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Benoît RIVILLON

Benoît RIVILLON

Acteur, auteur d'un roman noir "Les Mauves"
et de "Autrefois Outrebois", récit.
Initiateur du manifeste lyrique Le Parlement des Artistes.
45 ans, Parisien d'option. Picard d'origine.

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  • Premier article le 08/05/2010
  • Modérateur depuis le 11/02/2011
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Benoît RIVILLON Benoît RIVILLON 24 août 2012 16:11

    Merci cher Monsier Vial,

    Votre article reprend les bonnes vérités à dire, connues et remâchées par tous ceux qui, ni employeurs, ni artistes, techniciens ou encore journalistes, n’ont jamais connu la vie d’intérimaire permanent attachée aux réalités de ces métiers.

    Pour illustrer à quel point la France qui travaille est l’otage de celle qui l’emploie, voici : en Belgique le secteur culturel, qui ne produit pas 80 milliards d’euros de PIB comme le secteur culturel français, dispose d’une assurance-chômage pour ses employés intermittents qui va de 1000 à 1400 €/mois. Ce statut est planchéisé et plafonné et il est reconduit de façon quasiment automatique quand les intermittents de France sont, peut-être avec les Roms, les citoyens les plus contrôlés et disons-le, les plus emmerdés de ce pays.

    Il faut préciser que les syndicat de salariés en Belgique ont une longue histoire et savent s’unir lorsqu’il est nécessaire.

    Donc, ce que la Belgique parvient à financer la France n’ y parviendrait pas... Très étrange....

    Or, si vous aimiez rééllement votre nation comme je l’aime, M. Vial, vous utiliseriez vos forces intellectuelles à ce que celle-ci brille un peu plus par sa solidarité que par sa capacité à exclure.

    Je vais de mon côté publier ici-même, demain matin, une histoire réelle, rapportée d’une vraie galère ordinaire d’un intermittent du spectacle, vous savez, l’un des ces privilégiés que le système si formidable et si avantageux décrit par vous-même ici, a laissé littéralement sur le carreau, lui, sa femme et ses enfants. Il s’agit même pour vous plaire d’un citoyen français...
    à demain !



  • Benoît RIVILLON Benoît RIVILLON 22 août 2012 22:20

    J’aimerais assez que ce site permette à l’auteur de se corriger, ou qu’il le fasse lui-même.


    C’est correct là ? On comprend de qui je veux parler quand je dis « lui-même », il s’agit bien du site, et non de l’auteur, ce qui serait absurde ou redondant...
    Oh ! la langue française est vraiment imparfaite, et nous aussi...

    Bravo Mon cher Gabriel. Qui que tu sois, quelle que soit ton identité réelle, si tu en as une, sois remercié pour cet article.


  • Benoît RIVILLON Benoît RIVILLON 22 août 2012 20:16

    J’aurais de loin préféré que vous vous exprimassiez sous votre véritable identité. Par ailleurs, vous semblez débiter des refrains étranges du style : 


    «  Le gamin d’Amiens Nord, qui n’a encore rien apporté à la société, a accès à des commodités... ». 

    On ne comprend pas bien ce que vous insinuez. Comment mesurer ce que chacun apporte à la société ? Individuellement, rien sans doute. Faire société n’est pas une addition. En outre, vous parlez des commodités comme l’eau chaude ? Sinon, lesquelles ?

    Je suis assez d’accord avec vous sur un point : le projet urbanistique industrialo-concentrationnaire. 

    Je vous réserve pour demain dans cette tribune le témoignage d’une ancien « gamin d’Amiens-nord » qui a eu accès à des commodités.


  • Benoît RIVILLON Benoît RIVILLON 8 août 2012 19:28

    Je ne veux pas, en tant qu’homme, être soumis au présuppposé de domination masculine.
    OLF a un fonds de commerce qu’il doit bien justifier, toute association touche bien des subventions.

    La question est celle de la pulsion, de la sophistication des rapports sociaux, plus ou moins bien réprimées par l’individu, par le groupe, dans une société éduquée, plus ou moins éduquée, voire pas éduquée du tout.



  • Benoît RIVILLON Benoît RIVILLON 26 mai 2012 19:43

    Très bon retour sur les mécanismes en place dans les premières semaines d’Avril, semaines noires pour le Front deGauche après un 18-Mars historique.

    Je nuancerai en disant que la masse des électeurs ne lit pas les journaux que vous citez, Amandine.

    D’autre part, je pense qu’on "...peut conclure qu’une partie de l’électorat potentiel du Front de gauche n’a finalement pas acté son vote comme il l’avait décidé une ou deux semaines auparavant...", car le déchaînement télévisuel et radiophonique pour diaboliser Jean-Luc Mélenchon, insulté comme jamais aucun politique ne l’a jamais été au cours d’une carrière (y compris J.M Le Pen lui-même) a eu pour effet évident d’effrayer l’électeur.

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