligatoire.

    Précisions cientifiques et sourcées , mises à jour ici : Grippe A(H1N1) 2009 http://knol.google.com/k/lyonel-baum/grippe-a-h1n1-2009/2k8pqpdqx6p8k/59#

    Le débat dans quelque temps sera : qui sera prioritaire  ? Où trouvera t’on le vaccin  ? Qui l’administrera ? Devra t’on se vacciner contre la grippe saisonnière ( 2000 à 6000 morts par an en France ).

    Pour le reste , si vous croyez à la théorie du complot , je vous rassure : tout le monde est impuissant devant ce qui arrive .Les manifestations politiques et médiatiques sont des véroniques et des gesticulations.



  • Antivolt 3 août 2009 12:36
    Bon à tous , c’est la saison des cartes postales.

    A ce sujet j’aimerai vous faire partager 2 Knols , écrits sur la concurrence ( ou non ) entre WP et Knol. Vous verrez que les arguments permettent de prolonger les interrogations soulevées par l’article que nous commentons ici.



  • Antivolt 3 août 2009 09:35

    Bonjour Stéphanie et mes compliments pour votre article, 


    je voudrai réagir à propos de Knol que vous connaissez mal , puisque de nombreuses contributions ont été écrites ces six derniers mois .
    Un an après son lancement plus de 5000 knols ont été écrits en français , plus de 120 000 en anglais. Bien que cette encyclopédie de dépôt soit encore en version béta son système s’autostructure , souvent de manière collaborative.

    Beaucoup d’auteurs sont appréciés et le système utilise un mode de récompense sous forme de médailles. La rétribution par AdSense compte pour peanuts. Ce n’est pas l’appât du gain qui motive les « knoleurs ». Comme sur Agoravox, c’est une manière d’écrire en français , sous son nom propre , des articles sur des sujets qui passionnent , intéressent, amusent.


    Bien cordialement , 


  • Antivolt 23 mars 2009 14:48

    Un pape malade de la vérité

    Texte écrit par Jacques-Alain Miller pour l’hebdomadaire "Le Point", à paraître jeudi prochain

    Le pape, qui était naguère un théologien moderniste, semble revenir au XIXème siècle. Comment expliquer ce changement de comportement ?

    Le cardinal Ratzinger ne passait pas pour un progressiste. À la Congrégation de la Foi, il était d’ailleurs le lointain successeur de Torquemada. Néanmoins, tous célébraient son impeccable mécanique intellectuelle. D’où la surprise quand le " Panzerkardinal ", une fois élu pape, s’est métamorphosé en Benoît La Gaffe.

    S’agit-il vraiment de gaffes ?


    Le mot est de l’hebdomadaire catholique La Vie. Les services du Vatican doivent régulièrement émonder ses propos et les clarifier après-coup, et ces services gaffent souvent eux-mêmes. Le phénomène a encore empiré la semaine dernière.

    L’âge du pape est-il un facteur ?

    Non. Ses bourdes ne sont pas des lapsus, elles sont longuement méditées. Ses propos ne témoignent d’aucun affaiblissement de ses facultés. Le problème n’est pas qu’il ait changé, mais bien plutôt qu’il soit resté ce qu’il était. Visiblement, il n’a pas pris la mesure de la fonction. Devenu pape, il n’a pas dépouillé le vieil homme.

    Sa personnalité est-elle donc en cause ?


    Jean-Paul II non plus n’était pas progressiste, mais il avait une personnalité rayonnante, l’expérience du monde, et aussi, dit-on, des femmes. C’était un grand rusé, qui en avait remontré aux communistes, une bête de scène aussi, un homme du Verbe, sachant parler à la multitude et la séduire, un inspiré. Benoît, lui, est un homme de la Lettre, un érudit, un professeur, habile à faire parler les textes, et qui aime à jouer du piano dans la solitude. Il est, de plus, franc comme l’or : il dit tout haut ce qu’il pense. Là est son tort. Un pape ne parle pas seulement à Dieu, mais à tous les peuples de la terre. Dès que cet Autre immense dont il ne connaît rien hurle à la mort, on le voit sursauter, reculer, battre sa coulpe.

    Il y a en effet un décalage entre la virulence de ses propos et, ensuite, son attitude presque désemparée. Il manque de sens politique ?

    Oh, c’est plus grave. Tel l’Alceste de Molière, cet homme honnête est malade de la vérité. Sous prétexte que la Vérité serait Une et éternelle, il la prend au pied de la lettre et veut la dire toute entière, annoncer la Bonne Nouvelle comme un théorème. Il méconnaît la leçon de Loyola : que toute vérité, y compris La Vérité, passe mieux entre les lignes ; qu’il ne faut pas la claironner, l’asséner, mais l’insinuer, la rendre aimable ; qu’elle n’est pas à énoncer en tous lieux, à tous moments, et à tous, de la même façon ; que c’est l’auditeur qui, en définitive, décide du sens du discours qu’on lui adresse. La recette du présent désastre ? Idéologie à contre-courant, prédication au kärcher, vacarme, débandade. Résultat : fini le respect. Cet esprit éminent est devenu le premier pape ridicule de l’histoire. L’opinion le tient pour un benêt et un malfaisant. Les médias le saigneront à blanc.

    La surenchère aura-t-elle une limite ?


    Le prochain pontificat. Un pape à la coule. Un rhéteur.




  • Antivolt 6 août 2008 16:15

      Le développement de Knol ( Google ) est l’occasion d’écrire un article « knol » sur Max Aue à partir des articles les plus approfondis écrits sur « Les Bienveillantes ».

    Pour ce qui concerne la répugnance de nombreux lecteurs d’aller plus avant dans la lecture du roman "Les Bienveillantes" , le psychanalyste A. Green a écrit :« Je reconnais à cette œuvre des qualités majeures. Je me suis trouvé bien des fois en présence de lecteurs potentiels qui ont fait part de leur détermination à ne pas la lire. Le soupçon jeté sur l’auteur était celui d’une complaisance à un étalage d’insanités que seules les personnes en quête d’émotions douteuses ou franchement malsaines pouvaient avoir la curiosité de satisfaire. À l’expérience, il m’apparut que cet argument était la rationalisation d’une conduite d’évitement donnant caution au désir de ne pas savoir, face à l’épreuve souvent insoutenable d’être confronté avec une horreur qui avait des chances d’être plus que vraisemblable. Je me ferai discret sur la clef proposée à la fin du livre. Je dirai qu’elle nous vaut au passage la description d’une anarchie pulsionnelle à un rare niveau d’évocation . Je ne connais pas de description plus saisissante, plus envoûtante, que celle du désespoir érotique du héros, qui me fait considérer que la naissance de cet ouvrage doit beaucoup à la psychanalyse et que ce serait en fin de compte la raison de son rejet.Quoi qu’on veuille bien dire, pour moi, la littérature, la vraie, est du côté de Littell. Tant pis pour ceux qui font passer leur mystérieuse aversion de voir pour éviter non la nécessité mais l’obligation de savoir. »

Voir tous ses commentaires (20 par page)

LES THEMES DE L'AUTEUR

Culture Racisme Ethique Alain Finkielkraut

Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv