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Bloggy Bag

Bloggy Bag

Militant socdem depuis la primaire socialiste de 2005, j'oeuvre pour une refondation socialiste héritière du socialisme et de la social-démocratie.

Tableau de bord

  • Premier article le 16/01/2009
  • Modérateur depuis le 10/04/2010
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Ses articles classés par : ordre chronologique











Derniers commentaires



  • Bloggy Bag Bloggy Bag 7 octobre 2009 14:53

    L’époque est décidément troublée. On ne croit plus à ce qui est écrit dans les textes légaux, pas plus qu’on ne croit à la sincérité du résultats des votes.

    Pour le citoyen, tout est prétexte à « être contre », à se méfier, à ne pas croire.

    Tout avis un tant soit peu argumenté, comme cet article, est forcément « haineux », résultat des« élites auto proclamée[s] » et si l’on se dit de gauche (de la « vraie » s’entend) on ajoute ultralibéral. Il y a donc ici un ultralibéralisme de la peine de mort ?

    Je ne veux pas donner un avis de juriste sur ce cas puisque je ne le suis pas, mais je vois mal comment un des progrès majeurs de notre civilisation (l’interdiction de la peine de mort) pourrait être remis en cause en douce. Avez-vous donc à point perdu toute confiance dans la volonté de progrès des peuples ?



  • Bloggy Bag Bloggy Bag 17 septembre 2009 12:48

    Il serait intéressant d’avoir le score des contributions avant Reims.



  • Bloggy Bag Bloggy Bag 17 septembre 2009 12:34

    En cliquant sur le lien http://www.parti-socialiste.fr/toutsurleps.php j’ai eu l’espoir d’y trouver les résultats définitifs de 2006 que je cherche depuis des mois. Que nenni. Il est vrai que les égarements de 2006 n’ont pas le même poids que ceux d’un congrès.

    Mais qu’importe. Il va bien falloir qu’un jour Royal acte de ses défaites et arrête de trouver des coupables à ses ratés. Elle a bénéficié d’une incroyable mansuétude générale jusqu’ici car je me demande à qui d’autre on aurait accordé tant d’indulgence. Imaginez Fabius trouvant la justice chinoise efficace ! Imaginez DSK accusant le PS de tricherie ! Imaginez Aubry se déclarant militante écolo ! Imaginez Jospin en 2002 clamant au balcon de Solférino « je vous conduirai vers d’autres victoires » !
    Inimaginable n’est-ce pas, sauf jusqu’ici pour Royal, mais sur ce coup là, elle a manifestement dépassé toutes les bornes et le vide s’est fait autour d’elle. Le problème qui reste est politique : comment recoller les morceaux de cet épisode, comment redorer le blason de nos présidents de régions après tant de preuves d’amateurisme et d’irresponsabilité ? Comment corriger la désastreuse image que Royal s’est construite ?



  • Bloggy Bag Bloggy Bag 26 janvier 2009 09:56

    Je vous approuve sur le fait que notre problème est systèmique et dans le cas précis de l’écologie, nous avons à comprendre les interactions entre l’écosystème et la société. L’économie est une des caractéristiques d’une société.
    Je diverge sur l’interprétation de la croissance. Vous la décrivez comme "une croissance matérielle continue", je réponds, pas seulement. Croître c’est créer de la valeur ajoutée (de la richesse) et si effectivement cela peut se faire en produisant plus de Ford T, cela peut aussi se faire en construisant plus de maisons à énergie positive ou en produisant plus de prestations intellectuelles.

    Pour ce qui est du nucléaire, la question est de savoir comment en sortir. Le monde entier fait actuellement beaucoup d’efforts sur l’éolien qui est la solution de production la plus facile à mettre en place (et à désinstaller). Mais on sait que cela n’est pas suffisant.
    Le solaire est cher est pour l’instant d’un rendement écologique moyen, l’hydrolique est très avancé mais souffre d’impacts négatifs sur les écosystèmes.
    A moyen terme, la solution domestique idéale semble être l’habitat à énergie positive : on sait déjà presque le faire. Mais à moins de tout resconstruire (peut-être publierai-je un texte que j’ai là-dessus d’ailleurs) cela prendra beaucoup, beaucoup de temps. Reste que pour les activités professionnelles, ce n’est pas suffisant et qu’il faut des grosses chaudières pour répondre à la demande. A part le nucléaire ou ne plus avoir d’usines, que proposez-vous de faire en sachant bien que l’immense majorité des gens n’accepteront pas un retour en arrière sur leur confort. Personnellement, j’ai déjà du mal à ce que ma famille ne laisse pas les lumières allumées pour rien alors leur expliquer que désormais on vivra avec 3/4 d’énergie en moins relève de l’exploit intergalactique !

    Pour votre conclusion, je crois fondamentalement que vous vous méprenez sur notre "logique de marché". L’économie (et donc le marché) n’est pour nous qu’un moyen, le but est la société et désormais, le bon équilibre entre la société et les écosystèmes. Alors oui, il reste du chemin à faire pour approfondir et faire comprendre ce que cela veut dire car il ne s’agit pas que de piquer une ou deux idées aux écolos, mettre des récupérateurs d’eau et réparer son vélo.
    Un dernier point, la non-maîtrise de notre impact écologique fait peser une menace directe sur la démocratie, tout simplement parce que la pression en retour d’un écosystème à bout de souffle menacerait directement la société, et donc son organisation politique.

    Au final, je crois que nous avons un point de divervenge de fond, c’est la définition de la croissance et du marché. Pour le reste, bien que de sensibilités différentes, il me semble que le dialogue est possible. C’est déjà cela.



  • Bloggy Bag Bloggy Bag 24 janvier 2009 19:30

    Bel exemple de procès d’intention à l’aide d’interprétations très particulières.

    D’abord sur le FMI (qui n’est pourtant pas la question ici), je vous renvoie à la très peu néo-libéralité de l’apurement de la dette du Libéria, ou encore à la demande (d’ailleurs suivie) d’intervention massive et cohérente des Etats lors de la crise financière. Nous sommes loin il me semble de "la main invisible" qui résout d’elle même tous les problèmes. Mais ce n’est pas l’objet de ce texte.

    1) Je ne vois pas en quoi une approche rationnelle, scientifique, civique et responsable est une approche condamnable.

    2) Le principe de précaution nous paraît mauvais parce qu’il peut trop facilement être un alibis pour que le politique se désengage et n’agisse pas : lorsque l’on est élu à une fonction, on doit accepter la responsabilité de cette fonction y compris lorsque vous devez décidez sans avoir de certitude. Le risque évoqué est que les élus se retranchent derrière un "je ne fais rien au nom du principe de précaution, donc on ne peut rien me reprocher".

    3) Il n’y a pas de dogme concernant la croissance en ce qui nous concerne. J’ai une image pour la croissance : c’est de l’énergie nécessaire au changement. Cette énergie peut être utilisée à de bonnes choses (écologiques par exemple) ou à des débilités. Inversement, ne pas avoir cette énergie revient à ne pas avoir de moyens de changement. La croissance est un moyen, c’est du but qu’il faut discuter.

    4) "Le capitalisme, poursuivant sa logique de privatisation des moyens de production et encourageant la cupidité et l’avidité humaine comme moteurs de l’économie, ne porte-t-il pas dans sa nature même la responsabilité de la situation que nous connaissons aujourd’hui ?". Ciel, en ce qui nous concerne, notre volonté est de laisser la production au privé lorsque nous n’avons aucune raison d’y mettre notre nez, et dans le cas contraire, de nationaliser là où c’est nécessaire, quand c’est nécessaire, pour la durée nécessaire.

    5) Sur le nucléaire. Nous faisons le constat que le parc nucléaire existe et que oui, il peut nous permettre de répondre à une urgence. Et oui nous fixons un cap vers sa disparition, mais pas du jour au lendemain. La mécanique envisagée ici est de remplacer 3 ou 4 centrales de vieille génération par une ou deux. Si a chaque génération on réussit cela (grace à l’amélioration des performances du nucléaire, à la montée en charge des productions alternatives, aux économies d’énergie), alors oui à terme on arrive bien à la fin du nucléaire. Pas sûr que je le vois un jour, mais au moins on trace une route qui va dans le bon sens et qui est réaliste. Si vous avez mieux, nous sommes preneurs.

    6) Le nucléaire ne résout pas le problème climatique, il résout le problème énergétique et dimune notre impact carbone. Rien de plus, rien de moins.

    7) Oui la réduction de la consommation est fondamentale. Mais comment on oblige les gens à moins consommer, surtout si on est dans une phase de décroissance. S’éclairer à la bougie n’améliore pas le bilan carbone, est mauvais pour la santé et ne serait pas accepté. Produire aussi bien que possible va de pair avec consommer aussi peu que possible, cela ne s’oppose pas.

    8) La conclusion ne nous paraît pas contradictoire, même s’il est clair que la refondation socdem va devoir concilier l’individualisme ambiant et la société. Nous faisons le pari de réussir à concilier une volonté et un avenir collectif avec la reconnaissance de l’individualité de chacun : équité pour chacun, égalité pour tous.

    Je crois qu’il y a dans votre commentaire un ensemble de pré-supposés issus du passé qui ont du mal à vous faire comprendre ce que nous voulons vraiment. Il y a pas mal de raisons à cela, y compris des raisons dont le PS est responsable, mais je crois que nous réussirons vraiment à refonder ce parti et son idéologie, en mieux.

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